
تقي زاده
Netanyahu ordonne à l'armée de renforcer ses troupes autour de Gaza et menace de mettre fin à l'accord de trêve
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé de mettre fin au cessez-le-feu à Gaza si le mouvement de résistance islamique de la Palestine, Hamas ne libérait pas les captifs d’ici samedi midi, ordonnant à l’armée de renforcer ses troupes dans et autour du territoire assiégé.
Netanyahu a lancé cette menace dans un message vidéo mardi, au lendemain de l’annonce du Hamas indiquant reporter la date de la prochaine libération de captifs israéliens jusqu’à nouvel ordre, en raison des violations répétées du cessez-le-feu par Israël.
Un responsable israélien, s’exprimant sous couvert d’anonymat, a confirmé que Netanyahu avait ordonné à l’armée d’envoyer davantage de troupes dans et autour de la bande de Gaza.
Le ministre iranien de la Défense rencontre le chef d'état-major général des forces armées du Sultanat d'Oman
Le ministre iranien de la Défense Aziz Nassirzadeh s’est entretenu avec le vice-amiral Abdullah Bin Khamis Al-Raisi, chef d’état-major général des forces armées du Sultanat d’Oman.
Lors d’une réunion qui s’est tenue, mardi 11 février à Téhéran, l’accent a été mis sur les relations historiques et sociales entre l’Iran et Oman. Les deux parties ont souligné les liens culturels, sociaux et d’amitié de longue date que partagent les deux pays.
Le ministre iranien de la Défense et chef d’état-major général des forces armées omanaises ont également réitéré la volonté politique des deux pays de donner de l’essor aux relations bilatérales dans divers domaines.
Ils ont précisé que les relations Téhéran-Mascate sont fondées sur le respect et la confiance mutuels. Abordant les questions régionales et internationales importantes, les deux hommes ont discuté des stratégies de développement de la coopération bilatérale en matière de défense.
Le vice-amiral Abdullah Bin Khamis Al-Raisi est arrivé à Téhéran lundi soir à l’invitation officielle du général de division Bagheri, chef d’état-major des forces armées iraniennes.
L’unité régionale est le seul moyen de contrer le régime terroriste d'Israël (Général Bagheri)
Le général de division Mohammad Bagheri, chef d’état-major des forces armées iraniennes, a fermement dénoncé le projet américano-israélien qui vise à expulser de manière forcée les habitants de Gaza et à procéder à un nettoyage ethnique dans cette région sinistrée par la guerre.
Le général Bagheri a souligné que la réponse appropriée au régime israélien réside dans l’unité et la solidarité parmi les pays de la région.
Cette déclaration a été faite, ce mardi 11 février, au siège de l’état-major général des forces armées à Téhéran, où le général de division Bagheri et l’amiral Abdullah ben Khamis Al- Raïssi, chef d’état-major des forces armées du Sultanat d’Oman, ont échangé leurs points de vue sur les récents événements de la région.
« Compte tenu de la nature barbare et expansionniste du régime sioniste, la seule façon de faire face à ce régime occupant et terroriste est l’unité et la solidarité parmi les pays de la région », a déclaré le général Bagheri.
Il a qualifié les relations entre l’Iran et Oman d’« amicales, historiques et en pleine expansion », précisant que les dirigeants des deux pays s’engagent activement à renforcer ce dynamisme.
Le régime sioniste et l’Amérique sont les revers de la même pièce (al-Houthi)
Dans un discours pour commémorer l’anniversaire de la fuite humiliante des soldats américains de Sanaa, le leader du mouvement yéménite Ansarallah a affirmé que cet événement était un échec majeur du projet américain pour établir une domination totale sur le Yémen.
Il a souligné que cette évasion était un résultat significatif de la révolution du 21 septembre, marquant un tournant dans la lutte pour la souveraineté yéménite.
Dans ses déclarations, Seyyed Abdel Malik al-Houthi a mis en garde contre ceux qui considèrent l’Amérique comme un allié bienveillant, les qualifiant d’illuminés et de naïfs. Selon lui, la véritable nature des États-Unis repose sur des principes de domination, de cupidité et de rancune.
Il a souligné que ceux qui perçoivent l’Amérique comme un bienfaiteur se trompent gravement et font preuve de naïveté. Selon lui, la véritable nature de l’Amérique repose sur la volonté de domination, la cupidité et la haine, utilisant tous les moyens pour atteindre ses objectifs.
La Révolution islamique d'Iran, une source d'inspiration, selon le ministre burkinabè des Affaires étrangères
Les Iraniens résidant au Burkina Faso ont célébré, lundi 10 février, à Ouagadougou le 46e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique aux côtés de leurs frères burkinabè. À cette occasion, les deux pays ont magnifié l’excellence de leurs relations bâties en 1984.
L’ambassadeur de la République islamique d’Iran à Ouagadougou, Mojtaba Faghihi, présent à la cérémonie, a déclaré que la Révolution islamique de 1979 en Iran a permis « de nous libérer de l’ingérence politique étrangère et du pillage de nos ressources ».
Selon lui, l’Iran a surmonté avec succès de nombreux obstacles, notamment l’agression militaire étrangère, les sanctions et le terrorisme.
Il a ajouté : « C’est pour cela que le gouvernement et le peuple iraniens comprennent les efforts historiques actuels du noble gouvernement et du peuple du Burkina Faso. Nous sommes à vos côtés sur ce chemin et partageons nos expériences et nos réalisations avec vous, les hommes et les femmes qui aspirez à l’indépendance. »
L'Iran a déposé une plainte auprès du Conseil de sécurité de l'ONU contre les menaces de Trump
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires juridiques et internationales a déclaré que l’Iran avait porté plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations unies contre les menaces proférées par le président américain, Donald Trump, contre la République islamique d’Iran.
Kazem Gharibabadi a fait cette annonce dans un post sur X mardi 11 février, trois jours après que Trump a prévenu qu’il préférerait conclure un accord avec l’Iran plutôt que de « le bombarder à outrance... Ils ne veulent pas mourir. Personne ne veut mourir. »
Gharibabadi a déclaré que la participation massive du peuple iranien à la marche de lundi pour célébrer le 46e anniversaire de la victoire de la Révolution islamique de 1979 était « une réponse forte aux récentes menaces du président américain ».
Le Hamas rejette l'ultimatum de Trump et affirme que la trêve est le seul moyen de libérer les prisonniers israéliens
Le Hamas a dénoncé l’appel du président américain, qui a demandé l’annulation du cessez-le-feu à Gaza, à moins que le mouvement de résistance palestinien ne libère tous les prisonniers israéliens dans un délai rapproché.
Selon le Hamas, Donald Trump devrait comprendre que la libération des prisonniers israéliens ne peut être obtenue que par le respect des accords en vigueur.
Sami Abou Zuhri, un haut membre du bureau politique du Hamas, a souligné que pour garantir la pérennité du cessez-le-feu à Gaza, il est impératif que les deux parties respectent leurs engagements. Il a insisté sur le fait que cette coopération est essentielle pour faciliter le retour des prisonniers israéliens.
« Trump devrait savoir que pour que le cessez-le-feu à Gaza dure, les deux parties doivent respecter leurs obligations. C’est la seule façon de ramener les prisonniers [israéliens] », a-t-il indiqué.
En outre, il a critiqué le ton menaçant employé par Trump, affirmant que ce type de discours n’apporte aucune solution et ne fait qu’aggraver la situation.
Ali Akbar fils d’ Al Hussein (as)
Naissance de Ali Akbar fils d’ Al Hussein (as)*
Nom* : Ali ibn Hussein ibn Ali ibn Abu Talib
Mère* : Layla Bint Abi 'Urwa Ibn Mas'ud Al-Thaqafi,
Naissance* : 11 chabane à Médine
Fratrie* : Ali Zein el Abidine, Fatima al-Sughra bint al-Husayn, Safia bint Husayn, Sukayna, Ali al Asghar ibn al-Husayn,Sakinah (Fatima al-Kubra) bint Husayn,Kholat bint Husayn.
Martyr* : 10 Muharram, Karbala
Sépulture* : Sanctuaire sacré de l’Imam Hussein, Karbala en Irak
Le visage d’Ali Akbar fut splendeur et lumineux. Il fut très beau et pur. Il fut de taille moyenne avec une peau blanche tendant au rose. Il eut de gros yeux noirs avec de longs cils. Son corps fut équilibré, ni gros et ni mince avec des épaules larges.L’imam al-Husayn (as) dit qu’il était le plus ressemblant au Prophète (pslf) dans sa création, dans ses qualités morales et dans l'éloquence de son langage.
Le jour d’ Achoura, Ali Akbar fut la première personne de Banu Hachim qui prit l’autorisation de l’ Imam al-Husayn pour aller sur le champ de guerre et commencer son combat. Durant sa préparation, l’Imam lui dit : « Ô mon Dieu, sois mon témoin. Certes, un jeune est en train d’aller sur le champ de bataille, celui qui ressemble le plus à Ton Envoyé dans sa création, dans sa conduite et dans l'éloquence de son langage.
Ô mon Dieu, à chaque fois que le Prophète (pslf) nous manquait, nous regardions Ali Akbar. »
Ali Akbar (as) est l'un des grands héros de la jeunesse hachémite, un brave chevalier, une personnalité qui incarne le sens de la volonté et des sacrifices de l'islam, brillant à l'horizon d'Al-Taf au-dessus du désert de Karbala, croyant, combattant qui est fidèle aux principes de l'Islam, ce qui est dans son cas unique.
Le 11 Sha’ban : le jour de naissance de Hazrat Ali Akbar (as) le fils de l’Imam Hussein (as)*
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ رَسُولِ ٱللَّهِ
La paix soit sur toi, ô fils du Messager d'Allah.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ نَبِيِّ ٱللَّهِ
La paix soit sur toi, ô fils du Prophète d'Allah.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ أَمِيرِ ٱلْمُؤْمِنِينَ
La paix soit sur toi, ô fils du commandant des fidèles.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ يَا بْنَ ٱلْحُسَيْنِ ٱلشَّهِيدِ
La paix soit sur toi, ô fils d'al-Husayn le martyr.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ أَيُّهَا ٱلشَّهِيدُ
La paix soit sur toi, ô martyr.
?اَلسَّلاَمُ عَلَيْكَ أَيُّهَا ٱلْمَظْلُومُ وَٱبْنُ ٱلْمَظْلُومِ
La paix soit sur toi, ô lésé et harcelé et fils de l'injustice et de l'oppression.
Téhéran et Riyad condamnent les propos de Netanyahu sur un État palestinien au territoire saoudien
Le ministre iranien des Affaires étrangères a condamné dans les termes les plus fermes les propos du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, sur la création d’un « État palestinien en Arabie saoudite », les qualifiant d’acte d’agression sans précédent qui menace la paix et la sécurité régionales.
Abbas Araghchi, a fait ces remarques lors d’une conversation téléphonique avec son homologue saoudien, le prince Faisal bin Farhan al-Saud, le lundi 10 février, dans un contexte de tensions croissantes autour des propositions américano-israéliennes pour les Palestiniens de la bande de Gaza et des affaires plus larges qui les concernent.
Le chef de la diplomatie iranienne a dénoncé la proposition de Netanyahu, la qualifiant d’ « acte de provocation éhonté », avertissant qu’une telle rhétorique illustrait les ambitions expansionnistes du régime israélien.
Selon le ministre iranien, ces propos témoignent d'un cynisme sans précédent de la part du régime occupant et représentent une menace directe pour la paix et la sécurité de la région.
Ainsi il a dénoncé les responsables israéliens qui cherchent à éliminer l’identité palestinienne au moyen de déplacements forcés et de l’expansion des colonies de peuplement illégales.
Netanyahu a lancé cette proposition après que le président américain, Donald Trump, a dit que les États-Unis cherchaient à « s’approprier » Gaza dans le cadre d’un soi-disant plan qu’il a avancé sous le couvert de « reconstruire » le territoire palestinien ravagé par la guerre.
Lundi également, Trump a réitéré que dans le cadre de son plan pour prendre le contrôle de Gaza, les Gazaouis n’auront pas « le droit au retour » dans la bande côtière « car ils auront des logements bien meilleurs » ailleurs.
Trump promet « un véritable enfer » si les captifs israéliens ne sont pas libérés samedi
Le président américain Donald Trump a lancé un ultimatum, déclarant que si tous les captifs sionistes détenus par le mouvement de résistance palestinien Hamas à Gaza n’étaient pas libérés d’ici samedi midi, il proposerait d’annuler le cessez-le-feu et de « laisser l’enfer se déchaîner ».
S’adressant aux journalistes dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche lundi soir, Trump a également suggéré que les États-Unis pourraient suspendre l’aide à la Jordanie et à l’Égypte à moins que ces pays n’acceptent d’accueillir les Palestiniens déplacés de Gaza, une mesure largement condamnée comme une tentative de déplacement forcé.
Le cessez-le-feu a été initié le mois dernier entre le régime israélien et le Hamas dans l’espoir de mettre fin à une guerre génocidaire féroce menée par le régime qui a coûté la vie à au moins 47 000 Palestiniens, principalement des femmes et des enfants.
Depuis son entrée en vigueur, l’accord a fait l’objet de nombreuses violations par Israël qui ont coûté la vie à des centaines d’autres Palestiniens. L’accord prévoit la libération progressive des captifs sionistes en échange de prisonniers palestiniens.
Plus tôt lundi, le Hamas a annoncé qu’il suspendait le processus d’échange de prisonniers, invoquant des violations israéliennes de l’accord. En réponse, Tel-Aviv a ordonné à l’armée de se préparer à « n’importe quel scénario à Gaza ».