تقي زاده

تقي زاده

La première centrale nucléaire de l'Iran à Bushehr pourrait commencer à fonctionner « très bientôt », a déclaré mercredi l'agence atomique russe Rosatom.

« Je n'ai jamais annoncé la date exacte car notre priorité absolue est la sécurité et la décision finale sera prise par le client », a déclaré Sergueï Kirienko, le chef de Rosatom aux journalistes.

Il a ajouté que la Rosatom comprend parfaitement les préoccupations de l'Iran parce que Bushehr est la première centrale nucléaire iranienne.

« Nous allons tester et vérifier (la centrale) aussi longtemps que nécessaire. Les travaux de finition sont en cours et l'usine devrait être lancée prochainement », a déclaré M. Kirienko, ajoutant le lancement pourrait venir « avant l'arrivée de l'été ».

La construction de la centrale de Bushehr a commencé en 1974 par des entreprises allemandes. Toutefois, les travaux ont été interrompus lorsque les États-Unis ont imposé un embargo sur la fourniture de la haute-technologie à l'Iran.

La Russie a signé un contrat avec l'Iran pour achever la construction de la centrale en 1998. L'achèvement de la construction de l'usine a été reporté à plusieurs reprises en raison d'une augmentation des défis techniques et financiers et d' une pression de la part de Washington.

Quelque 300.000 personnes ont fui les combats au Darfour, une région de l'ouest du Soudan en proie à la guerre civile, au cours des cinq derniers mois, a annoncé une responsable de l'ONU jeudi à Khartoum.

L'ONU évalue à 300.000 le nombre de personnes ayant fui les combats au Darfour au cours des cinq premiers mois de cette année, a déclaré à la presse la responsable des opérations humanitaires de l'ONU, Valerie Amos, à l'issue d'une visite au Soudan.

Mme Amos a qualifié cette situation de très inquiétante, dans la mesure où ce nombre dépasse selon elle le total des personnes déplacées au cours des deux dernières années.

Au cours de sa visite de trois jours au Soudan, Mme Amos a rencontré le président soudanais Omar el-Béchir et a visité le camp de réfugiés de Zamzam, dans une région du Darfour-Nord.

Le Darfour est en proie à des combats depuis 2003, quand des tribus noires se sont soulevées contre le gouvernement de Khartoum. Bien que les violences aient diminué, des combats perdurent entre rebelles et forces gouvernementales. Les civiles du Darfour ont manifesté en faveur de la sécurité dans la région lors de la réunions des donateurs de la réuinion au Qatar.

Au Nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux

Le 13 de mois béni Radjab : L`heureux naissance de Imam Ali(p):

Au treizième jour de ce mois de radjab 23 ans Av. Hégire, 'Alî (p) est né à l'intérieur de la Ka'ba. Personne avant lui et après lui n'a jamais vu le jour dans cet endroit. C'est un honneur que Dieu, que Son nom soit béni, a donné à 'Alî (p). Al-Allûssî, qui est un savant sunnite, a dit à ce propos "La naissance du Prince, que Dieu honore sa face, à l'intérieur de la Maison est une chose très connue dans le monde et reconnue dans les livres des deux parties, les Sunnites et les Chiites". De son côté, 'Abdulbâqî a dit :

Tu es l'Eminent (littéralement, 'Alî) qui a occupé une haute place au-dessus des hauteurs !

Tu es né au milieu de la Mecque, à l'intérieur de la Maison !

'Alî (p) est né dans la Maison de Dieu. Dieu, cela va de soi, n'a pas une maison à la manière des hommes. La maison de Dieu, Kaaba est la maison à partir de laquelle s'élève le culte que l'homme voue à Dieu, ainsi que ses invocations et ses implorations. Elle est l'endroit à partir duquel l'âme de l'homme prend son chemin vers Dieu. Dès ses premières prises de conscience, 'Alî (p) était une personne qui aimait Dieu et que Dieu aimait. Lors de la bataille de Khaybar, le Noble Prophète (P) a dit : "Demain, je donnerai l'étendard à une homme qui aime Dieu et qui est aimé de Dieu".

'Alî (p) s'adressait avec humilité à son Seigneur et L'invoquait en ces termes : "Comment Tu me tortures alors que ton amour remplit mon cœur ?". Nous lisons dans l'invocation dite de Kumayl : "Suppose, ô mon Seigneur, que je supporterai ton châtiment, mais comment supporterai-je le fait de me séparer de Toi ? Suppose que je supporterai la chaleur de Ton Feu, mais comment supporterai-je le fait de ne pas regarder Ta Gloire ?".

Si tu m'enverras au Feu, cela signifie que je serai séparé de Toi. Mais je ne supporte pas le fait d'être séparé de Toi, car mon cœur est avec Toi, ma raison est avec Toi, mes sentiments sont avec Toi et ma vie est avec Toi. Seigneur ! Toute ma conduite est fondée sur le fait que je sais que Tu es Dieu et qu'il n'existe d'autres divinités en dehors de Toi.

La maison du Messager de Dieu (p)… La couveuse de 'Alî (p)

Parmi les signes distinctifs de 'Alî (p), on note le fait qu'il a été élevé dans le giron du Messager de Dieu (P). Son père Abû Tâlib avait une famille nombreuse et ne possédait pas assez d'argent. L'un de ses frères a pris en charge l'un de ses enfants alors que le Messager de Dieu (p) a pris 'Alî chez lui dans sa maison. Certaines traditions notent qu'il avait alors deux ans. 'Alî a donc été élevé dans le giron du Prophète (P). Il a été éduqué d'une éducation provenant du Prophète (P). Il a assimilé ses moralités, il a été guidé par lui, il a pris pour exemples ses paroles et ses actes et il a passé toute sa vie auprès de lui. L'Imâm 'Alî (p) en parle lui-même en disant :

'vous savez bien que je suis un proche parent du Messager de Dieu et qu'il me donnait auprès de lui une place distinguée. Il m'a mis dans son giron alors que j'étais nouveau-né, comme le fait une mère avec son enfant. Il me faisait dormir dans son lit où je touchais son corps et je humais son parfum. Il mâchait la nourriture avant de me la mettre dans la bouche. Il n’a jamais trouvé à mon compte un mensonge dans mes parole ou une stupidité dans mes actions. Dieu avait chargé le plus Grand parmi Ses anges de l'accompagner et de le guider, jour et nuit, sur la voie des bonnes œuvres et des grandes moralités. C'est donc Dieu qui a éduqué le Prophète (P). Je le suivais comme le petit chameau qui suit sa mère.Chaque jour, il m’apprenait l’un de ses bons caractères, et m'ordonnait de le suivre et de l'imiter. Il se retirait chaque année à la grotte Hirâ' et, comme je l'accompagnais, je le voyais et personne en dehors de moi ne le voyait. Il n’y avait aucune maison dont tous les habitants étaient musulmans en dehors de celle du Messager de Dieu et de Khadîja ; moi j’en étais le troisième. Je voyais la lumière de la révélation et je humais le parfum de la prophétie".

Les vertus de 'Alî (p)

L'histoire nous fait savoir que l'un des compagnons de 'Alî (p), à savoir Dhirâr Ibn Dhamra, a rejoint Mu'âwiya après la mort en martyr de 'Alî (p). Un jour Mu'âwiya lui a dit : "Décris-moi 'Alî". L'homme s'est refusé tout d'abord mais, obligé de la faire par Mu'âwiya, il a fini par dire : "Comme le fait de le décrire est incontournable, par Dieu, il était très clairvoyant et possédait d'immenses capacités. Sa parole était décisive et son jugement juste. Sa parole est véridique et dans son jugement, il s'attache à la justice et au droit. La science jaillissait de tout son être et la sagesse fusait de toute son âme. Il se sentait mal à l'aise face à ce monde-ci et ses plaisirs et se montrait satisfait avec la nuit et sa solitude. Il ne s'intéressait pas à la vie de ce bas-monde. Cette vie ne l'attirait pas, car il était complètement attiré par l'Autre monde et par Dieu. Il préférait la nuit car son calme lui permettait de prier et de s'adresser à son Seigneur. Ses larmes étaient abondantes. Il pleurait et ses larmes couvraient son visage. Il se plongeait longuement dans ses pensées. Il avait la pensée occupée et les idées ouvertes à l'univers tout entier, à la vie toute entière et à toute la responsabilité, car tout en lui était ouvert à la connaissance de Dieu et à la responsabilité de l'homme devant Dieu. Il tournait ses doigts en pensant et il parlait à soi-même. Il s'adressait à soi-même pour s'étudier et pour demander à son âme de lui rendre des comptes sur tous les détails de sa vie. Il n'était pas comme ceux qui s'oubliaient à force de contacter les gens. Les vêtements et les aliments durs lui plaisaient. Parmi nous, il était comme l'un de nous. Il ne voulait pas être traité comme calife et que ses sujets soient traités comme des simples auxiliaires. Il nous rapprochait de lui quand nous nous rendions chez lui et nous répondait quand nous l'interrogions. Il s'exécutait lorsque nous l'appelions et nous apprenait lorsque nous cherchions à apprendre auprès de lui. Bien qu'il nous rapprochait de lui, par Dieu, nous n'osions pas lui adresser la parole tellement il était majestueux. Sa personnalité était majestueuse et il s'imposait là où il se trouvait. Lorsqu'il souriait, il montrait des dents telles des perles bien rangées. Il vouait un grand respect aux personnes pieuses, et il rapprochait les pauvres. Les puissants n'espéraient point trouver chez lui de l'injustice à exploiter, et les faibles ne désespéraient point de sa justice. Je témoigne que je l’ai vu, dans certaines de ses postures, au milieu de la nuit, alors qu’il se tenait debout dans son lieu de prière tout en tenant comme pour l’arracher, sa barbe de sa main, tout en gémissant comme quelqu’un qui est mordu par un serpent, tout en pleurant comme un affligé et tout en disant : « O la vie de ce monde-ci ! Eloigne-toi de moi. Est-ce moi que tu tentes de séduire ? Est-ce moi que tu désires ? Que je n’ai pas besoin de toi ; ce que tu tentes est irréalisable. Va donc séduire d’autres. Je t’ai répudiée par trois fois sans possibilité d’arrangement. Vie ! Tu es courte ; tu as peu d’importance et ce qu’on peut espérer de toi est ridicule. Les provisions sont chétives, le chemin est long, le voyage est interminable et l’endroit où nous irons est d’une gravité immense ".

On dit que Mu‘âwiya a pleuré en entendant ces propos de Dhirâr et s'est mis à essuyer ses larmes de ses manches. Toute l'assistance a également pleuré. Mu'âwiya a fini par dire : "Que la miséricorde de Dieu soit sur Abû al-Hassan et, s'adressant à Dhirâr, il lui a dit : "As-tu été triste pour sa mort ?". Et Dhirâr de répondre : "J'étais triste comme une mère qu'on égorge son enfant dans son sein, une mère dont les larmes ne s'épuisent pas et la tristesse ne se calme point".

Ahmad ibn Hanbal, l'imâm de l'école hanbalite, a dit : "On n'a jamais noté chez les Compagnons du Prophète (P) des belles vertus de la taille de celles de 'Alî Ibn Abû Tâlib". On a dit aussi : "Que puis-je dire au sujet d'un homme que ses partisans n'osaient parler de ses vertus, par peur, et ses ennemis ne l'évoquaient pas, par envie. Pourtant, ses vertus connus remplissent le monde".

Voilà ce qu'était 'Alî (p) qui s'est élevé grâce à Dieu car il a tout donné à Dieu sans rien laisser pour lui-même. Cela est exprimé par le Noble Verset qui a été révélé à son sujet, la nuit de la Grotte(de l`émigration) lorsque, pour lui permettre de se sauver, il a passé la nuit dans le lit du Messager de Dieu. Ce Verset dit : ((Il en est un, parmi les hommes, qui s'est vendu lui-même pour satisfaire à Dieu)) (Coran II, 207). 'Alî (p) s'est vendu pour satisfaire à Dieu. Il Lui a vendu sa raison, son cœur, ses sentiments et sa vie. 'Alî (p) était du côté de la vérité car Dieu est la Vérité .

Le prestige de ne pas adorer une idole

On note, parmi les prestiges de 'Alî (p), son ancienneté en Islam et le fait de ne s'être jamais prosterné devant une idole. C'est pour cette raison que les Musulmans sunnites disent, lorsqu'ils parlent de 'Alî (p), "Dieu a honoré son visage". Cette expression est d'une grande valeur car elle se réfère au prestige donné par Dieu à 'Alî en lui offrant la faveur de ne pas se prosterner devant une idole. Ibn Abû al-Hadîd dit à ce propos : "Que puis-je dire au sujet d'un homme qui a devancé les autres par son adhésion à la guidance, un homme qui a cru en Dieu et qui L'a adoré, à une époque où tous les vivants adoraient des pierres et niaient le Créateur. Il n'a été devancé que par celui qui a devancé tout le monde par l'attachement au bien, que par Muhammad, le Messager de Dieu (P)".

Passer la nuit dans le lit du Messager de Dieu

Parmi ces autres vertus, on note également la nuit de l'hégire, cette nuit qu'il a passée dans le lit du Prophète (P) pour le protéger en s'exposant à la mort à sa place. Le prophète (P) l'avait mis au courant du danger, mais apprenant que le Prophète (P) arrivera à se sauver, 'Alî (p) lui a dit : "Va et sois dans le vrai et la guidance. Quant à moi, je ne fait pas de différence entre la mort sur laquelle je tombe et la mort qui tombe sur moi !".

Parmi ces autres vertus, on note également le fait que, la nuit de l'Hégire, le Prophète (P) l'a chargé de le remplacer pour rendre ses dépôts, rembourser et accompagner les Fawâtim (les 3 Fatima : sa mère, sa tante et Fatima la fille de Prophète p) à Médine. Le Prophète (P) n'a pas jugé quelqu'un d'autre aussi fidèle pour remplir une telle tâche car il savait combien il était compétent et courageux. 'Alî (p) a bien rempli sa tâche. On note à son compte un autre mérite, à savoir lorsqu'il a été choisi par le Prophète (P) pour être son frère lorsqu'il a fraternisé entre les Emigrants (Muhâjirûn) et les Partisans (Ansar). Il lui a dit à l'occasion : "Tu es mon frère dans ce monde-ci et dans l'Autre monde". Il a ainsi représenté la fraternité le plus sincère et la plus profonde.

'Alî (p), le héros de la paix et de la guerre

'Alî (p) était le héros de l'Islam dans les guerres des Musulmans. La moitié des polythéistes tués dans la bataille de Badr l'ont été par lui, et tous les autres Musulmans ont participé à tuer l'autre moitié. Il était le héros de la bataille de 'Uhud et de la batailles des Factions. Dans cette dernière bataille, les polythéistes et leurs alliés avaient attaqué Médine en vue d'y liquider l'Islam. 'Amr Ibn 'Abd Widd s'est présenté et s'est mis à marcher face aux Musulmans pour les braver. Et le Prophète (P) appelait les Musulmans en leur disant : "Je garantis le Paradis à celui qui lutte contre ‘Amr''. Il a répété cet appel par trois fois et, chaque fois, personne n'a répondu en dehors de 'Alî (p). Alors le Prophète (P) lui a donné l'autorisation de se battre puis, levant ses bras vers le ciel, il a invoqué Dieu en disant : "Seigneur ! Ne me laisse pas seul, Tu es le meilleur des héritiers!". Puis il a dit : "Toute la foi entre en lutte avec toute la mécréance!". L'Islam s'est incarné ainsi dans 'Alî (p). Sa victoire sur 'Amr a donc été une victoire de l'Islam. Et la mécréance s'est incarné ainsi dans 'Amr, et sa victoire possible aurait été considérée comme une victoire de la mécréance.

'Alî (p) a fini par tuer 'Amr. Il a reçu la médaille de la part du Prophète (P) qui ((ne tient langage de passion, car ce n’est qu’une révélation qui lui est révélée)) (Coran LIII, 3-4) a alors dit : "Le coup de ‘Alî, dans la bataille du Fossé, équivaut à l’adoration des hommes et des djinns". 'Alî (p) était également le héros de la bataille de Khaybar. Il y a emporté la victoire par la grâce de Dieu. Juste avant, le Prophète (P) avait envoyé des chefs, mais chaque fois ils retournaient en échangeant avec leurs soldats des accusations de lâcheté. 'Alî (p) y avait défoncé la portail en la déracinant. Il disait à ce propos : "Par Dieu ! Je n’ai pas arraché la porte de Khaybar par ma propre force physique mais par la force divine".

'Alî (p) était le héros de l'Islam dans toutes les guerres du Messager de Dieu (P). Il l'accompagnait jour et nuit et le prophète lui parlait de touts les révélations qu'il recevait. 'Ali (p) disait à ce propos : "Interrogez-moi avant de me perdre. Il n'y a aucun Verset que je ne connais pas s'il est révélé dans une plaine ou sur une montagne, pendant le jour ou pendant la nuit".

Le Prophète (P) faisait connaître aux gens ce qu'est la place de 'Alî (p) sur tous les plans. On note, parmi ses paroles à ce propos : "Je suis la cité de la science, 'Alî en est la porte". "Celui qui me considère comme son maître doit considérer 'Alî comme son maître". "'Alî est avec le Coran, et le Coran est avec 'Alî. Ils ne se sépareront avant de me rejoindre près du Bassin". "Celui qui aimerait voir Adam et sa science, Noé et sa piété, Abraham et son indulgence, Moïse et sa majesté, Jésus et sa dévotion, n'a qu'à regarder 'Alî Ibn Abû Tâlib". Lorsque le Prophète (P) a donné Fâtima az-Zahrâ' (p) en mariage à 'Alî (p), il lui a dit : "Dieu t'a donné Fâtima en mariage au ciel avant que je te la donne dans ce monde. Si 'Alî n'existait pas Fâtima n'aurait pas eu d'équivalent".

Le jihâd de 'Alî (p)

'Alî (p) a vécu pour Dieu et pour l'Islam. Aucun, parmi les Compagnons du Prophète (P) ne pouvait se comparer à lui et, par conséquent, le devancer. A la question posée à al-Khalîl Ibn Ahmad al-Farâhîdî sur les raisons pour lesquelles il a considéré 'Alî (p) comme supérieur, il a donné la réponse suivante : "Le fait que tous avaient besoin de lui alors qu’il n’avait pas besoin d’eux est une preuve sur le fait qu’il est l’Imâm de tous". Il s'adressait à Dieu et Lui confiait la raison pour laquelle il a revendiqué le califat en disant : "Seigneur! Tu sais que ce que nous avons fait n'était pas par concurrence pour le pouvoir, ni pour nous approprier des frivolités parmi les choses futiles de ce monde, mais c'était pour faire revivre Ta vrai religion et pour faire triompher les bonnes actions sur la terre. Pour assurer la sécurité pour les opprimés parmi Tes serviteurs et pour mettre en application Tes enseignements oubliés. Seigneur! Je suis le premier à avoir entendu et obéi. Personne, en dehors du Prophète (P) n'a fait la prière avant moi".

'Alî (p) s'est adressé aux Musulmans que les discordes s'agitaient dans leurs sociétés pour leur dire : "Sois dans la discorde comme le petit d'une chamelle laitière : Il n'est pas assez fort pour qu'on le monte et il n'a pas de mamelles pour qu'on le trait". Il disait : "Je me soumettrai tant que les affaires des Musulmans seront respectées et tant que je serai le seul à être traité injustement". Sa cause n'était pas une cause personnelle mais la cause de l'Islam.

Dans l'un de ses discours au sujet du fait de conseiller le bien et de déconseiller le mal, 'Alî (p) a dit : "Les bonnes œuvres et le jihâd pour la cause de Dieu ne sont en rien comparables au fait de conseiller le bien et de déconseiller le mal. Ils sont semblables à un souffle dans une mer agitée. Le fait de conseiller le bien et de déconseiller le mal ne rapproche pas la mort et ne diminue pas les revenus. Ce qui vaut mieux que tout cela est une parole de justice devant un imâm tyrannique". Il a dit "Garde-toi d’être vu par Dieu en commettant un péché qu’Il t’avait interdit de commettre, et de na pas être vu par Dieu au moment où il te faut Lui obéir. Cela te rangera parmi les perdants. Si tu te sens fort, sois-le pour obéir à Dieu. Si tu te sens faible, soit-le pour ne pas Lui désobéir".

Interrogé au sujet du bien, 'Alî (p) a répondu : "Le bien ce n'est pas de voir tes biens et ta progéniture augmenter. Le bien est de voir augmenter ta science et ton indulgence, c'est de devancer les autres par l'adoration de ton seigneur. Si tu fias de bonnes œuvres, tu dois glorifier Dieu; si tu fais de mauvaises œuvres, tu dois demander pardon à Dieu. Le bien dans ce monde-ci n'appartient qu'à deux hommes : Un homme qui a commis des péchés et qui se hâte de se repentir et un homme qui se hâte de faire du bien".

'Alî (p) avec ses leçons, ses idées et son attachement à son Seigneur est toujours avec nous. Pour toutes ces raisons, nous ne pouvons qu'aimer 'Alî (p). 'Alî (p) se situe au-dessus de l'amour. Nous ne pouvons que nous incliner devant son infaillibilité car il se situe aux plus hauts degrés de l'infaillibilité après Le Noble Prophète(p), lui qui a rendu infaillibles son âme, sa pensée et toute sa vie. Sa vie toute entière était consacrée à la pensée, au jihâd et à l'obéissance à Dieu.

Le ministère iranien de l'intérieur a annoncé les noms des candidats dont l'éligibilité a été confirmée

par Le conseil des gardiens de la Constitution. Cette liste est composée de 8 personnes qui sont respectivement :1- Saïd Jalili 2-Gholam-Ali Hadad-Adel 3-Mohsein Rézaei 4- Hassan Rouhani 5-Mohammad-réza Aref 6- Mohammad Gharazi 7- Mohammad Baqer Qalibaf 8-Ali Akbar Velayati.

mercredi, 22 mai 2013 15:55

Erdogan dénonce le Hezbollah !!!

Principal soutien après le Qatar des terroristes d'Al Nosra, le PM turc Erdogan a dénoncé mardi la prétendue appui militaire fourni par le mouvement chiite libanais Hezbollah aux troupes du régime de Damas dans la bataille pour le contrôle de la ville syrienne de Qousseir.

"Je suis totalement de votre avis", a répondu M. Erdogan à un journaliste qui lui demandait s'il considérait l'implication des troupes d'élite du Hezbollah dans les combats en Syrie comme une "intervention étrangère". "En Syrie il n'y pas seulement le Hezbollah mais aussi d'autres forces", a-t-il ajouté en faisant implicitement référence à l'Iran, l'un des rares soutiens du régime du président Bachar al-Assad. "Les médias du monde entier doivent expliquer quelles organisations, soutenues par quels pays, sont actuellement actives en Syrie", a poursuivi le chef du gouvernement turc lors d'une conférence de presse organisée à l'aéroport d'Istanbul, alors qu'il rentrait d'une visite de plusieurs jours aux Etats-Unis. "Ceux qui considèrent le soutien logistique fourni par la Turquie à l'opposition syrienne comme une intervention étrangère ne disent pas la même chose à l'égard de mouvements qui prennent part aux combats", a souligné M. Erdogan.

Seyed Mohamad Husseini, Mohamad Bagher Khoramshad, directeur du Centre de la culture et des relations islamiques, Mohamad Reza Dehshiri, responsable des activités de recherches et d’enseignement de ce centre, et trois ambassadeurs africains feront un discours et présenteront le message de leur pays.

A l’occasion de la « Journée mondiale de l’Afrique » qui correspond cette année, au cinquantième anniversaire de la constitution de l’Union africaine, une réunion sera organisée le 25 mai 2013, au Centre de la culture et des relations islamiques en présence de Seyed Mohamad Husseini, ministre iranien de la culture et de l’orientation islamique, des ambassadeurs des pays africains membres de cette association, de représentants du Parlement islamique iranien, des étudiants des centres islamiques en Iran, de personnalités politiques et de membres de l’association d’amitié afro-iranienne, au husseinieh Al Zahra (AS).

Seyed Mohamad Husseini, Mohamad Bagher Khoramshad, directeur du Centre de la culture et des relations islamiques, Mohamad Reza Dehshiri, responsable des activités de recherches et d’enseignement de ce centre, et trois ambassadeurs africains feront un discours et présenteront le message de leur pays.

Une exposition est aussi prévue d’œuvres artistiques, de livres et de revues spécialisées sur l’Afrique, publiées en Iran.

L’Association du Croissant rouge et le Comité d’entraide de l’imam Khomeiny présenteront leurs activités en Afrique.

Vahid Faraji, cinéaste et producteur, et Ramin Foroughi, producteur du film « Nous sommes en Afrique », seront récompensés à cette occasion.

Les concurrents avant toute chose, doivent avoir de hautes qualités morales et respecter les règles coraniques dans leur comportement. Il faut aussi que les concurrents fassent des progrès dans le domaine technique et maitrisent parfaitement les règles de phonétique et de lecture.

L’Hodjat-ol-islam Abdoul Jalil al Makrani, spécialiste coranique d’Arabie saoudite et directeur du centre coranique « Hazrate Roghieh (AS) » de Qom, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que les règlements étaient différents entre les pays, et qu’il était nécessaire d’élaborer un règlement international.

«Les compétitions sont l’occasion pour encourager les gens à la lecture coranique. Les membres du Jury des compétitions iraniennes sont choisis en fonction de critères internationaux, la présence d’arbitres très compétents de différents pays comme l’Égypte ou la Malaisie, permet au jury de remplir au mieux ses responsabilités et a une influence sur le bon déroulement des compétitions. La constitution sous le contrôle de l’Association de coopération islamique ou d’autres organismes islamiques, d’un comité chargé d’évaluer les arbitres est une nécessité ainsi que l’élaboration d’un règlement pour toutes les compétitions internationales.

Tout projet aura des avantages et des inconvénients, il se peut aussi qu’il y ait des erreurs dans les activités du jury, d’un autre coté, ces compétitions qui se déroulent chaque année, doivent constamment être améliorées. Les compétitions qui sont organisées en Iran, en Malaisie, aux Émirats, en Inde et en Égypte, sont parmi les meilleures, il y a eu aussi de bonnes compétitions organisées en Libye.

Les concurrents avant toute chose, doivent avoir de hautes qualités morales et respecter les règles coraniques dans leur comportement. Il faut aussi que les concurrents fassent des progrès dans le domaine technique et maitrisent parfaitement les règles de phonétique et de lecture.

Les activités culturelles en marge des compétitions sont aussi très importantes, pour la défense du Coran, du prophète (AS) et des valeurs islamiques. je remercie les journalistes d’Iqna qui couvrent bien les compétitions en Iran et à l’étranger, et demande que les avis des spécialistes qui n'étaient pas présents aux compétitions soient aussi examinés et évalués », a-t-il dit.

Les troupes syriennes sont entrées ce dimanche 19 mai au matin à Qousseir, dans la province de Homs (centre). Une ville qui résistait au régime depuis un an mais, ce soir, l'armée contrôle presque la totalité de la ville stratégique, située sur l'axe reliant Damas au littoral.

L'armée syrienne a contrôlé dimanche 19 mai le cœur de Qousseir, dans le centre du pays.

«L'armée syrienne contrôle la place principale de Qousseir dans le centre-ville ainsi que les immeubles environnants, dont la mairie, où les soldats ont planté le drapeau syrien», a déclaré à l'AFP une source militaire sous couvert de l'anonymat.

L'offensive de l'armée syrienne contre Qousseir a été précédée d'un violent pilonnage à l'artillerie et d'intenses raids aériens. L'infanterie, appuyée par des chars, a ensuite commencé sa progression à partir de trois axes.

Après des heures de combats féroces, les troupes régulières ont atteint le centre-ville et ont occupé le siège de la mairie pour pénétrer ensuite dans les autres quartiers.

En fin de journée, les combats se sont concentrés dans la partie nord de la ville, dernier secteur encore sous contrôle de l'opposition. De nombreux rebelles se sont repliés vers l'aéroport militaire de Dayaa, à quelques kilomètres de Qousseir, une de leur dernière position dans la région.

Les combats auraient fait des dizaines de morts dans les rangs des rebelles, dont des extrémistes étrangers.

La télévision d'Etat a diffusé une interview d'un soldat sur place: «les hommes armés se sont enfuis face aux frappes de l'armée en direction du quartier nord, vers lequel nous continuons d'avancer pour mettre fin à toute manifestation armée», a expliqué le soldat.

Le soldat interrogé sur la chaîne officielle a assuré que l'armée avait «laissé le front nord-ouest pour permettre aux habitants de sortir».

Qousseir, une ville clé

La prise de Qousseir par l'armée syrienne constitue un revers de taille pour les rebelles. Cette ville, située dans le centre de la Syrie contrôle en effet un axe routier stratégique qui dessert toutes les régions du pays.

Désormais, il sera très difficile pour l'opposition de recevoir des renforts en hommes et en matériel, à partir du Liban.

 

Selon le chercheur David Rigoulet-Roze, l'offensive est la preuve du caractère stratégique de Qousseir pour le régime. «C'est un réseau de communication qui permet de relier Damas au littoral ».

 

«Si l'armée parvient à contrôler Qousseir, c'est toute la province de Homs qui tombe» aux mains du régime, a affirmé à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une organisation basée au Royaume-Uni et s'appuyant sur un large réseau de militants et de sources médicales et militaires.

 

Récemment, les forces du régime sont parvenues à prendre plusieurs villages aux alentours de Qousseir, située dans la province centrale de Homs et sur l'axe stratégique reliant la capitale Damas au littoral.

Le site Debkafile proche des milieux du renseignement de l'armée israélienne publie un nouveau rapport où il reconnaît l'échec de Netanyahu à convaincre les Russes de ne pas livrer des armes stratégiques à Damas : " Les Etats Unis, Israël et la Turquie ont commis une grave erreur stratégique en Syrie", affirme le site qui souligne l'état de désemparement dans lequel se trouve Israël ". Le 15 mai, New York Times a cité l'un des responsables israéliens, qui s'était payé le luxe de menacer le régime Assad à peine 4 jours après , un autre responsable de l'armée a tenu des propos parfaitement différents cette fois repris par la revue Times de Londres. Ces propos disaient en gros qu'Israël préfère le maintien au pouvoir d'Assad à l'arrivée à la tête de l'Etat syrien des éléments extrémistes ... 24 heures après cette annonce, Foxnews a publié les photos des commandos israéliens qui rentraient d'une mission en Syrie. Tous ces événements ne montrent qu'une seule chose : les autorités isaréliennes sont incapables d'avoir une analyse claire et correcte de la situation en Syrie ou en d'autres termes, ils souffrent de l'absence totale d'une stratégie au sujet de la Syrie". " Il existe de nombreuses raisons pour croire que les pays voisins de la Syrie seront tôt ou tard contaminés par la crise syrienne et parmi ces pays Israël est l'un des pays les plus favorablement exposés au danger de l'extension de la crise syrienne. Six raisons existent pour étayer cette hypothèse : Obama est incapable de décider de la démarche à suivre en Syrie, il n'est même pas en mesure d'établir une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Syrie. Il a daigné répondre à peine par un non à une demande d'Erdogan formulée en ce sens au cours de sa récente visite à Washington. " Debkafile mentionne ensuite les déboires de Netanyahu en Russie et le non recevoir catégorqiue qu'a subi en plein figure de la part de Poutine. " Netanyahu a échoué à convaicre Moscou de ne pas envoyer ses S300 à Damas. " Le site est assez réaliste pour reconnaitre les exploits de l'armée syrienne sur le terrain face aux terroristes : " l'erreur stratégique des Etats-Unis, d'Israël et de la Turquie est leur refus de reconnaitre cette suprématie militaire de l'armée face aux rebelles . Alors que ces deux dernières années ont été marquées par la reprise par l'armée de la reprise du contrôle des régions clés tombées entre les mains des rebelles". " Obama, Netanyahu, Erdogan ont eu une fausse évaluation de la puissance d'Assad et de sa capacité à préserver sa suprématie. Ils n'ont pas très bien compris que l'Iran, la Russie et le Hezbollah veulent la fin diplomatique de cette crise. Force est de constater que l'axe Iran /Russie/Hezbollah a devancé l'axe adverse et que les efforts de destabilisation à son encontre ont échoué" .

L'armée arabe syrienne est entrée dans la ville d'al-Qusseir, banlieue de Homs, de plusieurs axes, et a rétablit la sécurité et la stabilité dans la majorité des quartiers de la ville, dont le stade al-Baladi, le rond-point de la municipalité, la zone d'al-Gheida,

les abords du quartier al-Gharbi et le centre culturel, après y avoir tué un grand nombre de terroristes, dont certains de nationalités étrangères.Une source militaire a affirmé que des dizaines de terroristes s'étaient rendus après avoir rendu leurs armes, alors que d'autres ont été arrêtés grâce à la collaboration des habitants.

Parmi les terroristes tués on avait reconnu Nawwaf Elwani, chef d'un groupe terroriste de Front d'al-Nosra, Alaa Amer, Jamal Khankan, Mohammad Jamal al-Machehadani, Mohammad Bakr, Mohammad al-Abdallah, Ahmad Chamseddine, Abdel-Aziz al-Atr, Khodr Sabra, Bassel Mohammad Turkmani, Maher Sukkar et Khaled Rahel.Les éléments des forces armées poursuivent la traque des derniers terroristes dans la ville.La source a souligné que des unités de l'armée avaient saisi une importante quantité des armes et des munitions et détruit nombre de tunnels creusés par les personnes armées pour commettre leurs actes terroristes et stocker leurs armes et leurs munitions.Des unités de génie ont désamorcé des mines et des engins explosifs plantés par des terroristes sur les routes et dans les bâtiments.Toujours dans la ville d'al-Qusseir, et d'après un e source responsable, des unités de l'armée se sont accrochées avec des groupes terroristes armées dans la zone des écoles, le quartier de Beit Ramzoun et la zone de l'église, tuant ou blessant nombre de terroristes et détruisant les armes et les munitions qui étaient en leur possession.La source a fait noter que des terroristes ont ciblé aux obus de mortier nombre de maisons des citoyens dans la localité d'al-Ghassania dans la banlieue de Qusseir, faisant nombre de blessés et causant des dégâts matériels.