Les idéologies de l’antiracisme et du racisme se fondent sur la même imposture : il existerait des races humaines distinctes ne pouvant avoir de descendance commune en bonne santé ; postulat stupide dont chacun peut constater l’ineptie. Interrogés à ce sujet, les partisans de ces deux idéologies ne peuvent qu’assurer parler au figuré, mais reprennent peu après leur interprétation raciale de l’humanité et de son histoire. Comme le montre Thierry Meyssan, ce couple passionné n’a jamais servi que les intérêts des puissances dominantes.

تقي زاده
Lettre de Malcolm X lors de son pélerinage : à méditer
Au retour de son pélerinage à la Mecque, Malcolm X a publié une lettre ouverte (extraite de son autobiographie - discussion avec le journaliste Alex Haley) sur l'Islam, les peuples sous domination coloniale et le racisme en Amérique. Au journaliste qui lui demande s'il va définitivement abandonner le nom de Malcom X au profit de son patronyme musulman, il répond: "Je vais continuer de porter le nom de Malcolm X tant que perdure la situation qui a produit ce nom". Et tire les conclusions politiques de son expérience spirituelle de pélerin sur le site sacré de la Ka'aba édifiée par le prophète Abraham Alayhi al salam .
"Jamais je n'ai connu d'hospitalité aussi sincère ni de fraternité aussi bouleversante que celles des hommes et des femmes de toutes races réunis sur cette vieille Terre Sainte, patrie d'Abraham, de Muhammad salla Allah alayhi wa salam et des autres prophètes des Saintes Écritures. Durant toute la semaine qui vient de passer, j'ai été à la fois interdit et charmé par la bonté et la gentillesse déployées, autour de moi, par des personnes de toutes les couleurs."
"J'ai eu la chance de visiter la cité sainte de la Mecque, j'ai fait sept fois le tour de la Ka'aba, guidé par un jeune nommé Muhammad; j'ai bu l'eau du puits de Zam-Zam, j'ai fait sept fois l'aller-retour, en courant, entre les collines de Safa et Marwa. J'ai prié dans l'ancienne cité de Mina et j'ai prié sur le mont Arafat
"Il y avait des dizaines de milliers de pèlerins, qui étaient venus de partout à travers le monde. Ils étaient de toutes les races, il y avait des blonds aux yeux bleus et des noirs africains. Mais nous nous soumettions tous aux mêmes rituels, dans un esprit d'unité et de fraternité que mes expériences, aux États-Unis, m'avaient amené à croire impossible entre un Blanc et un Noir.
"L'Amérique a besoin de comprendre l'Islam, parce que c'est la seule religion qui ignore le racisme. À travers mes voyages dans le monde musulman, j'ai rencontré, discuté et même mangé avec des gens que nous aurions considéré comme des Blancs, aux Etats-Unis – mais la mentalité du Blanc était absente de leur esprit et avait été remplacée par l'Islam. Jamais auparavant je n'avais vu une telle fraternité réunissant des gens de toutes les races."
"Peut-être serez-vous renversés par ces mots, surtout venant de moi. Mais ce que j'ai vu et vécu au cours de ce pèlerinage m'a obligé à réviser certaines idées qui étaient miennes, à rejeter certaines conclusions auxquelles j'étais parvenu. Cela n'a d'ailleurs pas été très difficile. Car en dépit de mes fermes convictions, j'ai toujours été un homme qui sait faire face à la réalité et qui l'accepte, qui aime vivre de nouvelles expériences et apprendre de nouvelles choses. J'ai toujours gardé un esprit ouvert, ce qui est nécessaire à une flexibilité qui va de pair avec toute quête intelligente de la vérité.
"Au cours de mes onze derniers jours, ici, dans le monde musulman, j'ai mangé dans le même plat, bu dans le même verre, dormi sur le même tapis et prié le même Dieu que mes frères musulmans aux yeux les plus bleus, aux cheveux les plus blonds et à la peau la plus blanche qui soient. Dans leurs paroles comme dans leurs actes, les musulmans « blancs » sont aussi sincères que les musulmans « noirs » d'Afrique, qu'ils soient du Nigéria, du Soudan ou du Ghana. Nous sommes véritablement frères. Parce qu'ils croient en un seul Dieu, ils excluent de leur esprit, de leurs actes et de leurs comportements toutes considérations raciales."
"J'ai pensé, en les voyant, que si les Blancs américains admettaient l'Unicité de Dieu, ils pourraient peut-être admettre également l'unicité de l'homme et ils cesseraient de s'affronter, de nuire à autrui pour des raisons de couleur."
"Le racisme étant le véritable cancer de l'Amérique, nos “chrétiens” blancs devraient se pencher sur la solution islamique du problème; solution qui a fait ses preuves, et qui pourrait peut-être intervenir à temps pour sauver l'Amérique d'une catastrophe imminente – celle-là même qui s'est abattue sur l'Allemagne raciste et qui a fini par détruire les Allemands eux-mêmes."
"Chaque heure passée ici en Terre Sainte m'a permis de mieux comprendre le problème racial des États-Unis. On ne saurait blâmer le Noir pour son agressivité dans ce domaine : il ne fait que réagir à quatre siècles de racisme conscient de la part des Blancs. Mais si le racisme mène l'Amérique au suicide, je crois que les jeunes Blancs de la nouvelle génération, ceux des universités, verront ce qui crève les yeux, et que nombre d'entre eux opteront pour la vérité spirituelle. C'est le seul moyen qu'ait encore l'Amérique d'éviter le désastre auquel mène inévitablement le racisme."
"Jamais je n'ai été honoré comme ici. Jamais je ne me suis senti plus humble et plus digne. Qui aurait cru qu'un simple Noir américain serait comblé de tant de bénédictions. Il y a quelques nuits de cela, un homme que l'on aurait appelé un « homme blanc », aux Etats-Unis, un diplomate de l'ONU, un ambassadeur, un ami des rois, m'a gracieusement cédé sa suite à l'hôtel, m'a donné son lit pour la nuit. Jamais je n'aurais même rêvé d'être l'objet d'un pareil honneur, d'un honneur qui, aux Etats-Unis, aurait été réservé à un roi, et non à un Noir."
« Louanges à Dieu, le Seigneur des mondes! »
Que ALLAH☝?nous donne la bonne compréhension de l’islam.
Chari’ati est un héritage qui doit être reconnu et préservé


Racisme et antiracisme comme mensonges
- Des émeutiers blancs incendient un poste de police à Minneapolis à l’occasion du lynchage du noir George Flyod par un policier blanc.
Les communautés humaines ont tendance à surestimer leur mode de vie et à se méfier de celui des autres. Pour maintenir la cohésion de leur groupe, certains de ses membres ont un réflexe de rejet des nouveaux arrivants. Cependant, dès qu’ils font leur connaissance, qu’ils comprennent que ce sont des hommes comme eux, les tensions s’apaisent.
À ce fonctionnement ethnologique, des idéologies sont venues s’ajouter au XIXème et XXème siècle : le racisme et l’antiracisme. Dans le contexte de l’impérialisme britannique et du développement de la biologie et de la génétique, ces théories permettaient de justifier la hiérarchie ou l’égalité en droits des populations.
- Pour le Prix Nobel de médecine (1912) Alexis Carrel (chercheur à la Fondation Rockefeller et soutien de Philippe Pétain et d’Adolf Hitler), il conviendrait d’éliminer les minorités, les aliénés, les criminels lorsqu’ils se montrent dangereux.
Le racisme scientifique
Suite aux théories de Charles Darwin (1809-1882) sur l’évolution des espèces animales, Herbert Spencer (1820–1903), posa qu’il existait des races humaines distinctes et que la sélection naturelle avait abouti à la supériorité des Blancs. C’était le début du « social-darwinisme ». Un cousin de Darwin, Sir Francis Galton (1822-1911), étalonna les races et relia le taux de fécondité des femmes à la dégénérescence des individus. Il put ainsi non seulement prouver la supériorité des Blancs sur les gens de couleur, mais aussi des riches sur les pauvres.
Un « consensus scientifique » établit que les accouplements interraciaux étaient à l’origine de nombreux handicaps. Dès lors, il devenait indispensable de les interdire au même titre que l’inceste pour préserver chaque race. C’était l’« eugénisme ». La mise en application de ce principe fut d’autant complexe que, quelle que soit la définition de chaque race, aucun individu n’est de race pure, par conséquent chaque situation est sujette à discussion. Aux États-Unis cette logique ne conduisit pas seulement à décourager la formation de couples entre Européens d’un côté et Indiens, Noirs ou Chinois de l’autre, mais aussi à privilégier les Blancs Anglo-Saxons sur les Blancs non-Anglo-Saxons (Italiens, Polonais, Serbes, Grecs etc.) (Immigration Act en vigueur de 1924 à 1965).
L’Institut du Kaiser Wilhelm (équivalent allemand du CNRS français) démontra que non seulement la préservation de la race exigeait de ne pas se reproduire avec des individus de race différente, mais aussi de ne pas s’accoupler du tout. En effet, dans le cas de pénétration anale, les gènes de l’un et de l’autre se mêlaient bien que n’ayant pas de descendance. D’où la prohibition de l’homosexualité par les nazis.
Il fallut attendre la chute du nazisme et la décolonisation pour que le « consensus scientifique » se retourne et que l’on prenne conscience de l’incroyable diversité au sein de chaque race supposée. Ce qui nous ressemble chez certains individus d’autres races supposées est beaucoup plus important que ce qui nous distingue d’individus de notre race supposée.
En juillet 1950, l’Unesco proclame l’inanité du « darwinisme social » et de l’« eugénisme ». Tout simplement, l’humanité est certes issue de plusieurs races d’homo sapiens préhistoriques distinctes, mais ne constitue qu’une seule race dont les individus peuvent s’accoupler sans risques. Évidemment, il n’était pas nécessaire d’être scientifique pour le remarquer, mais les idéologies impérialiste et coloniale avaient provisoirement obscurci l’esprit des « savants ».
- Contrairement à une idée reçue, l’esclavage n’a pas été aboli aux USA du fait des mouvements abolitionnistes, mais parce que les deux camps de la Guerre de sécession avaient besoin d’enrôler de nouveaux soldats. De même, la ségrégation raciale n’a pas été abolie du fait de Martin Luther King, mais parce que le Pentagone avait besoin de soldats contre le Vietnam. Il fut d’ailleurs assassiné par le FBI non pour son engagement en faveur des droits civiques, mais parce qu’il était opposé à cette guerre.
Le racisme juridique
Alors que les scientifiques retrouvaient leur unité, les juristes se divisaient en deux manières différentes d’aborder la question. Cette fois ce ne sont pas les idéologies impérialiste et coloniale qui les séparent, mais leurs conceptions de la Nation. Pour les Anglo-Saxons, celle-ci est un rassemblement ethnique (au sens culturel), tandis que pour les Français, elle est un choix politique. Le principal dictionnaire juridique US dispose : « Nation : Un grand groupe de personnes ayant une origine, une langue, une tradition et des coutumes communes constituant une entité politique » (“Nation : A large group of people having a common origin, language, and tradition and usu. constituting a political entity,” Black’s Law Dictionary, 2014). Au contraire la France depuis la Révolution dispose : Nation : « Personne juridique constituée par l’ensemble des individus composant l’État » (Arrêté du roi Louis XVI du 23 juillet 1789).
La vision française est aujourd’hui à peu près universelle, celle des Britanniques n’est défendue que par eux et par leurs créations coloniales : les Frères musulmans et le RSS indien [1].
Ainsi malgré les progrès de la science, les Britanniques vivent aujourd’hui sous le Race Relations Act 1976 (Lois sur les relations raciales de 1976) et sont arbitrés par la Commission for Racial Equality (Commission pour l’égalité raciale), tandis que les textes officiels français parlent de « prétendue race ». Dans la pratique, les deux sociétés n’établissent pas de différences « raciales », mais de classe sociale pour les Britanniques et de niveau social pour les Français.
- Aux USA, les médias établissent un lien entre les émeutes antiracistes et les séquelles de l’esclavage. Pourtant, les premiers esclaves ne furent pas des Africains, mais des Européens (indentured servants) et les États-Unis sont un pays d’immigration : l’écrasante majorité de la population actuelle n’y avait pas d’ancêtre à l’époque de l’esclavage.
L’antiracisme
En Occident, l’antiracisme est désormais confondu avec l’antifascisme. Alors même qu’il n’y a plus de racisme faute de races, ni de fascisme, faute des situations économiques auxquelles cette pensée répondait. Les groupes qui se réclament de ces idées ont aujourd’hui la particularité de se réclamer de l’extrême-gauche anticapitaliste, mais d’être subventionnés par le spéculateur George Soros et de travailler pour le compte de l’Otan, champion du capitalisme. Ils disposent donc d’un entraînement militaire.
- Le président Erdoğan relate sa discussion avec le président Trump à la télévision turque. Reprenant nos révélations qui ont été validées par le MIT, il met en cause le Pentagone et l’Otan dans l’organisation des manifestations antiracistes aux États-Unis et en Europe.
C’est non sans délectation que le président turc Recep Tayyip Erdoğan n’a pas manqué de souligner, lors d’un entretien téléphonique avec son homologue US le 8 juin 2020, que l’Otan avait utilisé les Brigades internationales antifascistes à la fois contre la Syrie et contre la Turquie [2] ; les mêmes « Antifas » qui coordonnent les émeutes antiracistes actuelles aux États-Unis.
- Le probable candidat du parti démocrate, Joe Biden —dont la proximité avec le Pentagone lui a déjà valu d’être élu vice-président de Barack Obama— s’exprime par vidéo lors des obsèques de George Floyd. Les médias rendent compte d’une cérémonie antiraciste. Or, le service d’ordre de la célébration chrétienne a été confié à Nation of Islam, solidaire de la communauté noire. Cette organisation vit en circuit fermé et interdit les mariages interraciaux à ses membres.
En réalité, le racisme et l’antiracisme sont les deux faces d’une même pièce. Tous deux se fondent sur le fantasme des races dont nous savons pourtant qu’elles n’existent pas. Dans les deux cas, il s’agit d’un conformisme à l’air du temps. Les racistes correspondaient aux idéologies impérialiste et coloniale, les antiracistes à la globalisation financière. Leur unique utilité politique commune est d’occuper le terrain pour masquer les authentiques luttes sociales.
[2] « Les Brigades anarchistes de l’Otan », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 septembre 2017.
Ignorant les sanctions illégales américaines, l'Iran continue ses projets de développement
L’inauguration du barrage d'Ochnaviyeh, dans la région de Tchapar Abad, dans la province de l’Azerbaïdjan de l’Ouest, figurait également à l’agenda du président iranien.
Le leader de la Révolution islamique a présenté ses condoléances à l'occasion du décès de Ramadan Abdallah
Au nom de Dieu, le tout miséricordieux, le très miséricordieux
A l'occasion du décès du Dr. Ramadan Abdallah Challah, je présente mes condoléances à la chère nation palestinienne et à tous les djihadistes que la Palestine est leur préoccupation majeure. Je présente mes condoléance à l'organisation ''Mouvement du Jihad islamique'' et à la famille de ce défunt. Le courant de la résistance palestinienne a perdu un homme honnête et de valeur. J'espère, qu'avec la direction divine, les efforts des successeurs compétents qui suivent la voie des personnalités comme Fathi Shaqaqi et Ramadan Abdallah cette perte soit réparée.
Sayed Ali Khamenei
Duo Israël-Turquie contre la Russie: comment Moscou pourra le briser ?
C'est bien significatif : à peine six jours après la toute dernière frappe israélienne contre la Syrie, laquelle a visé l'aéroport militaire de Masyaf à Hama, Breaking Defense se félicite du fait qu'Israël ait fini par priver la Russie de son marché de S-400, tout en provoquant de grosses tensions entre Moscou et Ankara : « Les frappes aériennes israéliennes contre des cibles en Syrie peuvent être l'une des principales raisons de la crise croissante entre la Russie et la Turquie, car elles mettent en évidence le fait que les systèmes de défense aérienne S-400 fabriqués en Russie ne sont peut-être pas aussi efficaces que la Turquie le pensait. »
Dans la foulée, l'auteur se moque des S-300 livrés en 2018 par la Russie à la Syrie, et dont le site a été effectivement visé le soir du 4 juin par les missiles israéliens dont la moitié - et ceci le texte ne le dit évidemment pas - ont été interceptés et abattus.
Trump conseillé de faire la guerre à l'Iran pour faire peur à la Chine !
Depuis le 27 décembre 2019, le jour où la marine chinoise est parvenue à franchir le golfe Persique et à s'y déployer pour trois jours exerçant son art de guerre aux côtés de la marine iranienne et ce, à la faveur d'un exercice naval sans précédent qui lui avait proposé l'Iran, les USA n'ont qu'une obsession : comment empêcher l'Iran d'ouvrir comme il l'a fait pour la Russie, les portes du Moyen-Orient aux Chinois?
Certains observateurs estiment même que ce n'est pas sans raison si la "bio-arme" Covid-19 a frappé de plein fouet d'abord la Chine puis l'Iran pour finir, comme chacun le sait, par être géré royalement par ces deux pays. Paradoxalement, la Covid-19 qui aurait du provoquer la dislocation systémique en Chine puis en Iran s'est retournée contre ses concepteurs, faisant des USA, "le pays le plus instable du bloc ouest". Mais ce revers a fait que l’obsession anti-Iran et anti-Chine a gagné encore en profondeur: dans un récent article de The National Interest, un ancien membre du Conseil de sécurité nationale US, Richard Goldberg, recommande ainsi à Donald Trump de garder "un œil attentif sur l'Iran dans le cadre d'une stratégie visant à maintenir la Chine hors du Moyen-Orient". Mais comment?
« L'administration Trump a tenté de se concentrer sur des concurrents de grande taille comme la Russie et la Chine dans le cadre de la stratégie de sécurité nationale de 2017, un processus qui ne s'est accéléré qu'avec la pandémie de coronavirus. Ce changement d'orientation a soulevé des questions sur l'avenir de la présence américaine dans la région du Moyen-Orient avec en perspective un retrait US au profit d'une émergence sino-russe. Que faire pour empêcher une telle situation? ».
Signals Intelligence du Hezbollah? La méga surprise anti-Israël au Golan...
A lire l'info sur le site Al-Masdar News, la crainte à la limite de manie des militaires sionistes qui auraient perdu, mardi 9 juin un smartphone au Golan prête à sourire. Après tout, à ce genre de gaucherie, les militaires sionistes ont habitué le monde entier même si comme c'est le cas ici, le smartphone aurait appartenu à un membre de force d'élite israélienne, laquelle est censée, le jour de "l'invasion du Hezbollah", empêcher les combattants de ce mouvement de briser la barrière de sécurité et d'avancer vers les colonies en Galilée.
Toujours est-il que l'armée israélienne a ouvert une "enquête approfondie" sur la perte de cet "appareil radio crypté" et qu'elle reconnaît avoir appartenu à "un officier d'une unité spéciale dans le Golan", une enquête qui se poursuivra bien que l'appareil ait été, toujours à en croire la presse sioniste, "retrouvé par un Israélien" se promenant à tout hasard dans une zone où se déroule depuis quelques jours et pour une semaine un exercice militaire de haute importance! Qu'est-ce qui fait peur?
La chaîne israélienne Channel 12 a rapporté mardi soir qu'"un civil israélien avait trouvé un appareil radio crypté appartenant à un officier israélien de haut rang dans les forces spéciales", alors qu'il se trouvait dans le Golan occupé.
En envoyant des milliers de mercenaires d'Idlib en Libye, Erdogan n'at-il pas commis une grave erreur militaire?
Comme le disent nos confrères algériens, "l'aventure militaire de Haftar dans l'Ouest libyen est finie, quatorze mois après avoir surpris tout le monde". L'«armée» nationale autoproclamée que Haftar a mise sur pied à l'aide des Émirats, de l'Arabie, de l'Égypte et plus tard la Russie, a accumulé une série de revers cauchemardesques, ces dernières semaines, et perdu son ultime bastion, Tarhouna, où se trouvait la base logistique de l'offensive contre Tripoli. C'est donc la fin d'une page trouble que le maréchal a ouverte, en avril 2019, quitte à motiver l'implication de l'OTAN dans une guerre aux multiples paramètres dont et surtout son effet d'endiguement dans le nord de la Syrie.
Désarmés, les USA allongent la liste des pétroliers sanctionnés
L’administration Trump prépare des sanctions sur une cinquantaine de pétroliers dans le cadre d’un effort pour couper le commerce du pétrole et du carburant entre l’Iran et le Venezuela.
Le journal américain Wall Street Journal citant une source proche de l’administration Trump, a rapporté ce mardi 9 juin que les États-Unis préparaient de nouvelles sanctions contre des dizaines de pétroliers tout en faisant pression sur les entreprises associées à ces navires.
« Le Bureau du contrôle des actifs étrangers du Département du Trésor américain se prépare à ajouter jusqu’à 50 pétroliers à sa liste noire pour travailler avec le gouvernement vénézuélien de Maduro », a précisé WSJ.