تقي زاده

تقي زاده

jeudi, 24 janvier 2013 10:42

Benjamin Netanyahu sanctionné en Israël

Sanctionné mais reconduit, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, est désormais confronté à la rude tâche de former une coalition gouvernementale viable.

L'issue des élections législatives de mardi, qui ont propulsé le parti centriste Yesh Atid, nouveau venu en politique, au rang de deuxième force parlementaire, montre que les préoccupations quotidiennes des Israéliens l'ont emporté sur les grands enjeux internationaux.

Après dépouillement de la quasi-totalité des bulletins, le Likoud, dont le chef du gouvernement est issu, et son partenaire ultranationaliste Israël Beïtenou étaient crédités de 31 des 120 sièges de la Knesset, onze de moins que dans la dernière législature. Son groupe parlementaire restera de loin le plus important, mais la droite toutes tendances confondues atteint tout juste la majorité.

"Un revers pour Netanyahu", titre mercredi le Yediot Ahronot, plus gros tirage de la presse quotidienne, qui comme ses confrères, prend acte du beau score de Yesh Atid.

Le parti centriste, dont le nom signifie "Un avenir existe", décroche 19 sièges, selon les projections. Comme le Parti travailliste, troisième avec 15 élus, il a su convaincre une classe moyenne laïque confrontée à l'augmentation du coût de la vie et mécontente de l'exemption des obligations militaires accordée à des ultraorthodoxes dépendants de l'aide publique.

Le Premier ministre sortant, qui s'est largement appuyé sur les partis religieux au cours de ses deux premiers mandats, a d'emblée tendu la main aux centristes en disant vouloir former une coalition aussi large que possible. Les tractations risquent néanmoins de prendre de longues semaines.

Yaïr Lapid, ex-présentateur de télévision devenu chef de file de Yesh Atid, a fait de la conscription des étudiants en théologie ultraorthodoxes et de la reprise du processus de paix israélo-palestinien ses deux arguments-phares de la campagne.

"Quiconque veut faire entrer Yesh Atid dans une coalition doit prendre en compte ces deux choses", a rappelé mercredi Ofer Shelah, membre influent de la formation, au micro de la radio militaire.

Si le Premier ministre a fait de l'Iran et de son programme nucléaire la première de ses priorités, celui des négociations avec les Palestiniens n'en fait plus guère partie.

Malgré l'opposition de ses partenaires occidentaux et des relations déjà très tendues avec le président américain Barack Obama, Benjamin Netanyahu s'est engagé à poursuivre la colonisation de la Cisjordanie occupée depuis 1967, ce qui laisse peu de chances à la relance du processus de paix. Le poids du centre pourrait toutefois l'amener à revoir ses positions sur le sujet.

Selon Reuters, coté palestinien, on doute que l'issue du scrutin puisse être bénéfique au processus de paix, y compris si les centristes entrent au gouvernement.

Pour l'éditorialiste du quotidien Al Qods, leur présence, purement "décorative", n'empêcherait pas le Premier ministre de poursuivre la colonisation et de berner l'opinion mondiale.

"Nous ne cherchons pas à faire la paix avec tel ou tel parti israélien", a quant à lui commenté Saëb Erekat, négociateur en chef de l'Autorité palestinienne. La paix, a-t-il répété, passe par la création d'un Etat palestinien et par sa coexistence pacifique aux côtés d'Israël.

Pour Amram Mitzna, membre d'Hatnua, autre parti centriste formé par l'ancienne ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni, le scrutin de mardi a "enrayé la dérive droitière de la société israélienne".

Invitant le Premier ministre à prendre acte du message des électeurs, il a évoqué la formation d'un "gouvernement de rêve", qui rassemblerait le Likoud, la gauche et le centre.

A l'extrême droite, Bayit Yehudi, le "Foyer juif" de Naftali Bennett qui prône l'annexion de 60% de la Cisjordanie, reste toutefois un partenaire de choix pour le Premier ministre, bien qu'il n'ait pas connu le succès annoncé par les sondages.

"Il n'y pas deux discours, ni deux vérités. Il n'y en a qu'une et elle est simple. La terre d'Israël appartient au peuple d'Israël(!!!)", a martelé son chef de file dans son discours post-électoral.

"La mission de notre génération est de restaurer l'âme juive du peuple d'Israël. Un 'printemps juif' arrive en Israël(!!!)", a-t-il ajouté.

L’imam de la mosquée sunnite, Abou Hanifa a dit: les oulémas chiites et sunnites ont créé de grandes choses à l’aide de l’unité islamique dans le pays. Ils envoient leurs expériences aux divers pays musulmans. Et aujourd’hui, la semaine de l’unité islamique est la bête noire des ennemis de l’islam.

Selon le rapport de l’agence de presse TAGHRIB (APT) à Bodjnourde, nord-est de l’Iran ; l’imam de la mosquée sunnite Abou Hanifa félicitant la semaine de l’unité islamique a dit : L’imam Khomeiny (que son âme soit en paix) le fondateur de la République islamique a nommé la semaine, dans laquelle le prophète de l’islam est né, la semaine de l’unité islamique. Cette appellation avait accru l’unité parmi les musulmans.

Des ces dernières années, les ennemis de l’islam voient dans le développement de l’islam un grand danger pour leur hégémonie. Or, ils s’efforcent de limiter l’islam en insultant le noble prophète de l’islam et la grande religion musulmane, a-il-ajouté.

Participant à la conférence de l’Unité islamique, des grands scientifiques musulmans chiites et sunnites montrent la grandeur de l’islam. Ils montrent que les musulmans sont très conscients des complots émis par les ennemis de l’islam.

Le secrétaire général de l’Assemblée mondiale d’Ahl ul-Bayt (AS), l'ayatollah Mohammad Hassan Akhtari, a déclaré que les manifestations sont prévues, qui se tiendra dans 115 pays au cours de l'heureuse occasion de l'anniversaire du Saint Prophète Muhammad (PSLF).

S'exprimant lors d'une conférence de presse le lundi, 21 Janvier, l'ayatollah Akhtari a déclaré que simultanément à l'occasion propice, une journée de intitulé «Prophète de l' Miséricorde et de Justice »a commencé en Iran et dans d'autres pays.

Il a dit que ces dernières années, certaines personnes irrationnelles, sur la base de complots ourdis par les puissances hégémoniques, en particulier aux États-Unis et Israël et ses alliés ont fait de nombreuses tentatives pour prévenir la propagation de l'Islam dans le monde, ajoutant que l'une de ces tentatives était la profanation de la figure du Prophète de l'Islam (PSLF).

L'ayatollah Akhtari a ajouté que les musulmans ont pris plusieurs mesures pour remédier à ces parcelles, et le programme mentionné est l'un d'entre eux.

Il a dit que la raison derrière les tentatives irrationnelles des ennemis de l'Islam, c'est l'ignorance de la société humaine sur la culture pure de l'islam et le statut du Prophète (PSLF), soulignant que de telles tentatives doivent être abordés de façon rationnelle.

Le prêtre a dit à l’Assemblée mondiale d’Ahl ul-Bayt (AS) a envoyé des lettres aux savants musulmans et des personnalités de premier plan dans le monde, en leur rappelant leur responsabilité pour faire face à des mouvements anti-islamiques.

Il a regretté que peu a été fait pour introduire le statut et le rôle du Saint Prophète (PSLF) pour guider l'humanité.

L'ayatollah Akhtari dit l'un des principaux programmes de la réunion est de clarifier les enseignements du Coran et de l'islam à travers les livres et les médias, constatant qu'à ce jour plus de 1000 titres en 48 langues ont été publiés et distribués aux soif pour les purs enseignements de l'Islam dans le monde entier.

Il a noté que pendant la Semaine de l'Unité (marquant la naissance du Prophète (PSLF)), un site dédié au Saint Prophète (PSLF) sera mis en place et plusieurs forums scientifiques aura lieu dans les villes de Qom et Téhéran.

L'Iran a proposé aux puissances du groupe 5+1 de tenir au Caire les prochaines négociations sur son dossier nucléaire controversé, une idée acceptée par l'Egypte, a déclaré mercredi le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, cité par l'agence Isna.

L'Iran a proposé que "la prochaine réunion ait lieu au Caire, cela été accueilli favorablement par nos frères égyptiens et l'Egypte mène des consultations pour la tenue des négociations", a déclaré M. Salehi à la sortie du Conseil des ministres.

Il a ajouté que des consultations parallèles "se déroulent actuellement entre Saïd Jalili (le chef du groupe des négociateurs nucléaires iraniens, ndlr) et Catherine Ashton", la chef de la diplomatie européenne qui représente les 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) pour s'accorder sur la date et le lieu de la rencontre.

"La date et le lieu des négociations seront annoncés par le Conseil suprême de la sécurité nationale" iranien, chargé des négociations nucléaires, a-t-il précisé.

L'Iran et le groupe 5+1 ont repris contact à la mi-décembre pour reprendre les négociations nucléaires après plusieurs mois d'interruption. Le dernier round des négociations a eu lieu à Moscou en juin 2012.

Les puissances occidentales soupçonnent l'Iran de chercher à fabriquer l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, ce que Téhéran a toujours démenti. En particulier, l'Iran refuse de suspendre son programme d'enrichissement d'uranium en affirmant qu'il a un but uniquement civil, contrairement aux accusations occidentales.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a dénoncé mercredi la préoccupation de l'opposition syrienne à renverser le régime du président Bachar al-Assad, estimant qu'elle empêche le règlement politique du conflit.

Tout se heurte à l'exigence des opposants à l'idée de renverser le régime d'Assad, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères au cours d'une conférence de presse.

Tant que cette position irréconciliable restera en vigueur, il ne se passera rien de bon. Les combats vont se poursuivre, les gens vont continuer à mourir, a-t-il poursuivi.

Le chef de la diplomatie russe a aussi regretté le manque de bonne volonté de la part des pays occidentaux à convaincre les opposants à dialoguer avec le pouvoir.

Selon AFP, certains pays occidentaux et certains pays du Proche-Orient ont salué la création de la coalition (de l'opposition). A la question de savoir pourquoi nos partenaires encourageaient une approche consistant à renoncer au dialogue, on nous a expliqué que l'essentiel était de réunir l'opposition avant de la convaincre de prendre une position plus constructive, a-t-il déclaré.

Mais ensuite, il n'y a pas eu de tentatives de mettre les parties en conflit à la table des négociations. Seulement nous et nos partenaires chinois, l'émissaire de l'ONU Kofi Annan et son successeur Lakhdar Brahimi ont tenté de le faire, a ajouté M. Lavrov.

Le prochain cycle des négociations entre l'Iran et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) se tiendra le 13 février, un jour après la date convenue, a annoncé à Vienne mardi l'observatoire de l'ONU pour le nucléaire. L'AIEA n'a donné aucune raison spécifique pour cet ajournement.

Le directeur général adjoint de l'AIEA, Herman Nackaerts, a déclaré la semaine dernière qu'un nouveau cycle de négociations se tiendrait le 13 février à Téhéran, après l'échec des deux jours de négociations à atteindre un accord ou à signer un document sur l'approche structurée pour résoudre la question du nucléaire iranien, a rapporté xinhua.

L'Iran et l'occident sont en conflit, l'occident accusant, sans avoire de preuves, Téhéran de développer des armes nucléaires sous couvert d'un programme nucléaire à des fins pacifiques, accusation niée par l'Iran.

Téhéran insiste pour que ses droits aux activités nucléaires pacifiques, et surtout, son droit au programme d'enrichissement d'uranium, soient reconnus par l'AIEA et les puissances mondiales.

Benjamin Netanyahu sort affaibli des élections législatives mardi en Israël devant un parti centriste laïc, Yesh Atid, qui effectue une percée, selon des sondages réalisés par les chaînes de télévision à l'issue du scrutin.

Selon les trois chaînes de télévision, le Likoud-Israël Beiteinou de M. Netanyahu n'obtient que 31 mandats contre 42 dans le Parlement sortant. A la surprise générale, Yesh Atid le nouveau parti centriste de l'ex-journaliste Yaïr Lapid devient le deuxième parti d'Israël avec 18 ou 19 députés, selon les sondages.

Selon le commentateur de la radio militaire, M. Netanyahu devrait diriger le prochain gouvernement, malgré son revers, mais il n'aura pas d'autre choix que de proposer un des trois grands ministères, la Défense, les Affaires étrangères ou les Finances, à Yaïr Lapid.

Le Parti travailliste (centre-gauche) de Shelly Yachimovich devrait avoir 17 députés contre 13 dans le Parlement sortant.

M. Netanyahu a essayé de montrer l’Iran comme la plus grande menace d’Israël, mais les israéliens ont des exigences économique et sociales.

L'Iran fabriquera, d'ici cinq ans, un moteur pour les satellites qui se placeront dans l'orbite géostationnaire (GEO).

Le vice-ministre des recherches et de la technologie du ministère iranien des Sciences, Mohammad Mehdinejad Nouri, a déclaré que ce moteur augmentera la capacité scientifique du pays et a ajouté: "Comme huitième pays, nous avons déjà réussi de lancer des satellites dans l'orbite terrestre basse ou LEO et nous espérons que notre projet pour l'orbite GEO montre encore la capacité de l'Iran".

L'orbite géostationnaire, abrégée GEO (geostationary orbit) est une orbite située à 35 786 km d'altitude au-dessus de l'équateur de la Terre, dans le plan équatorial et d'une excentricité orbitale nulle. C'est un cas particulier de l'orbite géosynchrone.

En plus de la caractéristique de l'orbite géosynchrone qui fait qu'un corps se trouvant sur cette orbite possède une période de révolution très exactement égale à la période de rotation de la Terre sur elle-même (23 heures 56 minutes et 4,1 secondes), l'orbite géostationnaire s'inscrit dans le plan équatorial de la Terre. Cette propriété supplémentaire fait que tout corps en orbite géostationnaire paraît immobile par rapport à tout point de la Terre.

Cette caractéristique est particulièrement importante pour les satellites de télécommunications ou de diffusion de télévision. La position du satellite semblant immobile, un équipement de réception muni d'une antenne fixe pointant dans la direction du satellite géostationnaire suffira pour capter ses émissions.

Selon la suggestion du représentant d'une compagnie juridique française, dès maintenant, les compagnies iraniennes peuvent, avec celles de France, faire part dans les projets en matière de gaz et de pétrole du Liban.

Mentionnant cette proposition, le représentant de la compagnie internationale française des services juridiques de FIDAL, (premier cabinet d'avocats d'affaires en France), a déclaré: "aujourd'hui, les champs pétroliers et gaziers communs existaient entre le Liban, Chypre (du Sud et du Nord) et Israël dans les eaux méditerranéennes.

Ce représentant a ajouté que les réserves de gaz, au sud-ouest du Liban, étaient estimées à quelques 700 milliards de mètre-cube.

" Deux compagnies américaines, une russe, une chinoise et deux françaises ont annoncé qu'elles sont prêtes d'y investir sous forme de consortium", a-t-il souligné.

Considérant les relations irano-libanaises et également l'intérêt des compagnies françaises pour coopérer avec les compagnies pétrolières et gazières de l'Iran, il a insisté, il est réalisable que celles-ci signent un contrat et coopèrent avec celles des occidentaux et du Liban sous forme de consortium pour le forage et l'extraction du gaz et du pétrole. .

FIDAL est un cabinet d’avocats d’affaires en France. Il est né en 1945 de la scission de la Fiduciaire de France, fondée, elle, en 1922. Il est le premier cabinet de France. En 2008, il compte 1 200 avocats en France et des partenaires dans 150 pays.

Le président du Parlement iranien, Ali Larijani, a déclaré que le Soudan a joué un rôle positif dans la question palestinienne.

"Certains des pays de la région parlent seulement du problème palestinien et quand la Palestine a besoin d'eux, ils ne font rien, et parfois, à la place de soutenir le peuple palestinien, ils jouent le rôle d'un courtier politique et mettent leurs ressources en disposition des nations oppressives, mais le Soudan a suivi la rationalité et a joué un rôle positif dans la question palestinienne", a affirmé Ali Larijani.

Dimanche soir, le président du Parlement iranien a reçu les Iraniens résidant au Soudan. Lors de cette rencontre, M. Larijani a mis l’accent sur l’essor des coopérations bilatérales, dans divers domaines.

Il a, ensuite, affirmé que l’Iran et le Soudan entretenaient de bonnes relations et qu’ils partageaient les mêmes positions, auprès des instances internationales.