تقي زاده

تقي زاده

Des dizaines d'hommes armés issus de tribus locales ont manifesté vendredi dans le sud du Yémen contre des bombardements aériens effectués par des drones et responsables, selon eux, de la mort de nombreux civils.

Un drone a tué jeudi à Redaa au moins trois activistes présumés d'Al Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa). Il s'agissait du cinquième bombardement de ce type en dix jours dans la région.

Un participant à la manifestation organisée devant le siège de l'administration locale à Redaa a déclaré qu'au moins sept civils avaient été tués dans les derniers raids aériens.

"Si les autorités ne mettent pas fin aux attaques américaines, alors nous occuperons les institutions gouvernementales dans la ville", a-t-il dit.

Selon Reuters, les autorités yéménites ne précisent jamais qui ordonne et qui effectue ces bombardements aériens.

Lors d'une visite aux Etats-Unis en septembre, le président Abd Rabbou Mansour Hadi s'est publiquement prononcé en faveur de l'utilisation des drones.

Les Etats-Unis considèrent Aqpa comme la branche la plus active et la plus menaçante d'Al Qaïda.

Trois récents articles effacent de l’histoire les crimes majeurs commis par Israël.

Dans un article du 13 décembre 2012 intitulé “le Hamas gagne du Prestige à Gaza, mais l’Argent est un vrai Pro­blème ,” Steven Erlanger explore les raisons de la pau­vreté de plus en plus écra­sante à Gaza. Pas une seule fois dans ce texte de 1300 mots Erlanger ne fait même mention du blocus israélien de Gaza, ni des bom­bar­de­ments de 2008 et  2012 comme fac­teurs de cette pau­vreté (et surtout pas comme sa cause principale).

Au contraire, Erlanger pré­sente une longue liste de déve­lop­pe­ments régionaux (l’affaiblissement du régime Assad en Syrie, les sanc­tions contre l’Iran) et il insiste sur des déci­sions prises par le Hamas (de nou­velles taxes et des frais nou­veaux), qui lais­se­raient les Pales­ti­niens de Gaza non seulement dans une pau­vreté accrue, mais aussi plus mécon­tents que jamais du Hamas. “Les Gazaouis recon­naissent qu’il y a davantage d’ordre ici,” explique Erlanger , “plus de construc­tions et moins de détritus. Mais beaucoup de gens en ont assez du fardeau que repré­sente le finan­cement du Hamas et, impli­ci­tement, de sa branche armée.”

Pas de blocus

Dans la limite même où le récent mas­sacre israélien est tout sim­plement pris en compte, ce sont les roquettes du Hamas qui sont encore une fois accusées du malheur de Gaza. Comme pour étayer l’argument, un boucher de 43ans dit à Erlanger, “la situation se délite régu­liè­rement à Gaza.” Un autre habitant de Gaza ajoute “c’est une vie de dépression et de pri­va­tions que nous menons.”

Erlanger n’inclut pas le mot “blocus” dans son analyse, il le fait seulement dans une liste de pro­blèmes que subissent actuel­lement les Pales­ti­niens de Gaza : “pau­vreté, mau­vaise gestion, blocus, chômage, liberté de mou­vement res­treinte,” en citant Mkhaimar Abusada. Et le blocus, parmi toutes ces autres condi­tions, est impli­ci­tement attribué au Hamas, pas à Israël : “s’il n’arrive pas à résoudre ces pro­blèmes,” conclut Abusada, “ le Hamas se retrouvera dans la même position qu’avant la guerre.” Alors qu’ Abusada, spé­cia­liste en sciences poli­tiques à l’Université Al-​​Aqsa, connait très cer­tai­nement l’origine de cette situation, l’endroit où Erlanger place sa citation laisse penser que même Abusada fait porter la res­pon­sa­bilité sur le Hamas.

Quoi qu’il en soit, Erlanger n’offre aucune idée de ce que peut avoir de tota­lement dévas­tateur un blocus aérien, ter­restre et maritime (sans même parler des deux der­nières attaques mili­taires) sur ce ter­ri­toire den­sément peuplé.

Un lecteur non informé pourrait aisément conclure que ce blocus est quelque chose dont le Hamas est res­pon­sable, et non une forme impé­ria­liste de punition col­lective imposée aux Pales­ti­niens par Israël. Et non quelque chose qui est direc­tement res­pon­sable de la pau­vreté de Gaza et de la “liberté de mou­vement restreinte .”

C’est donc le Hamas qui, selon le New York Times, est res­pon­sable des pro­blèmes de Gaza. Israël n’y est pour rien.

Pas de Nakba

Un article du Times sur les réfugiés pales­ti­niens en Syrie publié trois jour après l’histoire d’ Erlanger sur

Selon le New York Times, il n’y a pas de blocus de Gaza, pas d’ occu­pation de la Cis­jor­danie et la Nakba (le net­toyage eth­nique de la Palestine en 1948) n’a jamais existé.

Gaza, rend obs­cures les raisons qui ont fait que les Pales­ti­niens sont devenus des réfugiés (“A Syrian airs­trike kills Pales­tinian refugees and costs Assad support,” 16 December 2012).

En tout juste ۸ mots, le Times absout Israël de toute res­pon­sa­bilité dans le net­toyage eth­nique de cen­taines de mil­liers de Pales­ti­niens afin de faire de la place pour un Etat juif.

Relatant la récente attaque par le régime syrien du camp de Yarmouk à Damas, où vivent des mil­liers de réfugiés pales­ti­niens, le Times explique que les Pales­ti­niens qui s’y trouvent sont des “réfugiés du conflit entre Israël et leurs ascen­dants.” La Nakba, le péché ori­ginel du sio­nisme et de l’Etat d’Israël, est ainsi délayée dans l’ obs­curité. Elle est trans­formée en quelque chose qu’elle n’est pas, où le dépla­cement forcé de tout un groupe de gens par un autre devient un conflit entre deux parties a priori égales, qui a évidemment fait fuir un tas de Palestiniens.

Le journal, bien entendu, n’en vient pas à expliquer que, alors que la Réso­lution 194 des Nations unies accorde spé­ci­fi­quement aux Pales­ti­niens de Syrie (comme à ceux du Liban, de Jor­danie et d’ailleurs) le droit de retourner chez eux dans ce qui est main­tenant Israël, le gou­ver­nement israélien a tou­jours, parfois avec vio­lence, nié ce droit.

Pas d’ occupation

Un article publié le jour suivant, sur ce qu’on appelle la zone E1 à l’est de Jéru­salem en Cis­jor­danie occupée, ne men­tionne pas que cette zone et le ter­ri­toire plus vaste dont elle fait partie sont, pour le droit inter­na­tional, un ter­ri­toire pales­tinien actuel­lement sous occu­pation israé­lienne (Steven Erlanger, “West Bank land, empty but full of meaning,” 17 December).

Reprenant les récentes décla­ration israé­liennes sur la construction de colonies dans la zone E۱, Erlanger reproduit le vieux mythe sio­niste dans le texte : cette terre est “vide” et deux parties se la dis­putent aujourd’hui. “E۱ [est] une portion de la Cis­jor­danie qui est vide pour la plus grande partie,” écrit Erlanger. Et la “ bataille ” pour E۱ “parle de dif­fé­rences appa­remment insur­mon­tables, d’ hos­tilité et de méfiance entre Israé­liens et Pales­ti­niens,” selon Erlanger.

Ainsi, la Cis­jor­danie pales­ti­nienne occupée, avec toutes les colonies illé­gales, les routes réservées aux juifs, les points de contrôle israé­liens, les incur­sions mili­taires israé­liennes et les démo­li­tions par Israël des maisons pales­ti­niennes, est réduite à un ter­ri­toire que deux groupes dif­fé­rents reven­diquent avec la même légi­timité. C’est quand Erlanger écrit vers la fin de son article que EI est “en grande partie terre d’état” qu’il s’approche un tant soit peu d’une mention de l’occupation.

Mais ceci, comme le “blocus” de Gaza, sans qu’il l’identifie ou l’explique, est beaucoup trop vague pour qu’un lecteur non averti com­prenne quel “Etat” contrôle cette terre, dans quelles condi­tions et au détriment des droits, de la vie et de la sou­ve­raineté de qui.

Alors, voici le tableau : pas de blocus, pas de Nakba, et pas d’ occu­pation. Un reportage comme ceux-​​ci est au mieux illu­soire et au pire déli­bé­rément trompeur. Dans tous les cas, le New York Times sert les intérêts d’Israël en main­tenant le public amé­ricain dans l’ignorance quant à la véri­table nature de l’occupation israélienne.

Il est facile de com­prendre pourquoi tant d’Américains trouvent la situation si confuse en appa­rence, quand ceux qui la rap­portent sont eux-​​mêmes emplis de confusion sur les réa­lités fon­da­men­tales en termes d’histoire, de géo­graphie et de politique.

Des terroristes ont visé, mardi, par obus de mortier une école dans la région "al-Syriane al-Jadida" à Alep (nord), faisant nombre de blessés.

Une source responsable a affirmé que les terroristes avaient tiré l'obus de mortier sur l'école "Iskandaroun", dans la région précitée, qui hébergeait nombre de familles qui avaient fui les actes criminels des groupes terroristes.

"L'acte terroriste qui a causé des dégâts matériels dans l'école a fait aussi trois blessés parmi le citoyens", a ajouté la source.

Des unités de l'armée ont détruit dans une série d'opérations exécutées aujourd'hui, nombre de repaires de terroristes à al-Sfeira, Eazaz, de Kafer Daa'el, al-Naqarine et à al-Marjeh à Alep.

Une source responsable a souligné à la correspondante de Sana qu'un repaire des chefs de gangs terroristes a été détruit dans la zone d'al-Sfeira. Nombre de terroristes ont été abattus, dont Yaqoub Alaya, Hassan Rahal Chahadeh, et Yahya Abdo al-Mouali.

D'après la source, une unité de l'armée a mené une opération spécifique contre deux repaires des gangs terroristes appartenant "au front de Nosra" relevant d'al-Qaïda dans la localité de Mar'eh, et détruit ۹ voitures avec leurs occupants, les munitions et les armes sur la route d' Eazaz-Mar'eh.

"Nombre de terroristes ont été tués et blessés dans des opérations spécifiques caractérisées par la précision exécutées par des unités de l'armée syrienne contre les rassemblements des terroristes à Kafer Daa'el; Hayan et au village d'Abou Chakhtah.

De même, des unités des forces armées ont abattu des terroristes qui commettaient des actes d'assassinat, de hold-up et de sabotage dans le quartier de Bizh, à al-Marjeh, à al-Kalasseh et à Bustan al-Qasser.

Quatre voitures utilisées par les terroristes dans l'acheminement des armes et des munitions ont été entièrement détruites dans les logements des recherches.

Des unités des forces armées rétablissent la sécurité et la stabilité à al-Saan dans la banlieue de Homs

Des unités de l'armée ont traqué des groupes terroristes qui perpétraient des actes d'assassinat et de sabotage dans la région d'al-Saan dans la banlieue de Homs (centre).

Parlant à l'agence Sana, une source militaire a affirmé que les éléments des groupes terroristes ont été tués et blessés, leurs armes et leurs munitions ont été saisies.

La source a ajouté que des unités de l'armée ont rétabli la sécurité et la stabilité dans les deux villages de Hoch al-Agha et de Hoch al-Diwanieh à al-Saan, après y avoir tué les résidus des terroristes.

A Taldo, dans la banlieue de Homs, une de nos unités armées a porté un coup dur aux terroristes, tuant et blessant nombre d'eux.

Dans le cadre du ciblage des cadres et des compétences nationales, un groupe terroristes a assassiné l'ingénieur civil, Louay Mouhand al-Horani, ouvrier dans la société générale de la construction, et son fils, Mouhand dans le quartier d'al-Wa'er à Homs.

Une source du gouvernorat a souligné au correspondant de Sana que les terroristes ont ouvert le feu sur l'ingénieur et son fils qui sont tombés, sur le coup, en martyr devant leur domicile. Les terroristes ont volé leur voiture et pris la fuite.

Opérations spécifiques contre les terroristes dans la banlieue d'Idleb

Les unités des forces armées ont poursuivi la traque des groupes terroristes armés dans la banlieue d'Idleb où elles ont exécuté des opérations spécifiques dans les localités de Tahoum, et de Binnech, tuant nombre de terroristes et blessant d'autres, et détruisant les outils criminels utilisés dans leurs actes terroristes.

Citant une source du gouvernorat, le correspondant de Sana a indiqué qu'une unité de l'armé a exécuté une autre opération spécifique à l'alentour de la localité de Taftanaz, tuant ou blessant nombre de terroristes et détruisant leurs véhicules.

Dans la campagne d'Idleb, une de nos unités armées a causé d'énormes pertes en vie dans les rangs des terroristes lors d'une opération spécifique à Kafar-Takharim.

D'autres repaires de terroristes ont été détruits dans le périmètre de Wadi-Dayf.

Grosses pertes parmi les gangs terroristes dans les localités et les villages de la Banlieue de Damas

Dans la banlieue de Damas, l'armée arabe syrienne a infligé de lourdes pertes aux gangs terroristes dans les fermes de Douma, à Darayya, à Hujeira, à Dhiyabiya, et à Zabadani.

Parmi les terroristes ayant péri dans des accrochages avec nos forces armées, Saïd Arbach, Mahmoud Affouf, Aymen Laz, Mohamed Oului, Sleymane Jelloul, chef d'un gang terroriste.

A Darayya, nos forces ont neutralisé nombre de terroristes snippers : Mohamed Habib, Aymen Mourad, Adnane, Bakri, Ahmed al-Balcha.

A Hujeira et Dhayabiya, d'autre terroristes ont été liquidés, parmi eux: Omar al-Hareth, Taha al-Hussein, Ismael Abou Sbaa, Faysal Tahhan et Aous Yaaqoub.

A Zabadani, une unité de nos forces a traqué un gang terroriste, où elle a éliminé plusieurs éléments de ce gang. Parmi les terroristes abattus: Assim Tell, Ahmed Rahma, Mohamed al-Khatib, Abdallah Abou Chala.

L'armée arabe syrienne a aussi exécuté deux opérations spécifiques à Yabroud et à Al-Nabek, tuant un grand nombre de terroristes et détruisant leurs armes et leurs munitions.

Une source militaire a déclaré à Sana que nombre de terroristes ont été tués ou blessés au rond-point d'al-Mintaqa à Yabroud et que leurs armes et leurs munitions ont été détruites.

La source a ajouté qu'une unité de l'armée a détruit aussi un repaire des terroristes dans les fermes d'al-Saqi à Al-Nabak avec les armes, les munitions et les terroristes s'y trouvant.

Toujours dans la banlieue de Damas, nombre de terroristes ont été tués ou blessés dans une série d'opérations spécifiques menées par des unités de l'armée contre des repaires des terroristes et leurs rassemblements près de la société /Sara/ des voitures dans la localité d'al-Dyabieh.

Se référant à une source du gouvernorat, la correspondante de Sana a souligné qu'une voiture dotée d'une mitrailleuse lourde et une autre équipé d'une mitrailleuse anti-aérienne ont été entièrement détruites.

La source a ajouté qu'une unité de l'armée a tué et blessé nombre de terroristes près de la mosquée Khaled Ben al-Walid et près de la station de bus à Bouhdelieh. Une voiture dotée d'une mitrailleuse lourde a été également détruite avec les armes et les munitions y trouvant.

Dans les deux localités d'al-Husseinieh et de Hujeira, nombre de terroristes ont été abattus dans deux opérations spécifiques qui ont aussi causé la destruction d'un mortier et d'une mitrailleuse que les terroristes utilisaient dans le ciblage des habitants et leurs biens.

Dans la banlieue de Daraa, des unités de l'armée se sont accrochées avec un groupe terroriste qui commettait des actes de sabotage, de hold-up et de pillage à l'entour de la localité de Bousr al-Harir.

"L'accrochage a fait nombre de tués parmi les terroristes, parmi eux: Abdo Mohammad al-Hariri, Ali Mohammad al-Qaddah et Talal Abdallah al-Alayyan", a indiqué une source du gouvernorat citée par le correspondant de Sana.

La source a aussi souligné la saisie des mitrailleuses, d'un missile et d'une quantité d'armes.

Par ailleurs, des unités de génie ont désamorcé ۴۰ engins explosifs et des mines anti-char de ۲۵ à ۱۰۰ kg que les terroristes avaient déposés aux entrés de la localité.

A Hama, au moins trois terroristes ont trouvé la mort, à l'issue d'un accrochage entre deux groupes terroristes sur fond d'un différend sur le partage du butin composé d'articles volés d'une auto-école et des maisons de citoyens dans la localité de Jossé dans le secteur du Ghab, sur la route entre al-Acharné et Sqilbiyé.

L'Imam Sadegh (AS) dont les origines remontent au prophète (AS) et à Hazrate Zahra (AS), a toujours été une source de bienfaits pour la communauté. Toutes les écoles ont profité de ses enseignements et il a toujours encouragé les musulmans au Coran, aux enseignements du prophète (AS) et à l'amour des Ahl-ul-bayt (AS).

Le cheikh Ala-e-din Zo'tari, responsable du bureau des fatwas de Syrie, dans un entretien avec l'Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que les études des règles de jurisprudence de l'Imam Sadegh (AS) encourageaient les musulmans chiites et sunnites, à l'union islamique.

"L'Imam Sadegh (AS) dont les origines remontent au prophète (AS) et à Hazrate Zahra (AS), a toujours été une source de bienfaits pour la communauté. Toutes les écoles ont profité de ses enseignements et il a toujours encouragé les musulmans au Coran, aux enseignements du prophète (AS) et à l'amour des Ahl-ul-bayt (AS).

C'est lui qui a développé la jurisprudence et formé des savants dont la communauté a profité tout au cours de l'Histoire de l'islam. Parmi ses élèves, je citerai Yahya Al Ghatan et Yazid ben Abdoullah Al Madani, dans la science des hadiths et Abou Hanife Ban Sabat, Malik ben Ons, Safian al Thuri, Sho'bat Ben al Hodjaj, Safian ben Ay'na, en jurisprudence.

Abou Hanifa Na'man, chef de l'école hanafite, a même déclaré que sans les deux années d'études passées auprès de l'Imam Sadegh (AS) il aurait été perdu. Cette phrase montre bien le degré de la science de l'Imam (AS) qui a été transmise par ses élèves jusqu'à nos jours.

La principale raison de l'influence de l'Imam Sadegh (AS) est qu'il possédait une lumière intérieure qui éclairait ses enseignements et attirait les savants de toutes les écoles", a dit le cheikh Ala-e-din Zo'tari qui est professeur à l'école "Cheikh Ahmad Kaftari et a insisté sur la nécessité d'une présentation de l'Imam Sadegh (AS) par les chiites et les sunnites, qui permettra aux jeunes d'avoir des modèles comme l'a recommandé le prophète de l'islam (AS).

"Cette présentation permettra aux musulmans des différentes écoles, de connaitre la vision unificatrice de cet Imam (AS), de mettre de coté les divergences et de choisir des objectifs communs.

L'Imam Sadegh (AS) avait une vision spirituelle très profonde et estimait qu'il était possible d'échapper aux maladies psychologiques, de se rapprocher de Dieu et de vivre en paix avec les gens. Cette attitude spirituelle qui a influencé certains soufis, a donné à ses disciples une sérénité morale et intellectuelle, et les a aidés à avancer dans la voie de la perfection et de prendre pour modèles, le prophète (AS), les saints Imams (AS) et les compagnons.

L'Imam (AS) conseillait à ses élèves spécialement dans le domaine de la jurisprudence, de s'assurer de l'authenticité de chaque hadith et de chaque avis avant de les présenter", a expliqué le cheikh Ala-e-din Zo'tari qui est aussi membre du conseil des affaires familiales en Syrie, professeur au centre d'entraide et des affaires caritatives de Damas, et professeur de sciences coraniques et islamiques dans plusieurs universités libanaises.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, a répondu aux allégations sans fondement et aux accusations évoquées, au 33ème sommet du Conseil de Coopération du Golfe Persique (CCGP).

Ramin Mehmanparast a balayé d’un revers de main les allégations et les accusations évoquées, dans le communiqué du 33ème sommet du "CCGP", à Manama.

"Imputer la responsabilité des problèmes intérieurs des pays de la région à autrui est une sorte de fuite en avant", a fait remarquer le porte-parole de la diplomatie iranienne, pour qui, attribuer ces problèmes à autrui ou opter pour des mesures répressives ne sont pas des méthodes appropriées, pour répondre aux revendications populaires.

Ramin Mehmanparast s’est déclaré, ensuite, surpris, à propos des déclarations de l’Emir du Koweït, au sujet des négociations d’exploitation off-shore du pétrole. «La partie koweïtienne avait accepté les négociations des deux pays, au sujet de l’exploitation off-shore. Si le Koweït se veut sérieux, pour discuter à propos de la démarcation maritime, l’Iran sera, aussi, comme dans le passé, prêt à négocier», a indiqué Ramin Mehmanparast. Il a, ensuite, évoqué la centrale nucléaire de Bouchehr, qui jouit des plus hauts standards internationaux de sécurité. «La RII, a-t-il ajouté, a, à maintes reprises, montré sa bonne volonté, invitant les pays de la région à visiter la centrale».

Ramin Mehmanparast s’est, également, attardé, sur les propos des chefs de la diplomatie saoudienne et bahreïnie, pour réitérer que les déclarations du ministre saoudien des Affaires étrangères manquaient de précision et qu’il ne valait même pas de répondre aux propos du ministre bahreïni.

"La répétition des déclarations sans fondement n'affectera jamais les réalités actuelles que les trois îles du Golfe Persique étaient la partie inhérente et éternelle du territoire iranien", a-t-il réaffirmé en soulignant la souveraineté de l'Iran sur les trois îles iraniennes.

Les Emirats Arabes Unis revendiquent depuis longtemps les îles de la Grande et de la Petite Tomb et d’Abou-moussa, qui sont les îles inséparables de l'Iran.

jeudi, 27 décembre 2012 00:55

Les CGRII organise les manœuvres "Fajr-91"

Le corps des Gardiens de la Révolution islamique d'Iran (CGRII) a débuté ses manœuvres navales baptisées "Fajr -91", à Assaluyeh et Pars Jonoubi

Ces exercices militaires, organisés dans la région du gisement de gaz commun entre l'Iran et le Qatar, ont commencé avec le nom de code «Ô messager de Dieu», en présence des hauts commandants du corps des Gardiens de la Révolution islamique d’Iran.

Lors de cette grande manœuvre, des unités côtières, de commando, de vedettes, et de missiles feront la démonstration de leurs capacités, dans le cadre des plans défensifs et sécuritaires.

Les manœuvres navales "Fajr -91", qui se dérouleront, durant 4 jours, dans les eaux intérieures, à Assaluyeh et Pars Jonoubi, figurent parmi les activités et missions du corps des Gardiens de la Révolution islamique d’Iran qui doivent les effectuer, alternativement, dans différentes régions.

Le ministre iranien de la Défense, le général Ahmad Vahidi, a déclaré l’Iran prêt à remettre des équipements militaires à l’armée libanaise.

A propos de la demande du Liban à l’Iran d’équiper son armée, le général Vahidi a souligné que la RII répondra, positivement, à la demande du gouvernement libanais, si les deux pays parviennent à un accord, à ce sujet. Hossein al-Hajj Hassan, un ministre du cabinet libanais, avait demandé, auparavant, à la RII, de contribuer à l’équipement de l’armée libanaise.

L’ambassadeur de la RII, au Liban, Ghazanfar Roknabadi, a, pour sa part, souligné, dans un entretien avec le journal "Manbar al-Towhid", que l’Iran est en train d’examiner la demande du Liban, pour équiper son armée.

Ministère iranien des Affaires EtrangèresL'Iran a accusé lundi le Canada de "violer ses engagements internationaux" après le retrait par Ottawa de l'Organisation terroriste des « Moudjahidine du peuple iranien » (OMPI), groupe d'opposition armé, de sa liste des entités terroristes.

Le Canada "utilise la question du terrorisme comme un moyen, et viole ses engagements internationaux", a affirmé le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué diffusé sur le site internet de la radio-télévision d'Etat Irib.

"C'est un acte dangereux qui peut affaiblir la paix et la sécurité internationale", a ajouté le ministère, ajoutant que le Canada serait tenu pour responsable de la sécurité des expatriés et intérêts iraniens "en cas d'actes de violences ou de terrorisme" de la part de l'OMPI. Le Canada compte 400.000 ressortissants iraniens ou d'origine iranienne selon Téhéran, et 120.000 selon Ottawa.

Ce groupe est derrière la mort de "plus de 16.000 citoyens iraniens et a assassiné plusieurs responsables et scientifiques de la République islamique", affirme Téhéran.

Le Canada avait annoncé jeudi qu'il retirait l'OMPI de cette liste, suivant l'exemple de l'Union européenne et des Etats-Unis.

Dans le même temps, Ottawa y avait intégré la "Force Qods" des Gardiens de la révolution iranienne, sous prétexte qu'elle armait les talibans et le Hamas.

Fidèle allié d'"Israël", Ottawa est à couteaux tirés avec l'Iran et avait annoncé début septembre la suspension de ses relations diplomatiques avec ce pays, l'expulsion des diplomates iraniens en poste au Canada, et l'inscription de la République islamique sur la liste des entités "qui soutiennent le terrorisme", en allusion aux forces de résistance luttant contre l’occupation.

L'Iran inaugurera un moteur de recherche national, s'appelant "Parsi Joo", dans la période de 20 février à 20 mars 2013.

Pour le moment, la version d'essai de "Parsi Joo" est mise en examen sur le site web à l'adresse www.parsijoo.ir .

Ce moteur de recherche national, programmé par des étudiants iraniens, sera inauguré par le Président Mahmoud Ahmadinejad, ou le ministre iranien de Communication, Ali Nikzad.

Le directeur de ce projet, Ali Mohammad Zaré, a déclaré que l'objectif de ce projet est de permettre aux iraniens de retrouver des ressources (pages web, articles de forums Usenet, images, vidéo, fichiers, etc.) sur l'internet.

 

Le secrétaire du Conseil suprême de cyberespace,Mehdi akhavan Behabadi, a annoncé, durant une réunion, que le bureau du Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Ali Khameneϊ, n'a pas confirmé la véracité de l'existance de la page de facebook attribuée au Leader suprême d'Iran, car il ne reconnait pas officiel ce genre de site.

Mehdi Behabadi a précisé que cet acte était un mouvement spontané de la part des fans qui voulaient défendre le Guide suprême.

Il y a une dizaine de jours, quelques médias étrangers ont déclaré :" Le bureau du Leader suprême a ouvert une page sur le réseau social de facebook", mais jusqu'à l'heure actuelle le bureau ne l'a pas confirmé.

La page (www.facebook.com/www.Khamenei.ir) a été créée le 13 décembre afin d’encourager les fidèles à suivre « les actualisations régulières et les informations » de l’Ayatollah Khamenei. Elle comprend des photos, une vidéo et un enregistrement audio des rencontres et des discours du Guide suprême, qui décide de la conduite des affaires de la République islamique depuis 1989.