تقي زاده

تقي زاده

Les pertes humaines ne sont pas les seuls dégâts infligés par la Résistance palestinienne à Israël ; l’économie du régime a subi des dizaines de millions de dollars de préjudices en raison de la fermeture des aéroports, du krach boursier et du gel des activités des ports. 

Dans un article, publié sur al-Khaleej Online, Mohammed Abou Rezq a écrit : « Selon les chiffres publiés par les dirigeants israéliens, les coups durs subis par l’économie d’Israël lui ont coûté au moins 150 millions de dollars. La perte économique quotidienne moyenne qu’a subie Israël au cours des trois premiers jours de la guerre de Gaza est d'environ 540 millions de shekels, soit environ 165 millions de dollars américains. Avec la poursuite de la guerre, les transactions commerciales et économiques ont connu une baisse sans précédent sur les marchés des capitaux ainsi qu'en bourse et dans les banques d’Israël d’autant plus que la monnaie israélienne a chuté de 14% par rapport au dollar ». 

Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a souligné que « notre stratégie et politique opérationnelle consiste à développer sur le territoire une défense vaste et de haute altitude », sans manquer de préciser que « nous devions acquérir la capacité de la guerre à distance, ce que nous avons obtenu grâce à Dieu ».

Après 11 jours d'affrontements, Israël et le Hamas annoncent jeudi soir avoir conclu un cessez-le-feu. 

C'est la goutte qui a fait déborder la vase! À presque 2 heures du vendredi 21 mai, l'entité sioniste a fini par capituler au terme de 11 jours d'un héroïsme sans précédent d'une Palestine ressuscitée et des unités balistiques de Qassam qui ont détruit une batterie de Dôme de fer à Nahal Oz, non loin de Beer-Sheva.

 
Il y a quelques heures au J+8 de l’implosion de la plus grande base militaire US au Moyen-Orient, alias Israël, le général Milley, chef d’état-major de l’US Army dont des bombes de type Joint Direct Attack Munition –JDAM)  plus de nouvelles batteries de Patriot et de THAAD ont atterri en catastrophe jeudi à l’aéroport à moitié vidé de Ben Gourion a dressé un très alarmant constat d’échec : interrogé par la chaîne israélienne Kan, Mark Milley a dit si la guerre ne s’arrête pas à Gaza, elle ne tardera pas à aller au-delà de West Bank.

La liste des cibles « offshore » abattues par la Résistance palestinienne s’allonge : les ports Ashkelon, Eilat, les gazoducs Ashkelon-Eilat et Ashdod-Eilat, des raffineries, le site gazier Tamar ayant été visé par un drone piégé sous-marin. Après ces frappes voici la Résistance qui s’en prend aux navires de guerre israéliens ; c'est à croire que le champ de bataille s'étend aux mers.

En riposte à une attaque israélienne contre une voiture à Gaza qui a entraîné la mort en martyr d’au moins trois personnes, la Résistance palestinienne a repris les attaques au missile contre les villes au peuplement sioniste, dont Beersheba.

Dans un communiqué, les Brigades Gassam ont annoncé avoir commencé des attaques d’envergure contre les territoires occupés. Des dizaines de missiles ont été tirés sur Ashdod, Ashkelon et Beersheba, indique le communiqué de la Résistance palestinienne.

Qods a suivi Gaza: Une patrouille israélienne dans le quartier de Cheikh Jarrah, épicentre de l'Intifada de ramadan a été attaquée par un Mujahed palestinien alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture bélier. 
Les policiers israéliens ont tué en martyr le combattant palestinien qui a foncé en voiture sur un barrage routier de la police. L'armée israélienne a bloqué les sorties du quartier de Cheikh Jarrah et interdit aux Palestiniens de circuler dans la zone. Mais il est trop tard. A Qods, l'entité est minoritaire.  

 

Les violents affrontements sans précédent entre Palestiniens et sionistes font bien plus peur au régime occupant sioniste que les missiles du Hamas et du Jihad islamique, selon les affirmations des responsables de Tel-Aviv.

De nombreuses villes et régions en territoires occupés dont Lod, Bat Yam, Jaffa, Acre, Qods-Est, al-Khalil, Haïfa, Tel-Aviv, Shafaamroo, Tayibe et Tamra ont été théâtre de lourds affrontements qui, exposant musulmans et sionistes, ont conduit à incendier certaines mosquées et synagogues; la police israélienne n’étant plus en mesure de contrôler la situation, selon un tweet d’Ayelet Shaked, députée de droite et ancienne ministre israélienne.

En septembre 2020, l'ex ministre US des A.E., Pompeo s'est rendu à Tel-Aviv mettre à la porte de Haifa, la Chine en lui arrachant le plus grand projet de dessalement de l'eau du Moyen-Orient. La petite dispute éclatée entre le psychopathe Pompeo et l'ambassadeur chinois de l'époque à Tel-Aviv s'est soldé par l'assassinant de ce dernier, une affaire particulièrement significative à côté est passé à Pékin non sans avoir qu'en Israël le jeu ne vaut pas la chandelle. Vint ensuite cette grande annonce selon laquelle l'Iran et la Chine entraient pactisaient suivant un pacte stratégique de 25 ans qui allait ouvrier par la porte de l'Iran les Moyen-Orient sur la Chine qui va de clash en clash avec les Américains en mer de Chine, à Taiwan au Myanmar, à Xinjiang ...

Aucun "accord initial" ne sera conclu à l'issue des négociations du PAGC à Vienne, a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Saeed Khatibzadeh.
S'adressant aux journalistes lors d'une conférence de presse lundi, M. Khatibzadeh a rejeté la notion d'"accord initial" au cours des pourparlers de Vienne visant à relancer le Plan d'action global conjoint.

"Aucun accord ne sera conclu si toutes les conditions ne sont pas remplies", a-t-il ajouté.

Le porte-parole a déclaré que les négociations visant à ressusciter l'accord nucléaire de 2015 sont toujours en cours, car trois groupes de travail distincts traitent des cas respectifs.

"Un pourcentage remarquable des questions en suspens a été (traité) dans ces groupes de travail, tandis qu'un certain pourcentage (de progrès supplémentaires) nécessiterait des décisions politiques", a-t-il ajouté.  

L'Iran est prêt à assister à une nouvelle réunion de la commission mixte du PAGC à Vienne si nécessaire, a déclaré M. Khatibzadeh.

Le dernier cycle de négociations du PAGC, qui a débuté le 6 avril, examine le potentiel de revitalisation de l'accord nucléaire et le retour probable des États-Unis.

Les États-Unis ont quitté le PAGC en 2018 et ont rétabli les sanctions économiques que l'accord avait levées. Téhéran a riposté par des mesures nucléaires correctives qu'il est en droit de prendre en vertu du paragraphe 36 du PAGC.

Les réunions de la commission mixte du PAGC réunissent les chefs de délégation des autres parties à l'accord, à savoir l'Iran, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne.

En outre, trois groupes de travail axés sur les questions nucléaires, la levée des sanctions et les modalités de mise en œuvre du PAGC ont tenu plusieurs réunions à Vienne ces dernières semaines.