
تقي زاده
Massoud Pezeshkian, nouveau président de la République islamique d'Iran
Par l’équipe du site Press TV
Massoud Pezeshkian, député chevronné et ancien ministre de la Santé, a été déclaré vainqueur du second tour de l'élection présidentielle iranienne, battant son adversaire Saïd Jalili.
Selon le décompte final des suffrages samedi par le siège électoral, Massoud Pezeshkian a été élu neuvième président de la République islamique d'Iran.
Au second tour des élections de vendredi, il a obtenu 16 384 403 de voix sur un total de 30 530 157 de bulletins dépouillés, tandis que son rival Jalili a recueilli 13 538 179 de voix.
Pezeshkian succède à Ebrahim Raïssi, décédé dans un accident d'hélicoptère le 19 mai dans le nord-ouest de l'Iran, avec sept autres responsables du pays.
Pezeshkian était l'un des six candidats approuvés par le Conseil des gardiens de la Constitution, l'organe de supervision des élections composé de 12 membres, pour se présenter à l'élection présidentielle du mois dernier.
Il est passé favori lors des élections du 28 juin après avoir obtenu 10,4 millions de voix, suivi de Jalili avec 9,4 millions de voix, même si tous deux n'ont pas obtenu la majorité absolue.
Né le 29 septembre 1954 à Mahabad, dans la province de l'Azerbaïdjan occidental, Pezeshkian a représenté la ville de Tabriz, dans le nord-ouest du pays, au sein du 12e Parlement iranien.
Ses antécédents politiques ont été remarquables et il a franchi plusieurs étapes pour occuper le poste important du ministère de la Santé sous la présidence de Mohammad Khatami (2001-2005).
Parlementaire chevronné, Pezeshkian a été élu aux 8e, 9e, 10e et 11e élections législatives. Entre 2016 et 2020, il a également occupé le poste de premier vice-président du Parlement. Il s’était déjà présenté à l’élection présidentielle en 2013 et 2021.
Chirurgien cardiaque de formation, Pezeshkian a également été président de l'Université des sciences médicales de Tabriz et est actuellement l'un des membres du corps professoral de la prestigieuse université dans le nord-est de l'Iran.
Après avoir reçu l’approbation du plus haut organe de supervision des élections du pays pour se présenter aux élections du 28 juin le mois dernier, il s’est tourné vers X (anciennement Twitter), en choisissant « Pour l’Iran » en tant que slogan de campagne.
Il a présenté ses projets en soulignant l'importance de confier les tâches à des personnes expérimentées et compétentes au sein de son cabinet.
Il a également annoncé que Javad Zarif, l'ancien chef de la diplomatie, serait son choix pour mener le ministère des Affaires étrangères du pays, tout en s'engageant à mettre en œuvre les directives du Leader de la Révolution islamique, l'Ayatollah Ali Khamenei.
Pezeshkian a officiellement rejoint la course au poste le plus élevé de l'exécutif le 1er juin, le troisième jour de l'inscription, au ministère de l'Intérieur à Téhéran, accompagné d'un groupe de partisans.
Il a souligné l'importance de l'unité et de la cohérence entre toutes les factions politiques du pays, rappelant la nécessité de la compétence, de l'aptitude et de l'expérience plutôt que des affiliations à des partis politiques.
Lors des débats du second tour de l’élection présidentielle, Pezeshkian a souligné l’importance du respect et de la réalisation des promesses en tant que facteur essentiel du maintien des normes éthiques.
Il a par ailleurs souligné l'importance de respecter les gens, de veiller à ce que leurs voix soient entendues et de soutenir les actions fondées sur les principes de justice et de droit.
L'ancien ministre de la Santé a également souligné le rôle crucial de la confiance pour faire avancer la nation, soulignant que l'honnêteté était la clé pour instaurer la confiance entre les gens.
Il a réitéré le principe de la politique étrangère du pays basée sur le slogan « Ni l'Est ni l'Ouest », soulignant l'engagement de son gouvernement à faire progresser les intérêts nationaux dans le domaine de la politique étrangère.
Pezeshkian a souligné l'importance de donner la priorité aux relations avec les pays voisins et d'élargir les contacts internationaux pour favoriser la croissance du pays, tout en mettant l’accent sur la nécessité de diversifier les options de politique étrangère pour renforcer le commerce du pays.
Il a réitéré à plusieurs reprises son engagement à respecter le cadre juridique de la République islamique et les politiques définies par le Leader de la Révolution islamique, l’Ayatollah Ali Khamenei.
Zoom Afrique du 7 juillet 2024
Les titres de la rédaction :
- 2 nouveaux trains électriques pour le réseau SGR tanzanien
- Gabon : VAALCO prévoit investir près de 300 millions $ dans le brut
- L’UIT lance un projet de cartographie du haut débit dans 11 pays africains
- Nigeria : 1,3 milliard $ à injecter pour stimuler l’économie
Les analyses de la rédaction :
1. Mali, Burkina Faso, Niger : naissance d’une nouvelle confédération
L’Alliance des États du Sahel (AES), fondée en septembre 2023, regroupe le Mali, le Burkina Faso et le Niger.
Le premier sommet de l’AES, tenu à Niamey, capitale du Niger, marque un tournant décisif dans l’évolution politique de la région sahélienne. Les chefs d’État du Mali, du Burkina Faso et du Niger ont franchi une étape cruciale en adoptant un traité instituant la Confédération des États du Sahel. Cette décision témoigne de leur volonté d’approfondir leur intégration et de renforcer leur coopération face aux défis communs.
La création de cette confédération s’inscrit dans un contexte de tensions croissantes avec la CEDEAO. Les trois pays avaient annoncé leur retrait de cette organisation régionale en janvier, l’accusant d’être un instrument de la politique française. Le général Abdourahamane Tiani, dirigeant nigérien, a souligné lors du sommet que leurs peuples avaient « irrévocablement tourné le dos à la CEDEAO », marquant ainsi une rupture nette avec le bloc ouest-africain.
Les ambitions de la nouvelle confédération s’étendent au-delà du domaine sécuritaire. Les dirigeants ont exprimé leur volonté de mutualiser leurs ressources dans des secteurs stratégiques tels que l’agriculture, l’eau, l’énergie et les transports. Cette approche vise à renforcer l’autonomie et la résilience des trois pays face aux défis économiques et environnementaux. Un aspect notable de cette alliance est la formation d’une force militaire commune, annoncée en mars, pour lutter contre les groupes djihadistes qui menacent la stabilité de la région. Cette initiative illustre la détermination des trois États à prendre en main leur sécurité, indépendamment des acteurs extérieurs. La promotion des langues locales dans les médias publics et privés figure également parmi les objectifs de la confédération. Cette mesure vise à renforcer l’identité culturelle et à favoriser une communication plus efficace avec les populations locales.
2. Niger : le retrait définitif des Américains
L’armée américaine devrait achever dimanche le retrait de son personnel de la base aérienne 101 du Niger, situé dans la capitale Niamey. Suivra dans les semaines à venir, le démantèlement d’une importante base de drones, c’est ce qu’a déclaré, vendredi, un général américain. En avril, le gouvernement Niger a ordonné aux États-Unis de retirer leurs troupes du pays. Quelque 1 000 militaires sont concernés par ce départ qui constitue un revers embarrassant pour Washington à la suite d’un coup d’État survenu l’année dernière dans ce pays d’Afrique de l’Ouest.
« Depuis la signature de l’accord sur le retrait des troupes américaines le 19 mai 2024, plus de 269 éléments sur 946 et plusieurs tonnes de matériels ont déjà quitté le Niger », ont précisé le chef d’état-major de l’armée de terre du Niger, le colonel Mamane Sani Kiaou, et le général de division Kenneth Ekman, du ministère américain de la Défense dans un communiqué commun le 8 juin.
L’État d’Afrique de l’Ouest a mis fin à sa coopération sécuritaire avec Washington, invoquant l’échec du contingent américain à aider Niamey face au fléau du terrorisme qui sévit dans la région du Sahel depuis des décennies.
Le Premier ministre nigérien Ali Mahamane Lamine Zeine avait aussi révélé le 14 mai dans le Washington Post que les États-Unis avaient intimé le Niger de ne pas se rapprocher de la Russie et de l’Iran, menaçant également le pays de sanctions en cas de vente d’uranium à l’Iran.
3. Namibie : Une grande découverte de pétrole
par Kamel Grar
Une découverte de pétrole au large des côtes namibiennes, sans doute l’une des plus importantes du continent africain, dont les réserves dépassent les 10 milliards de barils, a attiré une douzaine d’entreprises internationales cherchant à l’acquérir, dans le but de garantir une grande partie de la demande mondiale d’énergie. Plus d’une douzaine de compagnies pétrolières, dont ExxonMobil, Shell et la Compagnie pétrolière nationale brésilienne, sont en compétition pour acquérir une participation de 40 % dans une importante découverte pétrolière de la société portugaise Galp Energia au large des côtes namibiennes. On estime que la découverte de Mopan, gérée par Galp Energia, contiendrait au moins 10 milliards de barils pétrole, et sa valeur pourrait atteindre plus de 10 milliards de dollars, selon la base de données mondiales sur les gisements de pétrole et de gaz de la plateforme énergétique spécialisée « Energy » basée à Washington. En avril dernier, Galp Energia a mis en vente la moitié de sa participation dans une découverte pétrolière portant le numéro de licence 83 (PEL 83), ainsi que le droit d’en devenir l’opérateur. Plus d’une douzaine d’entreprises, dont ExxonMobil, Chevron, Shell, Total Energy, le Brésilien Petrobras, l’Australien Woodside Energy et l’Américain Apache Energy, ont signé des accords pour accéder aux données géologiques du champ. Un certain nombre de sociétés ont également soumis des offres indicatives non contraignantes pour acheter une participation dans la découverte pétrolière à la fin du mois dernier, a rapporté Reuters. L’identité des soumissionnaires et leurs offres n’étaient pas claires, car il est prévu que la plupart des sociétés verseront un paiement en espèces à Ghalib et couvriront la part de la société, cotée à la Bourse de Lisbonne, dans le développement du champ. La décision de développer une découverte pétrolière en Afrique avec des réserves de 10 milliards de barils dépend de la poursuite des travaux d’exploration et d’évaluation. Les sources s’attendaient à ce que le processus de vente, géré par Bank of America, soit confié à un acteur international puissant, capable de gérer une énorme découverte pétrolière telle que le projet Mopan.
Le gouvernement du martyr Raïssi était un gouvernement d'espoir et de travail acharné (Leader)
Le Leader de la Révolution islamique, l'Ayatollah Seyyed Ali Khamenei, a reçu en audience ce dimanche 7 juillet, le président par intérim, Mohammad Mokhber ainsi que les membres du treizième gouvernement de la RII.
« Le président Raïssi était un président populaire et cette caractéristique doit être un modèle à suivre pour tous les responsables et gouvernements », a souligné le Leader, ajoutant que le gouvernement du défunt président Raïssi était un gouvernement d'espoir et de travail acharné.
« Le martyr Raïssi croyait profondément aux capacités nationales », a réitéré l'Ayatollah Khamenei.
Le Leader a précisé que le défunt président Raïssi se montrait très optimiste quant à l’avenir et que son gouvernement était un gouvernement de progrès sur les fronts interne et externe.
Le Leader a poursuivi en soulignant que le défunt président iranien, qui a perdu la vie dans un accident d’hélicoptère le 19 mai avec ses compagnons dans la province de l’Azerbaïdjan de l’Est, au nord-ouest de l’Iran, était déterminé à servir toutes les couches de la nation et à lutter contre les relations commerciales malhonnêtes et frauduleuses.
Il avait une croyance très ferme dans le potentiel et les capacités des experts iraniens et a exprimé sans détour ses positions religieuses et révolutionnaires et n'a jamais fait de déclarations vagues, a déclaré l'Ayatollah Khamenei.
Le Leader a souligné que le défunt président iranien ne s'est jamais senti bouleversé face aux critiques et n'a jamais sombré dans le désespoir malgré toutes les difficultés qu'il a rencontrées.
L’Ayatollah Khamenei a également évoqué la politique étrangère du gouvernement Raïssi, soulignant que cet homme politique de 63 ans était une figure exceptionnelle dans les interactions diplomatiques et faisait honneur à la fois à l’Iran et à la nation iranienne.
Le martyr Raïssi était optimiste quant à l'avenir, a déclaré le Leader, ajoutant que le défunt président avait l'intention d'atteindre ses objectifs avec la coopération des membres de son cabinet.
L'Ayatollah Khamenei a également salué le martyr Raïssi pour avoir soutenu le peuple et accordé une importance primordiale à ses revendications.
« Le martyr Raïssi était extrêmement patient et indulgent. Ses caractéristiques peuvent être utilisées comme modèle d’agir pour l’ensemble de la nation. »
Le Leader de la Révolution islamique a également remercié la nation iranienne et les responsables de l'État pour avoir organisé des élections sans encombres.
Le Conseil constitutionnel iranien confirme les résultats du second tour des élections présidentielles
Le Conseil des gardiens de la Constitution iranienne, un organe de surveillance des élections composé de 12 membres, a validé le résultat du second tour de l’élection présidentielle du 5 juillet, qui a conduit à la victoire de Massoud Pezeshkian.
« La validité du second tour de la 14e élection présidentielle a été confirmée par le Conseil des gardiens de la Constitution iranienne », a déclaré dimanche 7 juillet le porte-parole du conseil, Hadi Tahan Nazif.
Il a ajouté que le ministère iranien de l’Intérieur, chargé d’organiser les élections, a été officiellement informé de la validation.
Il a noté qu’aucun des deux candidats n’avait déposé de plainte ni signalé d’irrégularités au Conseil constitutionnel iranien. « Aucun rapport important n’a été transmis au Conseil des gardiens de la Constitution de la part des citoyens, pouvant potentiellement influencer le dénouement du scrutin », a-t-il expliqué.
Les hauts gradés de l'armée se disent prêts à coopérer avec le gouvernement de Pezeshkian
Le chef d’état-major des forces armées iraniennes a exprimé la volonté des forces armées de coopérer avec le gouvernement du président élu Massoud Pezeshkian après sa victoire à la présidentielle.
Le général de division Mohammad Bagheri a adressé un message de félicitation ce dimanche 7 juillet à Massoud Pezeshkian, parlementaire chevronné et chirurgien à l’occasion de sa victoire au second tour de l’élection présidentielle, le 5 juillet.
Massoud Pezeshkian a recueilli plus de 16 millions de votes contre plus de 13 millions obtenus par son adversaire, Saïd Jalili, un ancien négociateur nucléaire, sur un total de plus de 30 millions de bulletins, avec un taux de participation de près de 50 %.
Israël lance de nouvelles attaques meurtrières contre Gaza
Le régime israélien poursuit ses attaques aériennes et d’artillerie sur la bande de Gaza assiégée alors que la guerre génocidaire menée par le régime sioniste contre le peuple palestinien entre dans son dixième mois.
Les forces du régime sioniste ont perpétré plusieurs massacres à travers la bande assiégée au cours des dernières 24 heures.
Selon le ministère de la Santé de Gaza, au moins 55 Palestiniens ont été tués et plus de 125 autres blessés dans des frappes au centre et au sud de Gaza.
Les affrontements et les attaques aériennes dans la bande de Gaza assiégée ont persisté avec une intensité dimanche 7 juillet, les médecins et les services d’urgence signalant encore plus de morts lors des frappes.
Premières estimations sur les résultats du second tour des législatives en France
Dès 20h, heure locale, les médias français ont commencé à publier des estimations sur les résultats du second tour des élections législatives.
Entre autres, Le Figaro se réfère aux estimations de l’institut de sondage Ifop pour dire que le Nouveau Front populaire (NFP, coalition des principaux partis politiques de gauche) arrive en tête du second tour des élections législatives (180 à 215 sièges), devant Ensemble, mouvement pour une alternative de gauche, écologiste et solidaire (150 à 180) et le Rassemblement national (RN, extrême droite) (120 à 150), selon les estimations de l’Ifop. Les Républicains (LR) arrivent en quatrième position (60 à 65).
Le taux de participation au second tour des législatives atteignait 59,71% dimanche à 17 heures, du jamais vu depuis 1981, preuve de la mobilisation des Français pour ce scrutin historique dont on disait que le Rassemblement national pourrait sortir vainqueur, avec une grande incertitude sur sa capacité à obtenir la majorité absolue à l'Assemblée.
Toujours selon Le Figaro, la participation finale pourrait atteindre 67,5%, selon les estimations de l’institut de sondage Ifop, ce qui serait le taux le plus élevé depuis les dernières législatives anticipées en 1997.
Les opérations navales yéménites sont devenues une source d’inquiétudes de Washington
Seyyed Abdelmalik Badr al-Din al-Houthi, le leader spirituel de la Révolution yéménite et du mouvement Ansarallah, a souligné ce dimanche 7 juillet dans son discours prononcé à l’occasion du début de la nouvelle année de l’Hégire lunaire que les opérations navales du Yémen sont devenues une source de surprise et de terreur pour les ennemis et a déclaré : « Avant les opérations de soutien à Gaza, les États-Unis pensaient à tort pouvoir les arrêter avec d’importantes quantités d’armement. »
Al-Houthi a déclaré : « Les équipes d’espionnage qui travaillent au profit des États-Unis au Yémen font partie du plan visant à promouvoir la corruption au Yémen. »
Les missiles et roquettes du Hezbollah se sont abattus sur les bases israéliennes
Le Hezbollah libanais a publié deux déclarations distinctes pour annoncer la frappe sur deux bases militaires du régime sioniste dans le nord de la Palestine occupée.
La Résistance libanaise a tiré plusieurs missiles en direction de la base aérienne de Meron dans le nord de la Palestine occupée.
Les missiles tirés par le Hezbollah libanais ont attaqué, ce dimanche 7 juillet dans l’après-midi, la base israélienne de Meron. Après l’attaque du Hezbollah, une épaisse fumée s’est élevée dans le ciel.
Les communiqués du Hezbollah précisent : « En soutien au peuple palestinien et à la Résistance dans la bande de Gaza et en réponse aux agressions et surtout à l'assassinat commis par l’ennemi sioniste dans la région de la Bekaa, les combattants de la Résistance islamique ont tiré des dizaines de roquettes de type Katioucha sur le quartier général de l’unité de surveillance des opérations aériennes directement sur la base de Meron dans la région de Jabal al-Maraq. »
Le président élu prononce son premier discours public et s'engage à tenir ses promesses électorales
Dans son premier discours public, le président élu s'est engagé à tenir les promesses données au cours de sa campagne électorale.
Le président élu iranien, Massoud Pezeshkian, a prononcé son premier discours public depuis sa victoire au second tour des présidentielles, s'engageant à tenir ses promesses électorales.
Il a fait ces remarques en s'adressant samedi 6 juillet aux membres de sa campagne électorale et au grand public au mausolée du défunt fondateur de la République islamique d’Iran, l'imam Khomeini (Que sa demeure soit au paradis) à Téhéran.
« Je n’ai fait aucune fausse promesse lors de la récente élection. Je n’ai rien dit que je ne puisse accomplir plus tard et qui devienne au final un mensonge», a déclaré Pezeshkian.
Pezeshkian a été déclaré vainqueur du second tour du scrutin présidentiel plus tôt dans la journée, face à son rival Saïd Jalili, l'ancien négociateur du nucléaire iranien.