تقي زاده

تقي زاده

Le président du Conseil iranien de la Choura, Ali Larijani, a affirmé que la situation actuelle en Syrie aura un impact stratégique sur la région, tout en mettant en garde contre l'instabilité en Syrie, laquelle consolidera l'extrémisme dans la région tout entière.

Rencontrant aujourd'hui à Téhéran l'ex-président libanais, Emil Lahoud, à l'issue de sa participation à la conférence internationale de Téhéran sur la Syrie, Larijani a qualifié d' "irréelles" les positions de certains pays régionaux et internationaux appelant à l'enracinement de la démocratie en armant les terroristes et en tuant les civils en Syrie.

Il a fait noter que l'exportation de la démocratie à la Syrie de l'extérieur sous la menace d'armes et de terrorisme est irréalisable.

De son côté, Lahoud a estimé que l'entité sioniste œuvre pour provoquer le chaos et l'instabilité dans la région, notamment en Syrie et au Liban, pour porter atteinte à la résistance.

Lahoud a appelé les Amis de la Syrie à soutenir l'Etat syrien dans sa guerre contre le terrorisme pour préserver l'axe de la résistance.

Le porte-parole du ministère iranien des affaires étrangères, Sayyed Abbas Araghci, a affirmé que l'objectif de la conférence qui se tiendra demain à Téhéran sous le thème "le règlement politique et la constance dans la région", est d'aider à un règlement politique de la crise en Syrie.

Dans une conférence de presse tenue aujourd'hui, il a souligné que le règlement de la crise en Syrie ne peut être réalisé que via le dialogue national entre toutes les composantes du peuple syrien, dont les opposants qui croient en la ligne pacifique.

Il a exprimé son souhait que la conférence, à laquelle participent environ 40 pays, parvienne à un règlement politique de la crise.

En ce qui concerne le désir de certains pays européens de fournir l'Arme aux groupes terroristes armées en Syrie, il a souligné que ces pays adoptent une position fausse et dangereuse via l'appui aux groupes terroristes en Syrie, ajoutant qu'une telle méthode ferait écrouler les efforts déployés pour un règlement politique en Syrie et prolongerait la crise.

Il a fait noter, à cette occasion, qu'aucune invitation n'a été adressée jusqu'à présent à l'Iran pour assister à la conférence de Genève II, ajoutant que son pays étudiera avec positivité toute invitation à ladite conférence.

Il a critiqué, d'autre part, les déclarations du chef de la diplomatie turque sur les événements en Syrie, jugeant qu'elles sont contraires à ce qui se passe sur le terrain.

Abdullahian appelle à ne pas s'ingérer dans les affaires syriennes et à recourir aux voies diplomatiques pour résoudre la crise

L'adjoint ministre iranien des Affaires Etrangères pour les affaires arabes et africaines, Hussein Amir Abdullahian, a réaffirmé la nécessité de ne pas intervenir dans les affaires intérieures de la Syrie, soulignant que son pays soutient la solution politique de la crise par les voies et les solutions démocratiques.

Cité par l'agence iranienne de l'information "Fares", Abdullahian a éclairci, lors de sa rencontre avec le directeur du département du Moyen Orient au Quai d'Orsay, Jean-François Girault, à Téhéran, les positions de Téhéran vis-à-vis de la situation en Syrie et dans la région, appelant la France à suivre les voies diplomatiques pour résoudre la crise en Syrie, et à déployer des efforts pour ne pas attiser la crise et la violence sur les deux plans, régional et international.

Notons que l'Iran accueillera demain la conférence des amis de la Syrie, à laquelle participeront 40 pays dans le but de parvenir à une solution politique de la crise en Syrie.

Conférence internationale sur la Syrie à Téhéran (Archives)L'Iran accueille ce mercredi une conférence internationale visant à trouver une "solution politique" au conflit en Syrie.

"Plus de 40 pays sont attendus, ainsi qu'un représentant de l'ancien secrétaire général des Nations unies Kofi Annan", a précisé le vice-ministre des Affaires étrangères, Hussein Amir Abdullahian.

L’Irak et l’Algérie y ont dépêché leur chef de la diplomatie. La Russie, la Chine et la majorité des pays d’Amérique latine participeront à cette réunion.

Téhéran a en outre invité nombre de pays, dont l'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie, qui avaient des positions différentes de la crise en Syrie.

"Ce que nous allons faire à Téhéran et ce que vont faire les parties internationales à Genève-2 doit faire en sorte que les conditions soient réunies pour que les Syriens puissent décider de l'avenir de leur pays", a expliqué M.Abdullahian.

Et d’ajouter : la réunion intitulée "solution politique et stabilité régionale", constitue un pas pour réaliser une solution politique basée sur le dialogue national et l'arrêt de la violence en Syrie.

Le site d’information de l’Imam Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, a annoncé que le Guide suprême, chef des forces armées, s’était rendu à la cérémonie de remise des grades des étudiants de l’école militaire de l’Université « Imam Hussein (AS) ».

L’Imam Khamenei s’est recueilli sur les tombes des soldats inconnus et a rendu hommage à leur souvenir et aux infirmes de guerre présents à cette cérémonie.

Il a ensuite fait allusion à l’épopée politique que le peuple d’Iran connaitra lors des prochaines élections, le 14 juin 2013, qui sera le prélude à de nouvelles victoires pour la révolution et le régime, a recommandé aux gens de faire attention aux slogans des candidats et aux candidats de respecter les principes du régime, d’éviter de dire du mal de leurs concurrents dans la course électorale et d’éviter le gaspillage, et a souhaité que l’avenir de ce pays soit un modèle pour tous.

« Nous ne savons pas qui sera le Président et vers quel candidat Dieu orientera les gens mais nous savons que la participation massive aux élections sera le signe de la force du peuple et la garantie de notre prestige international, sera une source de joie pour les amis et causera un grand dépit à nos ennemis. Les ennemis tentent de décourager les gens de participer aux élections car une participation massive leur sera néfaste.

Comment des gens qui sont à l’origine de la prison de Guantanamo et des drones qui bombardent les villages du Pakistan et de l’Afghanistan, ont semé le désordre dans la région et soutiennent de façon inconditionnelle et honteuse le régime sioniste, peuvent-ils donner un avis sur nos élections ? Leurs déclarations ne méritent même pas une réponse du peuple iranien et du gouvernement mais sont une leçon pour le peuple et montre l’importance de ces élections.

Voilà 34 ans que les ennemis lors de chaque élection, lancent un tapage médiatique sans réussir et ce sera encore le cas cette fois-ci. Les gens doivent choisir quelqu’un qui renforcera la gloire de la révolution et du pays, pourra régler les problèmes et résister aux ennemis pour que la révolution devienne un modèle pour les opprimés dans le monde. Pour ce choix qui est un choix important, il existe des voies légales, et les différences d’opinion ne doivent pas être à l'origine de rancunes.

Les candidats doivent poursuivre la campagne avec enthousiasme mais ne pas créer des problèmes. Il faut que les discussions soient vivantes et enthousiastes, mais sans causer de haine. Les gens jugeront les candidats sur leur propagande et leurs investissements, ceux qui se servent du bien public ou de biens illicites, ne pourront pas attirer la confiance des électeurs.

L’important est que leur discours renforce l’honneur et le prestige de la révolution et du régime islamique. je recommande aux candidats de ne pas donner de feu vert à certains opposants à l’étranger ou en Iran, car l’ennemi cherche à décourager les gens et certaines personnes sans scrupules, répètent leurs paroles à l’intérieur du pays. La défense de la révolution est une des charges importantes de cette université, cela exige une connaissance juste et profonde des principes idéologiques du régime et leur respect. Il y a des gens qui sont entrés dans le combat avec une connaissance limitée et superficielle de ces principes et ont fait volte face au premier coup de vent.

La connaissance de l’Histoire de la révolution est aussi très importante, car elle est la manifestation de ces principes et la concrétisation de cette théorie. Les médias étrangers mettent l’accent sur les petits problèmes qu’ils accentuent, pour faire oublier les expériences réussies du régime islamique et faire croire à une incompétence des principes révolutionnaires sur le terrain.

Tous les gens et spécialement les jeunes, doivent être au courant de l’Histoire de la révolution, c’est une des responsabilités des professeurs et des responsables de cette université et des autres universités. Cette connaissance sera la garantie d’un avenir meilleur. Depuis la victoire de la révolution jusqu’à aujourd’hui, chaque pas que nous avons franchi a été l’annonce d’une nouvelle étape, c’est la raison pour laquelle nous ne sommes jamais tombés dans l’impasse ni n’avons été découragés.

La voie qui mène à nos objectifs est ouverte devant nous et si nous n’avons pas fait les progrès souhaités c’est à cause de nos faiblesses et non à cause de l’existence de problèmes insolubles », a déclaré l’Imam Khamenei.

Shiaonline, ce n'étaient pas uniquement des libanais, des syriens des israéliens , des iraniens ou encore des irakiens qui suivaient de près et avec attention samedi le discours extrémement important du secrétaire général du Hezbollah. Nasrallah a eu un autre auditeur autrement attentionné : Obama!! selon une photo publiée par le site , Obama suivait de près la traduction de ce discous qui a eu , selon son entourage , pour lui la valeur d'"une déclaration de guerre !

Le commandant en chef des forces terrestres iranienne l'a confirmé : "les unités de l'armée terrestres viennent de se doter d'un nouveau modèle de missiles anti-blindé d'une très haute performance".

"Nous avons conclu des contrats avec le secteur d'industrie de la défense qui nous fournit ses derniers acquis. Les missiles anti blindés en question sont d'une très haute précision et ils sont spécialement destiné aux chars dotés des blindés réactionnels et imperméables aux missiles", a déclaré le général Amir Pourdastan.

"Les forces terrestres de l'armée viennent également faire l'acquisition des radars de surveillance terrestre et des véhicules techniques et tous ces équipements aident notre armée de terre à agir avec plus d'efficacité", a-t-il continué.

Le général Amir Pourdastan a, aussi, confirmé l'acquisition par les forces terrestres iraniennes de nouveaux types de blindés, conçus par les ingénieurs iraniens.

Ces véhicules ont été mis à l'épreuve au cours des récentes manœuvres militaires Beitholmoghadas 25.

 

« Faites comme bon vous semble, mais nous au Hezbollah ne pouvons être dans le même axe que celui des Etats-Unis et d’Israël et dans le même camp que celui des dénicheurs des tombes, des dévoreurs des cœurs et des coupeurs de têtes», a scandé le secrétaire général du Hezbollah Sayed Hassan Nasrallah dans un discours transmis via écran, au cours d’un festival organisé dans la localité Imad Moughniyé dans la Bekaa de l’Ouest à l’occasion de 13 années de la libération.

Selon le numéro un du Hezbollah, ce qui se passe en Syrie n’est pas seulement une atteinte directe à la Résistance et à son axe de la part de l’axe qui s’est constitué dans la région, sous la direction des Américains et qui comprend entre autre les groupuscules takfiris, dont l’accès en Syrie leur a été facilité, « aussi bien pour se débarrasser du pouvoir en Syrie que d’eux ».

« Notre choix permettra de défendre le Liban, la Palestine et la Syrie », a-t-il ajouté. Estimant que le danger des groupuscules takfiris ne menacent pas seulement les Chiites, mais aussi les Sunnites et les Chrétiens. A cet égard il a cité les exemples irakiens, pakistanais et afghans, ainsi que ceux de la Tunisie, de la Libye, de la Somalie..

Et de préciser : « La Syrie est le dos de la Résistance et son soutien, la Résistance ne peut rester les bras croisés alors qu’on tente de casser ce dos et d'éliminer son soutien, ce serait de la stupidité... Les idiots sont ceux qui regardent le danger avancer vers eux, sans rien faire ».

Dans la première partie de son discours, Sayed Nasrallah a signalé que l’entité sioniste poursuit depuis la guerre 2006 ses exercices militaires et civils annuels sans répit alors que de l’autre côté, celui de l’Etat libanais, il n’en est rien. « Les Américains empêchent l’obtention de l’armée libanaise d’armement qui lui permet de faire face à une agression israélienne. De l’autre côté, des armements sont vendus par des dizaines de milliards a certains pays de la région parce qu’ils ont donné leur garantie qu’ils ne seront jamais utilisés contre Israël », a-t-il constaté.

S’agissant de l’échéance électorale législative au Liban, son éminence a assuré que le Hezbollah est farouchement hostile au vide politique, raison pour laquelle ses députés ont présenté leur candidature la semaine passée, à la base de la loi contestée de 1960.

Je vous remercie pour votre présence en cette célébration qui est d’ailleurs votre fête, car c’est votre victoire, votre exploit, votre salut de l’occupation. Je vous félicite aussi bien à l’occasion de la naissance de notre maitre l’Imam Ali, que pour cette fête nationale, celle-là qui restera à jamais celle de la libération. En cette occasion, nous devons nous souvenir de tous les sacrifices qui sont derrière cette exploit, celui des martyrs, des détenus, de leurs parentes et proches, qui ont fait preuve de patience, de persévérance et de résistance et étaient prêts a tous les sacrifices. Il faut se rappeler de l’équation : Armée, Peuple et Résistance, sans laquelle cette libération n’aurait pas eu lieu. Il faut aussi évoquer les grands hommes de la libération : le sayed (maitre) de cette résistance, Sayed Abbas Moussaoui (l’ancien secrétaire général du Hezbollah tué par Israël en 1992) ainsi que son premier cheikh, cheikh Ragheb Harb (le religieux qui a été l’un des premiers à résister au Liban du sud à l’occupation israélienne a été tué en 1983) et le commandant de cette victoire Imad Mough

Je salue nos chers habitants de la Bekaa de l’ouest où nous avons voulu commémorer cette année notre fête, pour nous rappeler ses martyrs, ses moudjahidines et son peuple fier et patient pour les sacrifices qu’il a accordés et rappeler le rôle de central de cette région dans la libération et la victoire de l’an 2000.

Dans son livre sacré, Dieu a dit : ((Nous t’avons envoyé Moïse pour sortir ton peuple des ténèbres vers la lumière et leur rappeler les jours de Dieu))

Le 25 mai 2000 est bel et bien un des jours de Dieu durant lequel s’est incarnée Sa Miséricorde, sa Générosité, et sa compassion ainsi que Sa Colère et Sa Puissance contre les sionistes et tous les oppresseurs...Un jour pareil qui est devenu une fête de la résistance devrait rester vivant dans notre mémoire et être retransmis de génération en génération, car il résume une confrontation historique nationale et renferme des leçons qui ouvrent la voie pour un avenir radieux...

Le jour ou Israël est aussi sorti de la bande de Gaza grâce aux sacrifices du peuple palestinien, de même que le jour où les USA sont sortis de l’Irak, ce sont tous des jours glorieux qui devraient être des fêtes célébrées au niveau de toute la nation visée par le projet américano-sioniste et qui s’illustre par ces occupations militaires ...

Il ne faut pas non plus oublier les jours tristes : la Nakba (l’occupation de la Palestine) en mai 1948 et la Naksa en juin 1967. Il y a Nakba et Naksa et il y a aussi des victoires. La Nakba est une catastrophe pour tous les peuples arabes et pas seulement pour les palestiniens, et ce sont ces peuples qui en subissent les séquelles... Il en est de même pour la Naksa. Il faut garder en mémoire les leçons tirées. D’aucuns voudraient nous faire oublier ces jours car ils veulent que nous soyons sans mémoire et sans histoire.

Nous organisons cette commémoration alors que nous, Libanais en particulier, faisons face à des menaces, défis et dangers. Deux dangers sont retenus. Le premier est celui d’Israël et qui se perpétue depuis la nakba. Le deuxième consiste en les transformations perpétrées en Syrie, qui est notre voisin, et l’apparition entre autre dans ce pays des courants takfiris. Pour faire face au premier danger, regardons un peu ce qui se passe au sud, - ces temps-ci nous devons désormais regarder aussi bien au sud qu’au nord-. Voilà Israël qui poursuit son projet en toute assurance, sans être inquiété, sans aucune critique de la part des pays de la région, ni de la communauté internationale : judaïsation de Jérusalem AlQuds, la poursuite des colonisations... Sans répit, Israël se prépare : il élabore des plans et effectue des manœuvres aussi bien militaires que civils sur le front intérieur, qu’il a baptisé « Point de Transformation », 1 et 2 et 3 et ainsi de suite depuis 2006.

Depuis 2006, Israël a effectué des manœuvres annuellement sur le front interne. Ces exercices concernent le gouvernement, la police, les alarmes, les hôpitaux, les rues, et tout ce qui a trait à la défense civile...Demain dimanche auront lieu de nouvelles manœuvres du front interne. Cette fois-ci, ils ne les ont pas baptisées Point de Transformation, comme ils avaient l’habitude de le faire. Elles sont baptisées Front solide 1, car les Israéliens estiment être passée a une nouvelle phase selon laquelle le front interne est désormais solide et peut faire face à tous les défis... Ils ont un ministre spécialement chargé de ce dossier celui du front intérieur.

En revanche au Liban, lorsque la dernière fois un avion s'est écrasé en mer, on ne savait plus qui dans le gouvernement est responsable des activités de sauvetage... c’était la pagaille. Israël menace le Liban de guerre, il y a une mobilisation de forces militaires depuis plusieurs mois sur la frontière, et il ne se ménage pas de bombarder en Syrie aussi. Depuis 2006 Israël planifie et remédie aux lacunes perçues sur le front de combats et le front intérieur...

Qu’avons-nous fait au Liban, en tant qu’État libanais, pour faire face à n’importe quelle éventualité dans la région ? Le peuple libanais qu’a-t-il préparé pour faire face à une éventualité pareille ? Pourquoi les Libanais n’exigent pas que l’Etat fasse quelque chose ? ... Franchement, nous traversons un moment historique délicat. Nous devrons lui faire face et non pas nous cacher dernière notre doigt ou enterrer nos têtes dans le sable. Au contraire, nous devons lever la tête et faire face aux ouragans qui nous attendent.

Commençons par l’Armée que nous voulons forte et puissante, de point de vue son arsenal, son dispositif humain, ... Rien n’a été fait...Depuis 2005, depuis la fin de la soi-disant tutelle syrienne sur laquelle tous nos maux sont attribués, l’État n’a rien fait pour l’armée libanaise... Parmi les justifications véhiculées, est celle que les américains ont mis leur veto. Il est interdit à toutes les armées de la région d’être dotée d’armements au risque qu’ils menacent Israël. De même pour la Syrie, les Américains s’attellent nuit et jour pour empêcher à la Russie de lui livrer des missiles S300, qui ne sont que des armes défensives, alors que des armes sont vendues au pays arabes en milliards de dollars parce qu’ils ont donné de garanties qu’Israël ne serait jamais menacé.

Le problème de notre armée est qu’elle est nationale et si elle avait les moyens, ses militaires auraient combattu sans réserve, tout comme la résistance, parce que ses éléments sont les fils de notre pays. Sur le champ civil, c’est-à-dire le front intérieur, les israéliens se préparent parce qu’ils ont peur des missiles et non de l’armement aérien. Qui est le responsable libanais de ce front ? Qui se chargent des hôpitaux, des sonneries d’alarme...

Les israéliens examinent chaque année les abris, les chambres sécurisées alors que nous n’avons pas tout cela. Est-ce la résistance qui devrait être chargée de cette affaire aussi ?? Sachez que des réalisations sur l’infrastructure ont été effectuées au sud du Liban, mais ce à la demande du chef du parlement Nabi Berri et non de l’Etat libanais. Sachez, frères dans l’Etat libanais de toutes les générations, que la confiance s’acquiert, et n’est pas un acquis !

Il devrait déployer des efforts pour que les gens aient confiance en lui. En Israël, dans toutes les régions frontalières avec le Liban, ils construisent des colonies et y installent des juifs d’Éthiopie, de Roumanie et autre, en leur accordant des fonds, en leur donnant des armements, et en les soutenant pour qu’ils restent dans ces régions. En contrepartie, nos villages dans les régions frontalières sont vides parce qu’il n’y a pas d’Etat responsable qui adopte une politique de soutien à leurs habitants...Depuis quelques jours quand on a parlé de la résistance au Golan, les colons sont sortis pour réclamer des assistances, un soutien et des armements...Alors qu’au Liban, l’armement qui se trouve entre les mains des gens est considéré par certains comme étant illégitime...

Il y a un problème structurel chez l’Etat libanais depuis les débuts, il ne s’est jamais comporté avec Israël comme étant une menace qu’il faut affronter. C’est seulement une partie du peuple libanais qui s’en est chargée et je n’insinue pas seulement la Résistance islamique

Ce qui s’est passé en l’an 2000 a été l’aboutissement des efforts déployés par toutes les forces de résistance dans cette région : c’est une accumulation de capacités humaines, militaires, logistiques... Aujourd’hui, les Libanais qui ont sorti les israéliens de toutes les régions puis les ont affrontés ultérieurement constituent une menace pour les israéliens...

Nombreux sont ceux au Liban qui veulent se débarrasser de ce peu de résistance... Ils ne peuvent pas désarmer la résistance car elle a combattu les israéliens et jouit de la protection de son peuple

Ils tentent de confisquer son armement en lui assignant où il devrait ou pas entrer en action... Toutes les options et suggestions proposées ne protègent pas un pays ni ne dissuadent un ennemi de le frapper. Seule la conjoncture actuelle peut le faire. Si nous nous mettons d’accord que l’armement de la résistance doit être soumis à l’Etat libanais, ce la sonnera la fin son rôle et de sa fonction.

Nous avons un Etat qui ne peut pas même protéger les funérailles d’un martyr à Saida, qui ne peut arrêter des affrontements à Tripoli, qui ne peut pas se mettre d’accord sur une loi électorale...Vous pensez que cet Etat peut faire face à un ennemi aussi puissant qu’Israël. Cela fait depuis la guerre 2006 que nous réclamons l’édification d’un Etat fort, juste et puissant pour défendre la patrie, quitte à ce que nous revenions à nos mosquées, nos terres et nos travaux, et à ce que nos résistants soient à ses ordres. J’en appelle de nouveau l’Etat libanais à être conscient de la menace que représente Israël qui a mis au point tous les préparatifs d’une guerre.

L’Imam Ali a très bien dit que « ce n’est parce que tu dors que les autres dorment aussi ».

Nous dans la résistance islamique allons poursuivre à assumer nos responsabilités, en dépit des campagnes médiatiques et des menaces de nous inscrire sur la liste des organisations terroristes. Sachant que cela fait longtemps que nous faisons l’objet d’une guerre médiatique, sans pour autant que notre volonté n’en soit altérée.

A tous ceux qui font confiance à la résistance, sachez qu’elle restera auprès de vous, pour vous défendre et garder vos têtes hautes. Dans le contexte actuel, en l’absence d’un Etat fort et responsable, nous disons que sa présence vaut mieux que le vide et le chaos. C’est un principe aussi bien rationnel que religieux...Face à l’échéance législative et à l’échec de parvenir à une nouvelle loi électorale, après une année au cours de laquelle une campagne médiatique et politique a été menée contre le Hezbollah et t le camp du 8-mars en général comme quoi le Hezbollah veut mener le pays au vide, sous prétexte qu’il ne veut pas d’élections et veut le vide dans l’Etat.

Ces propos ne sont que des mensonges parce que quoique nous attendions une nouvelle loi électorale, et malgré la réhabilitation de la loi 60, maudite par les libanais, nous avons pris la décision avant le 14-mars de présenter nos candidatures pour leur dire que nous refusons le vide. Nous sommes devant trois options : soit il faut aller aux élections, soit c’est la prorogation, ou on se met d’accord sur une nouvelle loi.

Dans tous les cas, nous sommes contre le vide. Nous renouvelons notre appel pour faire éviter à l’intérieur libanais les répercussions de la crise syrienne : que vous combattiez en Syrie ou que nous combattions en Syrie, soit. Nous avons des approches très différentes de ce qui se passe en Syrie. Soit. Mais soyons d’accord pour épargner au Liban les répercussions des évènements syriens... Ce qui s’est passe à Tripoli devrait s’arrêter à tout prix. C’est un combat absurde. Ceux qui soutiennent les rebelles qu’ils se rendent en Syrie. Ceux qui soutiennent le pouvoir aussi. C’est un combat qui attriste tous les cœurs. Nous renouvelons cet appel et disons à nos gens da cette ville qu’il n’y a aucune perspective dans ce combat... l’armée libanaise est la seule garante de notre paix civile...

Deuxième dossier : face à cette nouvelle phase, ce qui se passe en Syrie est crucial pour le Liban, pour son présent comme pour son avenir.

Nous n’allons pas nous cacher derrière notre doigt. Nous possédons le courage de parler et d’agir. C’est pour cela que nous allons parler franchement de ce moment historique délicat... Au début des évènements, nous avions dit que les revendications populaires syriennes étaient justifiées et justes, nous avons dit aussi que ce régime présente des aspects aussi bien positifs que négatifs et qu’il faut à tout prix effectuer des réformes, en lançant un dialogue national, sans avoir recours aux armements.

Nous savons qui est la Syrie pour la région, et moi personnellement j’ai œuvré dès le début pour parvenir à un compromis politique avec le président Bachar al-Assad et des factions de l’opposition syrienne...Franchement parlant, le président a accepté le dialogue pour parvenir à un compromis politique et lancer des réformes importantes... Mais c’est l’opposition qui a affiché une fin de non-recevoir, exigeant inlassablement la chute du président. Comme elle était soutenue par les Américains, les Français et Britanniques, par les Arabes du Golfe et la Turquie, elle s’attendait à sa chute dans deux ou trois mois... Les évènements ont depuis bien évolué. Un axe s’est créé, dirigé par les USA, tous les autres pays ne sont que des sbires chez les américains...

Cet axe est bien entendu soutenu par Israël. Le projet des USA dans la région est celui d’Israël...

Al-Qaïda y a été convié, ainsi que toutes les organisations takfiries.. N’allez pas nous persuader que ces bandes takfiries sont venues de leur plein gré en Syrie. Leur accès en Syrie a été facilité. On leur assuré des visas, des armements, des financements... Une guerre mondiale a été menée contre la Syrie : médiatique, militaire, économique, diplomatique,..., et des dizaines de milliers de combattants étrangers n’ont pas gêné les soi-disant amis de la Syrie à Istanbul et ailleurs...

Mais les de quelques combattants du Hezbollah qui sont intervenus ont provoqué un tollé...

Depuis le début, nous avons mis en garde que la Syrie était en train de s’effondre... l’autre axe s’obstine à vouloir mener la bataille jusqu’à la fin...

Nous savons qu’au cours de deux années, des suggestions et des compromis avaient été proposés par le gouvernement syrien à un État de la région, mais ils ont été rejetés catégoriquement car ces états ne peuvent accepter que ce pouvoir syrien reste. En deux ans, quelle est la donne : il existe une opposition à l’étranger sans liens étrangers et qui a sa logique et sa vision et est disposée à effecteur un dialogue. Il existe en revanche une autre faction de l’opposition, composée de fonctionnaires chez la CIA et les autres services européens et arabes. Leur décision est confisquée. Sur le terrain, dans toutes les régions qui sont sous l’emprise de cette opposition, les Occidentaux, les Arabes, les services de renseignements savent tous que la force la plus importante est celle du courant takfiri que personne ne peut maitriser. Ses membres ont été apportés en Syrie pour qu’ils combattent le pouvoir en Syrie avant d’être sacrifiés lors d’un compromis...Ces bandes reçoivent un soutien des pays arabes qui voudraient se débarrasser du régime et d’elles en même temps, sans être conscients des répercussions, de l’expérience qu’elles sont en train d’accumuler, occultant l’éventualité qu’elles retournent...Le sujet aujourd’hui n’est plus celui d’un peuple révolté contre le régime, mais c’est tout à fait autre chose. J’en arrive à notre vision.

L’emprise de ces groupuscules en Syrie et surtout dans certaines régions syriennes, surtout celle frontalières avec le Liban, constitue un danger pour le Liban, pour les Libanais, pour l’Etat libanais, pour la résistance libanaise et la cohabitation entre les Libanais...Si ces bandes parviennent à maitriser les provinces proches du Liban, elles constituent un danger pour tous les libanais, musulmans et chrétiens, sunnites et chiites... Ceux qui combattent en Syrie sont le prolongement de l’État islamique en Irak. Demandez aux Irakiens eux-mêmes combien ils ont tué de religieux sunnites, combien ils ont bombardé des mosquées, pas seulement chiites, combien de cheikh de tribus sunnites ils ont abattus...Dans leurs littératures, ils se vantent d’avoir commis 4000 opérations suicides contre toutes les communautés irakiennes. Le problème de ces takfiris est d’apostasier tous ceux avec lesquels ils ne sont pas d’accord, pour les raisons les plus minimes. Ceux qui participent aux élections pakistanaises ont été abjurés au Pakistan, en Irak, en Afghanistan...La plupart de ceux qui ont été tués sont des sunnites.

J’ai des chiffres sur les atrocités de cette mentalité takfirie en Irak, Afghanistan, au Pakistan et en Somalie, et selon lesquels ils ont tué plus de sunnites que les autres musulmans...

Dernièrement, la Tunisie, la Libye et même les pays qui les ont fabriqués commencent à en pâtir. Nous nous attendons à la même chose au Liban...Cette mentalité n’accepte aucun dialogue, ne perçoit aucun terrain commun, rejette tout compromis. Il lui suffit quelques divergences pour être en droit de tuer les autres...

C’est ça le danger réel. Nous n’approchons pas le sujet d’un point de vue chiite ou sunnite, et considérons que tous les musulmans sans exception sont menacés. Leurs financeurs et leurs supporters ne sont autres que les Américains. Car c’est leur unique moyen pour garder leur emprise sur la région.

Dès le début de la crise, ces éléments ont menacé que dès que le régime tombera, ils vont venir chez nous au Liban. Ils ont dès le début donné leur accréditation aux Américains, au motif qu’ils veulent s’en prendre à ces Libanais qui ont humilié Israël ; ils ont kidnappé les pèlerins en Syrie

Nous sommes donc face à l’hégémonie du courant takfiri. La Syrie n’est plus qu’une scène pour imposer le projet des USA qui est celui d’Israël...La Syrie est le dos et le soutien de la résistance et la résistance ne peut rester les bras croisés alors que son dos est cassé et son soutien menacé, sinon ce serait de la stupidité.

Les Idiots sont ceux qui regardent la menace avancer a grands vers eux sans broncher. Si la Syrie tombe entre les mains des US et des takfiris et de leurs outils régionaux , la résistance sera assiégée, et les Israéliens reviendront au Liban pour de nouveau imposer leur diktat. Si la Syrie tombe, la Palestine sera perdue à jamais, les peuples de notre région feront face à une étape obscure et dure...

Nous sommes face à deux protagonistes : le premier étant celui des USA et des groupuscules takfiris qui arrachent les cœurs, coupent les têtes, et dépouillent les tombes, celle qui s’en prennent même à l’histoire, qui pourtant a été conduit dans la plupart des temps par des sunnites

De l’autre côté, nous avons un État qui a une position claire de projet sioniste et qui ouvre la voie aux compromis.

Faites comme bon vous semble. Mais le Hezbollah ne peut jamais être dans le même axe que celui des américains, des Israéliens, et des dépouilleurs des tombes, des arracheurs des cœurs et des coupeurs de têtes. Le Hezbollah ne peut en aucun cas être dans un front qui veut détruire tous les exploits réalisés par la Résistance, et nous transformer de nouveau en sujets des USA et de leur projet du Nouveau Moyen-Orient, dont la chute a coûté la vie à des dizaines de milliers de martyrs...

Celui qui veut rester neutre qu’il le reste, ceux qui ont toujours pensé que rien ne pouvait changer l’équation, ont vu comment la Résistance est parvenue à changer la donne.

Avec notre position, nous défendons le Liban, la Palestine et la Syrie

Cette position nous vaudra surement une campagne médiatique acharnée. Il en a été ainsi avant que nous n’intervenions.... Nous sommes pleinement conscients que les campagnes médiatiques ne cesseront jamais...Le fait de nous inscrire su la liste de terroriste, ce n’est pas nouveau non plus... chaque fois qu’une personnalité rend visite à Israël, il se démêle contre le Hezbollah. Votre liste de terroriste vous n’avez qu’à la boire. Nous accuser d’être des terroristes est contraires à la réalité : notre lutte partout, même en Bosnie et Herzégovine ou nous avons envoyés des frères pour combattre aux côtés des combattants bosniaques en est la preuve. C’est la première fois peut-être que je l’évoque. Pourtant ce sont des sunnites. Il n’y a pas de chiites dans cette région.

Personne ne peut nous accuser d’être confessionnels. Ce ne sont que des mensonges...

Par ailleurs, il faut voir les parents des martyrs, ce qu’ils disent, ils parlent comme nous...nous ne nous attendions pas de leur part à des positions aussi fortes... Des medias veulent faire croire que les combattants sont envoyés en Syrie à leur insu ou malgré le refus de leurs parents.

En trente années, personne n’est jamais allé au front par la force, tous les combattants y vont de leur plein gré...

Nous n’avons même pas besoin de déclarer le Jihad. Quelques mots seulement suffisent pour mobiliser des dizaines de milliers de moudjahidines prêts à se rendre aux fronts. Des milliers viennent exprimer leur disposition à faire part aux combats. Nous avons un règlement à la Résistance, celui de ne jamais envoyer au front le garçon unique d’une famille, surtout sans autorisation parentale. Aujourd’hui, ce sont les parents, père et mère qui viennent ensembles pour donner l’autorisation

J’ai pris la décision que même avec l’autorisation, de ne plus les dépêcher, mas les parents m’ont envoyé des lettres pour me supplier de les laisser partir...

Cela fait 30 ans que vous n’avez rien compris... Vous ne comprenez pas cette résistance ni son environnement, ni sa base...Les fausses introductions aboutissent toujours à de faux résultats

Nous sommes face à une nouvelle phase, celle de couvrir la résistance au Liban et de protéger son dos... Je ne demande à personne de nous aider. A l’instar des autres batailles, nous serons à la hauteur, nous serons ses hommes, et Inchallah, si Dieu le veut nous en sortirons victorieux !

Gens honorables, vous qui avez tant sacrifié, tans patienté, tant persévéré, sachez que nous allons poursuivre cette voie et supporterons toutes les séquelles qui découleront de cette responsabilité.

Comme je vous avais promis la victoire au début de la guerre 2006, je vous en promets une nouvelle.

Le sénat américain vient de votr uen résolution anti iranienne censé "en apparence" soutenir Israël face à l'Iran : le texte stipule un durcissement des sanctions contre l'Iran et un soutien tous azimut à Israël en cas de confrontation militaire avec l'Iran . Mais les analystes ont une autre lecture de cette résolution votée avec 99 voix pour , sans aucune voix contre ! la résolution exige à l'administration Obama d'autoriser en vertu de la constitution américaine le congrès à donner l'ordre d'attaque si Israël entrait en guerre contre l'Iran. la presse israélienne s'en félicite à titre d'une grande victoire et pourtant , "il n'y a qu'à y regarder de plus près pour y voir une douche froide à l'adrsse des pulsions guerruères du premier ministre Netanyahu,, fait remarqur Buisiness Week. "le texte dit que si Israël se voit dans l'obligation (verb: Compel) de se défendre ( verbe: legitime autodéfense) , le congrès devra autoriser le soutien militaire à Israël" note le site. ce qui gène les analystes c'est le mot " légitime" qui ne peut par définition couvrir " les frapprs à caractère préventif" qu'applle de ses voeux Netanyahu. le sénat a donc tenté de corser toute offensive israélienne contre l'Iran tout en essayant de prouver son allégeance aux lobbys sionists très puissants au sein d l'appareil législatif. Israël le sait : sans l'aide US il est incapable d'attaquer l'Iran

le commandant en chef de l'Armée de l'Air israélienne le prévoit : si l'Iran ou le Hezbollah entrent en guerre contre Israël, la guerre sera longue et doulourese" Cité par Al Manar, le général Amir Eshel a menacé de bombarder la Syrie si Assad venait à être renversé et ce pour éviter que les armes de pointe tombe entre les mains des jihadistes ou du Hezbollah. "" si Israël et le Hezhollah s'impliquent l'armée de l'Air israélienne devra combattre sur trois fronts" Eshel dit et on ne sait sur fond de quelle source que les S300 sont en route pour la Syrie"" la suprématie aérienne est vitale pour israël et pour la préserver il faut se préparer à combattre une nouvelle génération de capacités ennemies"

Le porte-parole de la diplomatie iranienne a qualifié les déclarations interventionnistes du porte-parole du département d’Etat américain sur la prochaine présidentielle iranienne d’illégales et d’offense faite à la nation iranienne.

Abbas Araghtchi,porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a conseillé aux autorités américaines de promouvoir leur niveau d’informations et de connaissances sur es mécanismes légaux dans l’Ordre de la RI et dans la Constitution iranienne.

Indiquant que la politique moyenne-orientale des Etats-Unis souffrait toujours du manque de renseignements et d’analyse profonde, Araghtchi a ajouté que ces appréciations infondées sur le processus électoral iranien, basée sur des informations insuffisantes, étaient non seulement une sorte d’ingérence dans les affaires iraniennes et contraire aux principes internationales, mais qu’elles étaient aussi une sorte d’offense faite à la conscience politique du peuple iranien.