تقي زاده

تقي زاده

« L’administration arrogante des États-Unis, qui a dévoilé encore son visage hideux et inhumain face aux protestations populaires en recourant à la violence, a rendu chancelants les piliers de sa prétendue démocratie », a déclaré le général Abolfazl Chekartchi, porte-parole des forces armées iraniennes en allusion au comportement raciste du président américain et à la violence policière contre les citoyens.

« Le régime arrogant des États-Unis connaît ces jours-ci des troubles à travers le pays alors que les dirigeants de la Maison-Blanche sont toujours à l’origine de nombreuses anomalies dans la région et dans le monde en poursuivant leurs politiques d’ingérence », a-t-il déclaré.

Dans un message sur son compte Twitter, Ali Chamkhani, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien a déclaré que les vantardises futiles de l’équipe du président américain Donald Trump interviennent dans un contexte où le déclin des États-Unis s’est accéléré.

C'est l'une des rares sites d'information au monde à l'avoir couvert et ce, avec une joie immense : lphinfo.com ou Info en direct d’Israël se réjouit de ce que « pour la première fois, quelques dizaines de Libanais ont manifesté devant le Parlement à Beyrouth pour réclamer le désarmement du Hezbollah » et de poursuivre :

« Cette manifestation n’a pas réuni beaucoup de gens mais il s’agit d’une nouveauté dans ce pays qui subit l’une des crises économiques et sociales les plus graves de son histoire. Les manifestants demandaient l’application des résolutions 1559, 1680 et 1701 du Conseil de sécurité qui demandent notamment le démantèlement de toutes les milices armées dans le pays et la prise en main de tout le territoire du Liban par l’armée régulière. » 

La fin mai, les États-Unis ont annoncé qu’ils allaient mettre fin aux dérogations qui permettaient à des entreprises russes, chinoises et européennes de continuer à travailler sur certains sites nucléaires iraniens.

Cette décision, qui prendra effet après un délai de 60 jours, concerne les dérogations au régime de sanctions américaines jusqu’ici accordées par Washington aux travaux sur le site de recherche d’Arak, sur la fourniture d’uranium enrichi pour le réacteur de recherche de Téhéran et au transfert de déchets nucléaires hors de l’Iran.

Les États-Unis ont toutefois prolongé de 90 jours une autre exemption qui concerne la centrale nucléaire de Bouchehr.

Quelques heures après la publication de cette nouvelle, un responsable iranien a qualifié de « creuses » ces menaces, ajoutant que la République islamique d’Iran était non seulement en mesure de relancer l’ancien réacteur d’Arak, mais il pourrait en plus en construire un autre.

Avant la signature de l’accord nucléaire, l’Occident croyait que la conception initiale du noyau du réacteur d’Arak permettrait la production de quantités relativement importantes de plutonium de "qualité militaire pour les armes nucléaires". Du fait, la décision de l’Iran de relancer l’ancien réacteur d’Arak signifie, pour l’Occident, "le retour d’une menace atomique".

Behrouz Kamalvandi, porte-parole de l’Organisation iranienne de l’Énergie atomique, était le premier responsable iranien à réagir officiellement à l’annonce des États-Unis : « l’annulation des exemptions en matière du nucléaire ne changera en rien les activités de l’Iran. Il s’agit d’une campagne médiatique. Nous sommes en mesure de relancer l’ancien réacteur et de fabriquer un autre ».    

Les Hachd al-Chaabi projettent d’empêcher toute attaque terroriste de Daech dans quatre provinces d’Irak.

Abou Ali al-Bassari, commandant adjoint des opérations militaires des Hachd al-Chaabi, a fait part, dimanche 31 mai, d’un méga projet sécuritaire destiné à tuer dans l’œuf tout attentat de terroristes de Daech dans les provinces de Kirkouk, de Diyala, de Salah Ed-Din et de Ninive.

Par ailleurs, un combattant des Hachd a été tué et deux autres ont été blessés lors d’une contre-attaque, au sud de Tikrit. Lors de cette opération, l’attaque de Daech a été repoussée et une importante quantité d’armements des terroristes ont été détruits.

Deux conférences avec pour thème le spirituel et la justice sociale et politique dans l’optique de l’imam Khomeiny (RA) seront organisées à Moscou à l’occasion de l’anniversaire de sa disparition. Oktay Mohammadov, adjoint du président de l'Université internationale Al-Mustafa (as) en Russie, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique (Iqna), a annoncé que ce centre envisageait l’organisation de deux conférences à l'occasion de l'anniversaire du décès de l'imam Khomeiny, sur les dimensions spirituelles et les principes de justice sociale et politiques du fondateur de la République islamique d'Iran.
 
« La Russie étant toujours en période de confinement, ces programmes seront diffusés en direct et à distance sous forme de vidéoconférences, une heure avant l'appel à la prière de Maghreb, en azéri, et après la prière, en russe. La première conférence sera consacrée aux dimensions spirituelles, mystiques et philosophiques de l'imam Khomeiny, et la deuxième, à la justice sociale et politique dans l'esprit de l'imam Khomeiny et de la révolution islamique d'Iran, avec la participation de l’Hodjat-ol-islam Saber Akbari Jedi, représentant du Guide suprême en Russie. L'heure exacte des conférences diffusées sur YouTube et les noms des personnalités qui prendront la parole seront annoncés ultérieurement », a-t-il dit.
L’Assemblée internationale des professeurs musulmans organise un webinaire avec pour thème “Racisme structurel aux Etats-Unis”. Après la mort de George Floyd, citoyen noir américain de Minneapolis, l'Assemblée internationale des professeurs d'universités musulmans de Téhéran (International Association of Muslim University Professors) qui rassemble des universitaires de plus de 96 pays, organise un webinaire sur le racisme structurel qui règne aux États-Unis, le mardi 2 juin de 17 heures à 19 heures.


Marzieh Hashemi, réalisatrice de documentaires et présentatrice à Press TV, Le professeur Gerald Horn, professeur à l'Université de Houston aux États-Unis, Le professeur Vernilia Randall, professeur à l'Université de Dayton aux États-Unis, et Joseph Richardson, professeur à l'Université de Maryland aux États-Unis, seront les experts de ce webinaire diffusé en direct sur Aparat à l’adresse : http://WWW.aparat.com/IAOMUP/live

On le voyait venir : depuis que l’Africom a dénoncé la présence des MiG-29 et des Sukhoï russes dans l’ouest de la Libye accusant Moscou d’avoir militarisé le nord de l’Afrique. Les observateurs s’attendaient à ce que les Américains fassent cette annonce. Après tout, l’absurde guerre libo-libyenne n’avait dès le début qu’un seul objectif celui d’embraser l’Afrique du Nord et de déstabiliser les frontières de l’Algérie et de la Tunisie, et tout ceci dans l’espoir de pouvoir justifier le déploiement de troupes.

L’annonce vient donc de tomber. À l’aube de ce samedi 30 mai, les États-Unis ont annoncé avoir l’intention d’utiliser une brigade militaire installée en Tunisie en réponse à ce qu’ils appellent « les activités russes en Libye ».

En effet, citée par l’agence Reuters, l’armée américaine annonce envisager l’utilisation de « l’une de ses brigades d’assistance aux forces de sécurité en Tunisie », « au milieu des inquiétudes suscitées par l’activité russe en Libye ».

Évoquant les défaites successives de Washington face à l’axe de la Résistance et ses conflits avec la communauté internationale, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien a déclaré que le déclin des États-Unis s’est accéléré.

Dans un message sur son compte Twitter, Ali Chamkhani a écrit que les vantardises futiles de l’équipe du président américain Donald Trump interviennent dans un contexte où le déclin des États-Unis s’est accéléré.

Pour la diplomatie iranienne, la décision de Washington de mettre fin aux dérogations sur la coopération nucléaire avec l’Iran est en violation flagrante de la résolution 2231 et de la charte de l’ONU.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Abbas Moussavi, a déclaré samedi que la décision des États-Unis de mettre fin aux levées des sanctions pour la coopération nucléaire internationale avec la République islamique constituait une violation flagrante de la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui approuve l’accord sur le nucléaire et la Charte de l’ONU.

Abbas Moussavi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. (Archives) 

Il a déclaré que la République islamique d’Iran suivra de près les impacts techniques et politiques de cette décision et « prendra les mesures pratiques et juridiques nécessaires si elle affecte les droits nucléaires de l’Iran reconnus dans les documents internationaux et le PGAC ».

« Cette décision ignore les droits inhérents de la République islamique d’Iran et perturbe l’ordre public international », a souligné le porte-parole iranien de la diplomatie iranienne.

Pour sa part, l’ambassadeur d’Iran auprès des Nations Unies, Majid Takht Ravanchi, a déclaré jeudi que les États-Unis avaient détruit le dernier moyen de maintien du PGAC en mettant fin aux dérogations des sanctions interdisant la coopération nucléaire avec Téhéran.

 

Le racisme du président américain Donald Trump est à l’origine des émeutes aux États-Unis, et il est probable que ces troubles se transforment en une révolution qui renversera son pouvoir, a écrit le rédacteur en chef du journal arabophone Rai al-Youm.

Malgré le couvre-feu et les poursuites engagées contre le policier accusé d’avoir tué George Floyd, les manifestations aux États-Unis continuent de prendre de l’ampleur.

Cela fait cinq jours que la vidéo, brutale, de la mort de George Floyd, a été diffusée sur les réseaux sociaux. Cet Afro-américain de 46 ans est mort après son arrestation, lundi soir. Il avait été plaqué au sol par un policier blanc qui a maintenu son genou sur son cou pendant de longues minutes.

Évoquant le meurtre de George Floyd, Abdel Bari Atwan a noté que ce crime a révélé une fois de plus la discrimination raciale ancrée au sein des services de police et de certaines d’autres institutions américaines.