تقي زاده

تقي زاده

Affirmant que l'Iran a décidé de devenir l'un des meilleurs au monde dans tous les domaines, le commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique a déclaré que l'Iran est l'un des meilleurs dans la construction de drones.
"Ceux qui parlent de liberté et de droits de l'homme veulent que nos enfants soient laissés sans nourriture et sans médicaments. Leur plan pour notre nation est la faim, la pauvreté et la maladie, et c'est pourquoi ils ne permettent pas à notre nation d'avoir des échanges financiers avec le monde", a déclaré le major général Hossein Salami dimanche lors de la cérémonie de dévoilement du vaccin "Noora".

"Mais nous sommes une grande nation qui a été capable de créer de grandes surprises malgré les nombreuses sanctions", a-t-il ajouté.

"Nous avons décidé d'être l'un des meilleurs au monde dans tous les domaines, nous lançons des satellites, et nous sommes l'un des meilleurs dans la construction de drones. Nous excellons dans divers domaines. Dans le domaine de la fabrication de vaccins, plusieurs vaccins ont été produits dans notre pays, et peut-être avons-nous autant de diversité dans la production de vaccins que le nombre de pays producteurs", a déclaré M. Salami.

Faisant référence à l'utilisation du vaccin iranien par le Leader de la Révolution islamique, il a ajouté : "Comme c'est excitant et plein d'espoir de voir ces scènes. Nous mettons ces vaccins à la disposition de toutes les nations du monde."

Le vaccin "Noora" produit par l'Université des sciences médicales de Baqiyatallah pour lutter contre la pandémie de Covid-19 a été dévoilé lors d'une cérémonie dimanche. Le vaccin Noora a atteint le stade de l'essai clinique après 16 mois de travaux de recherche menés par des scientifiques iraniens.

A peine 10 jours après le sommet de Genève où Biden a promis à Poutine de ne plus toucher à l'Ukraine à condition que la Russie accepte de travailler avec les USA en Syrie, c'est-à-dire à en tolérer la présence dans le nord est, voire à l'est où les Yankee continuent à pomper le pétrole, les céréales, à réprimer dans le sang  les tribus , à alimenter à partir de deux des 33 bases illégales en Syrie, à savoir al Tanf et Hassaké, un trafic aéro-blindé de terroristes en direction de Homs mais aussi de l'Irak, le compromis a du plombe dans l'aile : côté russe des choses, la soi-disant volonté US de ne plus attiser les velléités anti russes de Kiev a été contrebalancé par cet espèce de fol aventurisme de sa Majesté qui a poussé la Royal Navy d'aller violer les eaux de la Crimée qu'elle dit appartenir à l'Ukraine par HMS Defender interposé à bord duquel se trouvaient des commandos marins russes et ukrainiens. D'ailleurs Londres a affiché un mépris total quand Moscou a convoqué son ambassadeur après avoir ouvert le feu sur son navire de guerre et accusé le ministre britannique de la Défense d'avoir ordonné en personne cette suprême provocation en mer Noire.

En Syrie, ce n'est pas seulement les MiG-31K et leurs missiles aéro-balistiques Kinzhal russes déployés sur la base aérienne de Hmeimim qui inquiète Israël, mais 2 à 4 missiles hypersoniques qui débarqueraient droit sur la base russe où le CGRI voire le Hezbollah tiennent des stands et cette proximité Résistance/technologie hypersonique russe, c'est déjà un réel sujet de préoccupation surtout quand on sait comment cette base accueille depuis près d'un an les vols militaires iraniens à destination de la Syrie, ou comment les avions russes qui y sont stationnés tiennent même à escorter de temps à autre le transit d'armes aériennes Iran-Armée syrienne entre Lattaquié et Deir ez-Zor et ce, évidemment afin de contrer les raids aux missiles air-air israéliens.

 

C’est terrifiant comme tournure : depuis que la Résistance irakienne envoie ses drones chasser les MQ-9, les avions de reconnaissance, les sites de la CIA ou du Mossad à l’intérieur des bases les plus protégées des États-Unis en Irak, pour la première fois; à Erbil, en ce samedi 26 juin, minuit passé, les « drones armés de missiles » se sont abattus sur des cibles américaines. Et ce samedi est une journée particulière.

Et comment ? Une méga parade militaire des Hachd al-Chaabi, force dont l’Amérique cherche la dissolution depuis bientôt deux ans, a défilé ses capacités militaires à Diyala, sous le nez et la barbe des USA et alors même que le PM Kazémi, largement mis sous pression US pour ne pas y assister, a fini par le faire. Il y en a eu même des analystes qui ont vu à travers les chars, les blindés, les lance-roquettes largement présents dans la parade, les « outils » utilisés dans des attaques contre les bases militaires US. Évidemment les drones n’étaient pas de la partie, mais il y avait tout ce qu’il faut pour contrer non seulement Daech, mais encore ses tireurs de ficelles. Que s’est-il passé au juste ? 

Une source de sécurité a annoncé ce samedi 26 juin qu’un drone avait effectué une frappe de missiles contre la zone de Masif Salahaddin près d’Erbil au nord de l’Irak.

La source a déclaré à IQ NEWS que « l’attaque à la roquette contre Masif Salahaddin à Erbil a été menée par un drone, dont la mission était de viser le consulat américain ».

 

Alors que les États-Unis poursuivent leur politique hostile à l’encontre d’Ansarallah, ils ont été contraints de le reconnaître et de souligner le rôle du mouvement sur la scène politique yéménite.

Ancienne animosité des USA contre Ansarallah

En premier lieu, il est clair qu’Ansarallah, en tant que membre de l’axe de la Résistance, à l’instar d’autres mouvements comme le Hezbollah, est l’un des principaux ennemis des États-Unis et de leurs projets au Moyen-Orient. Et Washington a poursuivi ses politiques hostiles à l’encontre de ce mouvement yéménite par divers moyens possibles, depuis sa création.

Aux derniers jours de sa présence à la Maison-Blanche, l’administration Trump a annoncé qu’il avait placé Ansarallah sur la liste des organisations terroristes.

On se rappelle fort bien comment Israël s’est mis au sortir de la terrifiante bataille de mai qui a vu sa « DCA multicouche » se partir en mille éclats sous les coups balistiques de la Resistance à demander un financement « d’urgence » d’un milliard de dollars des États-Unis pour « renouveler son stock de missiles Tamir ». Au fait plutôt que vouloir renouveler ce stock, il s’agissait de remettre en état des radars largement « hackés » de Dôme de fer par les dispositifs de suppression de la Resistance voir refaire ces batteries de Dôme de fer elle-même qui dans une ville comme Ashkelon ont été jusqu’à être prise pour cible par les missiles tant ont été puissantes les attaques électroniques. Ceci étant les Americains ne semble pas être partant pour desserrer les cordons de la bourse. Car les remises à l’état ils en ont fait en été 2020 au Texas, mais L’Épée de Qods a prouvé que c’était de l’argent jeté littéralement par la fenêtre. Que faire donc en ces temps de râle, de tension Colons/Armée sioniste ? 

La machine à arnaque sioniste propose une solution : 

 Alors que les États-Unis sont sur le point de retirer les défenses aériennes de leurs alliés au Moyen-Orient, Israël doit intervenir et offrir les siennes, ouvrant la voie à un véritable dialogue et à une coopération ouverte dans la région, tout en fournissant à l’industrie de la défense militaire plus de ressources pour se développer des systèmes encore meilleurs », c’est ce qu’a déclaré l’ancien vice-ministre de la Guerre et PDG du Center for Strategic Dialogue du Netanya Academic College du régime sioniste : « La plupart des retraits auront lieu en Arabie saoudite, en Irak, au Koweït et en Jordanie, supprimant efficacement la couche de protection des alliés régionaux des États-Unis contre les missiles et les drones. Et tandis que l’Arabie saoudite a renforcé ses propres défenses face aux attaques constantes de drones et de missiles de croisière d’Ansarallah du Yémen, le principal défi pour Riyad reste la protection de ses sites cruciaux. »