تقي زاده

تقي زاده

Une délégation iranienne s’est rendue la semaine dernière à New Delhi. Les deux parties iranienne et indienne ont décidé de redoubler d’efforts pour construire un poste à quai sur le port de Tchabahar, avant le rétablissement des sanctions de Washington.

Selon les responsables indiens, l’achèvement du projet a été retardé à cause des sanctions américaines. « Des efforts ont été entrepris pour mettre en place un mécanisme approprié de paiement pour le port stratégique de Tchabahar par le biais des canaux bancaires des deux pays », ont-ils déclaré.

Une première vague de nouvelles sanctions américaines contre l’Iran est entrée en vigueur le 6 août et une seconde doit s’abattre le 4 novembre sur le secteur énergétique.

 

Alors que Daech fait tout son possible pour rester dans le sud de la Syrie, les troupes syriennes prennent d’assaut les dernières collines dans la province de Soueïda abritant les terroristes de Daech (supplétifs des États-Unis et de l'OTAN, NDLR).

« Daech est actuellement pris au piège dans l’une des régions les plus arides de la province de Soueïda, alors qu’il conserve ses postes dans la région d’al-Safa », a rapporté l’agence de presse SANA.

Appuyée par de lourdes frappes aériennes russes, l’armée syrienne a réussi à faire de grandes avancées, ce dimanche 14 octobre, dans la région d’al-Safa.

Selon une source militaire de la ville de Soueïda, l’armée syrienne a libéré plusieurs points autour de la région de Qasr Cheikh Hussein après une bataille acharnée contre les takfiristes de Daech, selon Sana.

 

La source a ajouté que l’armée avait également détruit plusieurs tranchées et des emplacements des tireurs d’élite de Daech dans cette zone occupée par les terroristes dans le sud de la Syrie.

Les forces syriennes s’emploient actuellement à libérer toute la région de Qasr Cheikh Hussein afin de forcer les terroristes à se retirer de leurs dernières positions dans la région d’al-Safa.

Samedi 13 octobre, Tasnim News a indiqué que les avions de combat syriens avaient frappé les positions des terroristes de Daech à Soueïda, leur infligeant de lourds dégâts. 

 

Un accord conclu à Téhéran le mois dernier prévoit que l’Iran exporte du pétrole brut en Russie, où il sera raffiné et vendu dans le monde entier, ont rapporté ce dimanche les médias israéliens.

La Russie et l’Iran ont convenu d’un mécanisme visant à épargner à Téhéran l’impact des sanctions américaines sur son industrie pétrolière à compter du mois prochain, a averti un document du ministère israélien des Affaires étrangères.

Selon le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, les terroristes ont de nouveau attaqué des localités syriennes. « Ces attaques ont coûté la vie à deux militaires syriens à Lattaquié », a-t-on appris de la même source. Mais que va-t-il passer si ces violations de trêve se poursuivent? Si les terroristes de Hayat Tahrir al-Cham font capoter l'accord, deux scénarios sont à envisager: "Soit la Turquie et ses milices lancent une offensive militaire contre al-Nosra, soit la Russie saisit l'occasion avec le soutien de l'armée syrienne et ses alliés pour entrer à Idlib. L'État syrien ne cesse de réaffirmer sa volonté de reprendre l'ensemble de la Syrie et pour lui, l'accord russo-turc n'est que temporaire.

« Deux soldats syriens ont été tués et au moins deux autres blessés, ce dimanche 14 octobre, à Lattaquié », a annoncé le chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, Vladimir Savtchenko.

La Syrie a déposé une plainte à l’encontre de la coalition américaine auprès des Nations-Unies pour l’utilisation des armes bannies à Deir ez-Zor.

Damas a déposé, dimanche 14 octobre, une plainte auprès de l’ONU et du Conseil de sécurité contre la coalition américaine, accusée d’avoir utilisé la bombe au phosphore blanc contre les habitants de Hajin à Deir ez-Zor.

Le ministère syrien des Affaires étrangères a annoncé dans sa plainte que les forces de la coalition américaine en Syrie avaient recouru aux bombes au phosphore dans la province de Deir ez-Zor et que l’utilisation de ces armes non-conventionnelles avaient fait plusieurs morts et blessés du côté des civils.

ONU, le régime israélien et Syrie ont conclu un accord pour rouvrir le point de passage de Qouneitra sur le plateau du Golan entre ces deux pays, ont annoncé vendredi les Etats-Unis.
La Force des Nations Unies chargée d'observer le désengagement (FNUOD) sur le plateau du Golan et de garantir un cessez-le-feu entre Israël et la Syrie comprend environ un millier de Casques bleus dans cette région.

Israël, officiellement en état de guerre avec la Syrie, occupe illégalement depuis 1967 la majeure partie du plateau du Golan, qu'elle a annexée en 1981. Cette annexion n'a jamais été reconnue par la communauté internationale.


La FNUOD a repris en août ses patrouilles dans la zone tampon démilitarisée après s'en être retirée en 2014 en raison du conflit en Syrie. Son retour dans ce secteur a été rendu possible après la reprise aux insurgés par les forces gouvernementales syriennes, appuyées par la Russie, de la quasi-totalité de la province de Qouneitra, où est situé le point de passage.

Avant 2014, ce point de passage était emprunté essentiellement par des habitants druzes de la partie du Golan occupée par Israël pour aller étudier, travailler ou se marier en Syrie. Les agriculteurs l'utilisaient également pour exporter leurs pommes.

Mais depuis 2011 et le début de la guerre en Syrie, Israël ne leur accordait quasiment plus de laissez-passer.
 
Le régime israélien a donné dimanche son accord à la construction de 31 logements pour des colons juifs à Hébron, une première depuis 2002 dans cette ville de Cisjordanie occupée où des centaines de colons sont installés au milieu de la population palestinienne. 
 
En octobre dernier, les autorités israéliennes avaient annoncé ce projet, mais il n'avait alors pas obtenu le feu vert officiel du gouvernement, d'après la Paix Maintenant, une ONG israélienne opposée à la colonisation.

"Pour la première fois depuis plus de 20 ans, Hébron va avoir un nouveau quartier juif sur le site actuel d'un camp militaire", a annoncé le ministre israélien Avigdor Lieberman, dans un communiqué publié à l'issue du conseil des ministres hebdomadaire.

Ce quartier comprendra 31 logements et deux jardins d'enfants, a-t-il précisé.

"C'est une nouvelle étape importante" dans les actions entreprises par le gouvernement israélien "pour renforcer les implantations en Cisjordanie, a ajouté le ministre.

Les 31 logements, qui vont être construits, seront situés sur al-Shouhada: autrefois l'une des rues commerçantes les plus actives de la région menant au tombeau des Patriarches, celle-ci est devenue une artère fantôme sous l'effet du conflit israélo-palestinien et de l'occupation.
Les Astans des Imams Ali (as) et Hussein (as) ont invité des activistes religieux, des médias et des politiciens des pays des Balkans à assister aux rituels d'Arba'in.
Parmi ceux qui se rendront en Irak pour Arbaeen figureront également des étudiants et un certain nombre de personnalités chrétiennes.

Ils viendront de Bosnie-Herzégovine, de Serbie, de Croatie et de Macédoine.

Ils prendront part au pèlerinage et organiseront des réunions avec des érudits et des responsables dans les villes saintes de Karbala et de Najaf.
 
Le Leader de la Révolution islamique appelle à perfectionner le modèle irano-islamique pour le développement.
Suite à l’élaboration d’un modèle de base irano-islamique pour le développement qui trace les principes et les idéaux du développement, estime là où le pays devrait être dans cinq décennies et définit les mesures efficaces pour parvenir à cet objectif, le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a appelé, le dimanche 14 octobre, les organes, les centres scientifiques, les élites et les experts à soumettre les différentes dimensions du document à un examen approfondi. Il leur a également demandé d’exprimer leurs opinions afin de perfectionner ce document.


Le Leader de la Révolution islamique a ensuite chargé le Centre du modèle irano-islamique pour le développement d’examiner et d’exploiter les opinions et les propositions, en consultant les sources mentionnées dans le décret pour pouvoir présenter, d’ici deux ans, une version améliorée du modèle irano-islamique pour le développement, de sorte que ce modèle entre en vigueur au début du 15e siècle du calendrier iranien et qu’il serve de base pour les affaires du pays.

Le missile balistique à longue portée sol-sol dont toutes les étapes de conception et de fabrication ont été accomplies par les scientifiques et les ingénieurs iraniens s'appelle Emad.

Le pouvoir balistique de l’Iran est l’un des acquis et l'une des fiertés de la République islamique sur les plans militaire et défensif. Un progrès considérable, dont le coup d'envoi remonte à la guerre imposée par l'Irak. À l'époque, la quasi-totalité des pays du monde a refusé de fournir à l'Iran les armes nécessaires à la défense face à une agression militaire, soutenue par plusieurs parties.    

Aujourd’hui, les capacités domestiques de l’Iran lui permettent de dévoiler, à courts intervalles, de nouveaux missiles modernes qui ébahissent les ennemis et qui font étalage, en même temps, du pouvoir balistique de la République islamique sur le plan défensif.

L’Iran n’attend la permission d’aucune partie pour se renforcer sur le plan balistique. La fabrication du missile Emad vient à l’appui de cette affirmation.

Symbole remarquable du grand succès de l’industrie défensive iranienne, le missile Emad représente une version modifiée du missile Qadr ou une version optimisée du missile Shahab-3. Il se distingue pourtant par son ogive en forme de cône.

Emad est le premier missile balistique iranien à longue portée qui a été fabriqué et dévoilé par le Corps des gardiens de la Révolution islamique.

Les missiles balistiques sont en mesure de se déplacer en haute altitude grâce à leur propulseur et ils font une chute libre vers leur cible à l’aide de la gravité.