تقي زاده

تقي زاده

Le ministre français des Affaires étrangères, Jean Marc Ayrault, a déclaré aujourd’hui, jeudi 6 avril : « Paris cherche à faire voter sa résolution par le Conseil de sécurité de l’ONU sur la Syrie et l’on est convaincu que les échanges diplomatiques devraient avoir la priorité sur de possibles mesures militaires. »

En effet, selon l’agence de presse iranienne ISNA, Ayrault a annoncé dans un entretien avec la chaîne CNews : « La France cherche toujours à avoir des discussions avec ses partenaires au sein du Conseil de sécurité, notamment avec les membres permanents, et plus particulièrement avec la Russie. »

Et à la question posée qui était de savoir si la France allait se joindre à une éventuelle action militaire américaine en Syrie après cette attaque chimique à Idlib, Ayrault a répondu : « La priorité de la France est toujours de parvenir à une résolution diplomatique sur la question. »

Enfin, le ministre français des Affaires étrangères a indiqué : « Le premier pas sera d’arriver à une résolution, puis il faudra reprendre les négociations de paix à Genève. Nous n’entrerons pas dans la guerre en Syrie à cause des émotions ou de la colère du président américain Donald Trump. »

Le président américain, sans attendre que des enquêtes adéquates soient menées sur cette nouvelle catastrophe humanitaire en Syrie et alors qu’il se trouvait à une réunion avec le roi Abdallah II de Jordanie, a déclaré hier à propos des enfants tués dans l’attaque : « Leur mort est un affront à l’humanité. Ces actes odieux commis par le régime d’Assad ne sauraient être tolérés ! »

Récemment, et lors de sa
campagne présidentielle au
Liban, pour courtiser les
Franco-Libanais Chrétiens -
d’ailleurs tous acquis à sa
cause- Marine Le Pen, candidate
avait été rappelée à l’ordre
par le Premier Ministre
libanais Monsieur Rafik Hariri,
musulman chiite, pour lui
demander d’arrêter d’assimiler
l’Islam au terrorisme.
A peine installé à la Maison
Blanche, Donald Trump avait
aussitôt décrété l’interdiction
aux musulmans ressortissants
de sept pays d’entrer aux Usa.
Parmi ceux-ci, l’Iran et le
Yémen pays Chiites, le
Soudan, et la Lybie, Sunnites.
Donc les autorités occidentales
et américaines, ne font pas le
distingo entre Musulmans
Chiites et Musulmans
Sunnites. Ce qui leur importe,
c’est l’éradication de l’Islam
tout court.
Et c’est dans cette politique
de diabolisation et de combat
que ces autorités ont travesti et
galvaudé les termes et le sens
de «Jihad» et de résistance
contre l’envahisseur et l’oppresseur,
en les assimilant au
terrorisme. Les analystes et
observateurs avertis constatent
maintenant que ce sont bel
et bien les occidentaux qui sont
derrière les kamikazes et les
attentats Jihadistes des
groupes terroristes.
«Et cramponnez- vous tous
ensemble au «habl» (câble)
d’Allah et ne soyez pas divisés
; et rappelez-vous le bienfait
d’Allah sur vous : lorsque vous
étiez ennemis, c’est Lui qui
réconcilia vos coeurs. Puis, par
Son bienfait, vous êtes
devenus frères» (sourate 3
verset 103).
Pour la défense et la survie
de l’Islam, nous invitons les
Saoudiens sunnites, et les
Iraniens chiites, à mettre en
pratique cette injonction divine
ci- dessus. Ils devront beaucoup
méditer, sur l’histoire des
Horaces et des Curiaces. Si les
Curiaces, n’avaient pas permis
au troisième et dernier Horace
de les attaquer séparément,
les Curiaces l’auraient vaincu.
Faute d’union, les Curiaces ont
été éliminés chacun à son tour,
par le Horace restant.
Quand on analyse le décret
interdisant l’entrée de certains
musulmans aux USA, on
s’aperçoit vite qu’il y a une
volonté de tenter de diviser les
musulmans, à l’instar de ce qui
était malheureusement arrivé
aux Curiaces. Les ressortissants
d’Egypte, de l’Arabie
Saoudite, du Pakistan etc, tous
pays majoritairement musulmans
et Sunnites, ne sont pas
concernés par ce décret de
Donald Trump. Est-ce parce
que ces pays sont des alliés
historiques et stratégiques des
USA, et font partie du Giron
Américain ?
Et pourtant, dans ces pays il
n’y a pas de démocratie, les
droits de l’Homme y sont
régulièrement piétinés, et la
plupart de leurs régimes sont
issus d’un coup d’Etat militaire.
Contrairement à la République
Islamique d’Iran, où la presse
est libre, multiple et diversifiée
et où les élections municipales,
législatives et présidentielles
se déroulent régulièrement
depuis plus de 30 ans. Avec six
changements de présidents de
la République élus au suffrage
universel direct, tous portés
par différents partis politiques.
Tout cela pour démontrer l’inconséquence
et la folie de
Donald Trump, dont tout le programme
se résume à la diabolisation
de l’Islam et à son
assimilation au terrorisme.
L’histoire récente, a permis à
l’opinion internationale de
découvrir le vrai visage des
Républicains américains, qui
sont généralement des
racistes, des xénophobes et
des pyromanes qui jouent aux
pompiers après avoir mis le
feu.
En 1991, pour pouvoir liquider
Saddam Hussein, s’emparer
du pétrole Irakien et
sécuriser d’avantage Israël,
Bush l’avait faussement
accusé de posséder des armes
chimiques de destruction massive.
Après avoir tué Saddam
et détruit l’Irak, la communauté
internationale s’était tardivement
rendue compte qu’il ne
s’agissait en fait qu’un simple
et pur mensonge de l’Etat
américain. Aujourd’hui, pour
pouvoir bombarder et détruire
des pays musulmans, dont les
ressortissants sont interdits
d’accès aux USA, c’est le
même scenario que les forces
de la coalition dite «internationale
» ont reconduit, à la
seule différence que cette foisci,
les Américains ne parlent
plus d’armes chimiques mais,
à la place, ils prennent le prétexte
de la présence de Daesh
(Etat Islamique) en Irak, en
Syrie, en Lybie etc. Daesh, on
le sait, est ce groupe terroriste
créé, armé et financé par le
truchement de la CIA et par les
Français, comme ce fut le cas
en Afghanistan dans les
années 80 avec Ben Laden qui
a été créé de toutes pièces en
même temps que son Al-Qaïda
pour combattre contre les
Soviétiques. De la même
manière que le contrôle de Ben
laden leur avait échappé,
Daesh est devenu ce monstre
qu’ils ont créé et qu’il ne peuvent
plus contrôler. Fait troublant
d’ailleurs, Daesh, si
proche d’Israël parce que se
situant en plein Proche-Orient,
n’a jamais menacé ni attaqué
l’état hébreu, preuve que les
Américains, protecteurs
d’Israël sont bien les parrains
de ce mouvement terroriste.
Autre preuve de la création
d’Al Qaida en Afghanistan, des
Talibans au Pakistan et en
Afghanistan, des Chebabs
(jeunesse) en Somalie, de
Boko Haram au Nigeria et de
Daesh (Etat islamique) en Irak
et en Syrie qui se réclament
tous de l’Islam, groupes créés
par la Cia américaine dans
l’objectif de discréditer et salir
l’image de l’Islam, c’est le fait
que malgré l’engagement de
l’Iran aux côtés de ceux qui
combattent Daesh en Syrie, les
Usa s’opposent à ce que l’aviation
iranienne bombarde les
positions tenues par Daesh. -
Groupe Terroriste. Et paradoxalement,
Donald Trump a
inclut au même moment la
République islamique d’Iran
dans la liste du décret d’interdiction
d’entrée des
Musulmans aux Usa, alors que
Téhéran, ennemi juré d’Israël
combat actuellement, militairement
l’Etat islamique, Daesh,
en Syrie à côté du Président
Bashar Al Assad pour défendre
l’intégrité territoriale de ce
pays. C’est donc parce que
Daesh a échappé au contrôle
de la Cia (qui l’a créé), comme
naguère Al Qaida leur avait
échappé, que les Américains
sont décidés aujourd’hui à le
combattre en le présentant
comme une organisation terroriste
internationale. Qui veut
noyer son chien…
Vu l’acharnement, le battage
médiatique, et les fausses
accusations portées contre
l’Islam qu’ils assimilent au terrorisme,
l’histoire actuelle confirme
les propos d’André MALRAUX,
athé, intellectuel
Français auteur de la « condition
humaine » qui avait prédit,
que le 21ème siècle sera
religieux ou ne sera pas. Avec
la présente campagne de dénigrement
et de stigmati-sation
de l’Islam ; déjà, dans les
années 90, et par la voie de
l’Américain SAMUEL HUNTINGTON,
des cercles occidentaux
avaient prédit le choc des
civilisations entre Islam et culture
occidentale. C’est pour
dire, que rien n’est du hasard
dans ce qui se déroule
actuellement dans le monde.
Car tout est devenu clair,
depuis la déclaration de guerre
contre les musulmans par
DONALD TRUMP. Et tout
s’explique donc du camouflage
de la CIA Américaine derrière
DAESH (Groupe Etat
Islamique) en Asie, Bokou
Haram en Afrique etc. pour
d’abord discréditer l’Islam,
ensuite pour mieux le combattre.
Toutes les guerres qui se
déroulent en Irak, Lybie, Syrie
etc. ont été projetées, provoquées
et bien planifiées, par
des forces occidentales qui crient
aujourd’hui au terrorisme.
Les raids de l’aviation
Israëlienne du 17 Mars 2017,
contre l’Armée Syrienne, mettent
à nu la collaboration
secrète entre les Américains,
Israël et Daesh (Etat
Islamique), Groupe Terroriste
qui sevit en Syrie et en Irak.
Cheikh Oumar TALL

Un séisme d'une magnitude de 6 degrés sur l'échelle de Richter a frappé ce mercredi matin le nord-est de l'Iran, près de la ville sainte de Machhad, ont rapporté les médias. Le tremblement de terre a fait au moins deux morts et sept blessés.

L'épicentre du séisme se trouve non loin de la localité de Sepidsang, située à environ 80 kilomètres au sud-est de Machhad, à une profondeur de 10 kilomètres. Il s'est produit à 07h09 (10h39, heure locale).

Il a été fortement ressenti à Machhad, seconde ville du pays. "C'était horrible. Il y a eu un grand bruit. Tout tremblait", a déclaré une habitante.

Les équipes de secours ont été mises en alerte.

L'armée américaine a annoncé avoir développé " sa base aérienne" située près de la ville de Kobané dans le nord de la Syrie et ce, en vue "d'accélérer les opérations de libération de Raqqa".

Selon SputnikNews, la base aérienne en question est située près de 90 miles du nord de la ville de Raqqa, capitale autoproclamée de Daech. " L'importance que revêt la base de Kobané est indescriptible car c'est un site inaccessible à l'ennemi mais proche du lieu des combats. Son importance est identique à celle de l'aéroport d'"Al Ghiyara" en Irak, site d'où décollent nos chasseurs pour mener des opérations à Mossoul", a dit le général John Thomas, Porte-parole du CentCom. La base de Kobané, suivant les nouveaux plans de Washington en Syrie, devrait servir de base-arrière aux troupes et aux équipements de l'armée US "prompte à lancer sa bataille contre Raqqa".

L'armée d'occupation US s'est emparée, il y a quelques jours de l'aéroport militaire de Tabqa dans la périphérie de Raqqa, là aussi pour déployer leurs forces spéciales et leurs armes et munitions et toujours sous prétexte de vouloir bouter Daech hors de Raqqa. Toutefois, une toute dernière information fait état de désertions massives des terroristes de Daech de Raqqa avant même que la bataille US ne soit lancée. La source américaine confirme la présence des dizaines de "techniciens, de forces de sécurité, d'effectifs de renseignement" sur la base de Kobané et ce, pour permettre l’atterrissage d'avions de combat et de troupes supplémentaires.

Selon des fuites, les États-Unis entendent faire de l'aéroport de Tabqa leur plus grande base militaire dans le Moyen-Orient et ainsi que l'annoncent leurs alliés kurdes "d'y rester pendant de nombreuses années". Le plan américain vise aussi à provoquer un démembrement de la Syrie en faisant de Raqqa, un Etat au sein de l'Etat syrien. Raqqa est limitrophe de la province pétrolifère de Deir ez-Zor également convoitée par les Américains.

Le général Qamar Javed Bajwa, commandant des forces armées pakistanaises, devrait se rendre à Téhéran afin de dissiper les inquiétudes des responsables iraniens, dues à la décision du ministère pakistanais de la Défense d’autoriser l’ancien chef de l’armée de prendre la direction de la coalition saoudienne.

L’ambassadeur de la République islamique d’Iran au Pakistan, Mahdi Honardoust, a déclaré que la décision du général Raheel Sharif, ancien chef de l’armée pakistanaise, d’assumer le commandement de la coalition militaire anti-yéménite dirigée par l’Arabie saoudite, portait atteinte à l’unité entre les pays islamiques.

Il a salué l’impartialité du Pakistan envers la guerre au Yémen, ajoutant que les relations Téhéran-Islamabad étaient si profondes que des petits événements ne pouvaient les entraver.

De son côté, le général Qamar Javed Bajwa a déclaré qu’Islamabad allait dissiper les inquiétudes de Téhéran, malgré la décision du général Raheel Sharif de prendre la direction de la coalition saoudienne.

L’Iran a souligné, à maintes reprises, que la coalition militaire anti-yéménite, dirigée par l’Arabie saoudite, menaçait les pays islamiques plutôt que les groupes terroristes et takfiristes.

En réaction à cette décision, nombreuses sont les figures politiques du Pakistan à avoir annoncé que plus de 75 % du peuple pakistanais s’opposait à cette décision.

Il y a deux ans, lorsque l’Arabie saoudite a décidé d’attaquer le peuple sans défense du Yémen, le Parlement pakistanais a rejeté la demande de Riyad qui avait appelé Islamabad à se rallier à la coalition. 

La cheffe de la diplomatie européenne a déclaré que les pays membres de l’UE ne transféreraient pas leurs ambassades de Tel-Aviv à Beït al-Maqdis (Qods occupée).

Le régime israélien occupe depuis 1967 la rive ouest de la rivière du Jourdain et l’est de Beït al-Maqdis. Pour autant, la Communauté internationale n’a jamais reconnu l’est de Beït al-Maqdis comme une région israélienne et la considère en fait comme une région occupée.

Sur cette question du conflit israélo-palestinien, la cheffe de la diplomatie européenne Federica Mogherini a déclaré hier lundi à Luxembourg, lors de sa conférence de presse commune avec le Secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit : « Nous avons tous [pays membres de l’UE] la même position qui inclut une solution à deux États et des discussions entre les [deux] parties, en particulier dans le cadre de l’initiative de paix arabe qui, selon nous, est la meilleure fondation pour faire avancer cette relation (israélo-palestinienne). »

Le président américain Donald Trump avait déclaré il y a quelque temps qu’il allait transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv où elle se trouve actuellement à Qods ; ce qui avait beaucoup plu au régime d’Israël.

Dans son communiqué final, la Ligue arabe a mis en garde contre ce transfert en indiquant que cela ne ferait qu’aggraver la situation de crise sévissant au Moyen-Orient.

Le 28e sommet de la Ligue arabe s’est déroulé les 28 et 29 mars 2017 à Amman en Jordanie. 

mardi, 04 avril 2017 18:53

Somalie: Elbur occupée par les Shebab

Burhan Warsame, ministre des Ports et du Transport maritime du Galmudug, une région de la Somalie qui s’est autoproclamée autonome en 2006, a déclaré que le groupe terroriste d’al-Shebab avait pris le contrôle, lundi, de la ville d’Elbur après le retrait des forces gouvernementales et de la force de paix de l’Union africaine (AMISOM).

L’AMISOM est composée des forces éthiopiennes, ougandaises et kényanes.

Elbur avait été reprise aux mains des Shebab en 2014. Les Shebab somaliens s’efforcent de repousser les forces de la mission de paix africaine et de renverser le gouvernement central, soutenu par l’Occident.

Les forces de l’AMISOM et les militaires de l’armée somalienne ont déjà expulsé les éléments des Shebab de leurs principaux fiefs, mais ce groupe terroriste est toujours présent dans certaines régions rurales et perpètre régulièrement des attentats contre des localités à Mogadiscio.

La candidate du Front national et le candidat d’En Marche sont à égalité au premier tour selon un sondage d’intentions de vote, publié mardi 4 avril, à dix-neuf jours du premier tour de la présidentielle.

François Fillon stagne et serait éliminé tandis que Jean-Luc Mélenchon profite d’une percée.

Marine Le Pen et Emmanuel Macron, crédités chacun de 25 % des intentions de vote, sont donnés à égalité mardi dans un sondage Ipsos Steria pour le CEVIPOF et Le Monde réalisé au sein d’un échantillon élargi du 31 mars au 2 avril et publié chaque mois.

La cheffe de l’extrême droite a perdu 2 points par rapport au mois de février dans la même enquête tandis que le leader d’En Marche en a gagné deux sur la même période et en a perdu un en quinze jours. Le choix de l’électorat concernant les deux favoris est inégal. 82 % des électeurs de la candidate FN sont sûrs de leurs choix contrairement à 61 % de ceux de M. Macron. La sûreté du choix concernant l’ancien ministre progresse toutefois nettement, de 33 % à début février à 61 % pour cette enquête de début avril.

Selon cette enquête, Emmanuel Macron enregistre le score d’adhésion le plus faible des « gros candidats » (48 %) contre 69 % pour Jean-Luc Mélenchon, 71 % pour Benoit Hamon, 72 % pour François Fillon et 82 % pour Marine Le Pen qui bénéfice du socle d’électeurs le plus solide et le plus sûr de son choix.

En troisième position des intentions de vote, le candidat LR-UDI François Fillon, impliqué dans un scandale financier et une affaire d’emplois fictifs, est crédité de 17,5 % stable par rapport à l’enquête Ipsos précédente. Englué dans les affaires et mis en examen, M. Fillon ne chute pas lourdement et conserve une base solide, mais reste distancé de 7,5 points, du jamais vu, par M. Macron et Mme Le Pen et Jean-Luc Mélenchon n’est qu’à 2,5 points derrière lui.

Au second tour en cas de duel Emmanuel Macron-Marine Le Pen, le leader d’En Marche l’emporterait à 61 % contre 39 % pour la candidate FN. L’ancien ministre profiterait surtout d’un report de voix des électeurs de Benoit Hamon (71 %), Jean-Luc Mélenchon (48 %) tandis que Marine Le Pen profiterait d’un électeur sur trois de François Fillon (32 %) et de 42 % des électeurs de Nicolas Dupont-Aignan.

Tous les 11 candidats à la présidentielle prendront part, ce soir, à un débat télévisé.

Le premier tour des élections présidentielles en France aura lieu le 23 avril et le deuxième tour se déroulera le 7 mai. Près de 47 millions de Français seront en mesure de voter.

L’Organisation de Coopération islamique (OCI) appelle le Conseil de sécurité de l’ONU à intervenir pour faire face à la colonisation israélienne.Le secrétaire général de l’OCI, Youssouf bin Ahmed Al Othaimeen, a appelé le Conseil de sécurité à mettre en application les résolutions relatives à la condamnation de la colonisation des territoires palestiniens et à jouer pleinement son rôle face à l'arrogance du régime de Tel-Aviv.

Cité par l’agence palestinienne Shehab News, Al Othaimeen a demandé au Conseil de sécurité de réagir et de forcer Israël à stopper sa politique de colonisation et à respecter ses engagements internationaux.

Les constructions israéliennes sont à considérer comme des "crimes de guerre", a-t-il qualifié, avant de réclamer l'arrêt immédiat de la colonisation des territoires occupés palestiniens.

Il a fermement condamné l'autorisation par Tel-Aviv de construire une nouvelle colonie en Cisjordanie, estimant que toutes les constructions israéliennes dans les territoires occupés palestiniens étaient "illégales" conformément au droit international et aux résolutions onusiennes, dont celle de 2334 signée en décembre 2016.

« C’est une violation flagrante des droits des Palestiniens par Israël qui vise à enterrer la solution de deux États », a-t-il insisté.
La seconde conférence internationale consacrée à l’islam et aux perspectives contemporaines est prévue du 27 au 29 avril 2017, à Amman, capitale jordanienne.Abdoul Salam al-Ebadi, ancien ministre jordanien des Oqafs et organisateur de cette conférence, a déclaré le 2 avril 2017, lors d’une conférence de presse, que 50 invités de 25 pays arabes et islamiques dont l’Indonésie, participeraient à cette conférence qui a pour objectif la présentation du message d’Amman. 
 
« 42 articles seront présentés lors de cette conférence de trois jours, sur les problèmes et les défis du monde de l’islam comme le rôle des femmes dans les sociétés islamiques, la mondialisation, le développement des pays islamiques et l’éducation », a-t-il dit.
 
Pour s'attaquer aux problèmes, le roi Abdullah II de Jordanie et les théologiens islamiques les plus renommés ont rédigé le message d'Amman qui n'était au départ, qu'une déclaration simple, mais détaillée, publiée en novembre 2004 à Amman, qui décrivait ce qu'est l'islam et ce qu'il n'est pas, quels actes le représentent ou non.
 
Son but était de préciser au monde moderne, la véritable nature de l'islam et la nature de l'islam véritable. Ce message avait été présenté le 9 novembre 2004 par le roi de Jordanie, Abdoullah II, pour la tolérance et l’union du monde de l’islam.