تقي زاده

تقي زاده

Selon le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, l'attaque des missiles iraniens est une réponse solide aux attaques des terroristes à Téhéran.
 
 
La Syrie a été informée du tir de missile de dimanche le 18 juin du Corps des Gardiens de la Révolution islamique contre les bases de commandement du groupe terroriste de Daesh, a déclaré le porte-parole de la diplomatie iranienne.

Dans une interview accordée à l’ISNA, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Ghassemi, a annoncé que la République islamique d’Iran avait informé la Syrie du tir de missile contre les bases de Daesh à Deir ez-Zor et ce groupe terroriste a subi des coups fatals dans sa base de commandement.

« Dans le cadre de sa politique de principe, stable et inaltérable dans la lutte sans cesse contre les groupes terroristes, takfiris-wahhabites et en informant le gouvernement légitime de la Syrie, la République islamique d’Iran a donné des coups fatals à ces groupes terroristes et à leurs base de commandement à Deir ez-Zor », a-t-il ajouté.

M. Ghassemi a insisté que la République islamique d’Iran condamne toujours le terrorisme avec tout forme, n’importe où et sous tout genre ou d’excuse.

Il a ensuite précisé que la sécurité de la grande nation et l’Etat de la République islamique et du territoire d’Iran est « la ligne rouge » du pays et il la défendra toujours.
 
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Toutes les victimes de l'attaque perpétrée dans la nuit de dimanche à lundi à l'aide d'une camionnette contre des piétons près d'une mosquée de Londres sont "musulmanes", a indiqué un responsable de l'anti-terrorisme, Neil Basu.
"Toutes les victimes faisaient partie de la communauté musulmane", a-t-il indiqué lors d'un point presse, en précisant que la police devait encore établir si le décès d'un homme sur place était ou non lié à l'attaque, qui a fait 10 blessés.

"L'attaque a eu lieu alors qu'un homme recevait des premiers soins par les gens sur place et malheureusement il est mort. Tout lien de causalité entre sa mort et l'attaque va faire partie de l'enquête", a ajouté M. Basu ajoutant qu'il était "trop tôt pour conclure que sa mort résultait de l'attaque".

Il a répété que l'événement était traité "comme une attaque terroriste" et que le conducteur de la camionnette avait été arrêté pour "tentative de meurtre".

L'attaque a eu lieu à proximité de la mosquée de Finsbury Park, dans le nord-est de Londres alors que des fidèles en sortaient après avoir prié dans le cadre du ramadan et de la rupture du jeûne nocturne.
 
Le Guide suprême de la Révolution islamique a reçu, ce dimanche 18 juin, un groupe de familles des gardes-frontières, tués lors des opérations antiterroristes.
 
 
Le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a rencontré un groupe de familles des gardes-frontières iraniens, tués lors d’opérations antiterroristes.

Lesdits gardes-frontières ont été tués en pleine mission antiterroriste pour le Corps des gardiens de la Révolution islamique, l’armée ou les forces de l’ordre.

À cette rencontre étaient aussi présents des familles des défenseurs du mausolée et des agents de renseignement iraniens, tués lors des opérations antiterroristes. 

L’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré que la Révolution islamique avait fait face, dès les premiers jours ayant suivi sa victoire, à une très vive hostilité.

« Ne prenez pas au sérieux les fanfaronnades de ce type qui vient d’arriver au pouvoir aux États-Unis. Ce n’est pas une nouveauté. Ces fanfaronnades existaient dès le début. C’est la rhétorique qui a changé. Près de 40 ans se sont écoulés depuis la victoire de la Révolution islamique, mais ils n’ont rien pu faire à notre encontre. Ils disent vouloir changer l’ordre de la République islamique. C’est ce qu’ils voulaient toujours, mais ils ont échoué à chaque fois et ils échoueront encore. Ils ne connaissent pas la nation iranienne. Toutes les personnes qui souhaitaient voir la chute de l’ordre de la République islamique sont mortes sans voir la réalisation de leur chimère », a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que l’Iran résistait de toutes ses forces et qu’il résisterait toujours.

« Ce n’est pas eux qui nous donneront une gifle. C’est nous qui leur administrerons une gifle cinglante », a-t-il affirmé.     
Le Corps des gardiens de la Révolution islamique à confirmé dans un communiqué avoir tiré six missiles de type Zoulfagar d'une portée de 650 kilomètres contre le QG des terroristes dans la province de Deir ez-Zor. Les sources proches des terroristes ont confirmé cette attaque.
Il s'agit des missiles de moyenne portée qui sont tirés contre plusieurs lieux  de rassemblement des terroristes à Deir ez-Zor "en réaction aux attaques terroristes du 7 juin commis à Téhéran".
 
 Le tir de six missiles iraniens a provoqué un véritable séisme dans les milieux médiatiques et militaires de la région. 
 
Les missiles se sont abattus avec précision sur la ville d'Al Mayadin qui abrite des QG des terroristes situé dans la périphérie de Deir ez-Zor en traversant le ciel des villes irakiennes de Ninive, d'Erbil et de Kirkuk. Ils ont été tirés depuis deux villes iraniennes de Kermanchah et de Sanandaj à l'ouest de l'Iran. Deir ez-Zor est depuis la libération de la province d'Alep le principal lieu de concentration des terroristes dans l'est de la Syrie.
 
Les défaites successives des terroristes à Hama Homs et à Raqqa les ont par ailleurs poussées à se replier armes et munitions à l'appui dans la province de Deir ez-Zor
Ces caractéristiques expliquent par ailleurs  l'attaque aux missiles du CGRI contre cette province. Les principales bases des terroristes se trouvent par ailleurs à l'est de Deir ez-Zor à savoir à Boukamal à Abouhamam  à Salehiya à Al Mayadin et à Al Janah
Les forces syriennes sont en cerclées depuis 4 ans à Deir ez-Zor dans l'aéroport militaire T4. Plus de 98 pour cent de cette province sont aux mains des terroristes et ce sont les avions de combat syriens qui l'argent vivres et médicaments aux populations assiégées de cette ville.
 
 Le 7 juin dernier 5 terroristes se revendiquant de Daech ont commis un double attentat terroriste dans la capitale iranienne. 17 iraniens ont été tués et 70 autres blessés au cours de ces attaques.
 
 
Le site internet DeirezZor 24 (proche des terroristes) qui rapporte cette information écrit : " on n'a entendu aucun bruit de moteurs d'avions. Ce sont vraisemblablement des missiles sol-sol qui ont visé Al Mayadin. Cette ville est occupée depuis 2013 par les terroristes takfiristes.
 
Peu de temps après la frappe balistique iranienne contre Deir ez-Zor, la chaine libanaise Al-Manar l'a commentée en soulignant la quasi-simultanéité de cette attaque avec le discours prononcé dimanche soir par le Guide suprême de la Révolution islamique.
 
Dans son discours l'Ayatollah Khamenei a dénoncé "la fanfaronnade " de Trump contre l'Iran et la "volonté iranienne d'infliger une cinglante riposte" à quiconque voudrait nuire à la sécurité iranienne : "la R.I.I. tient fermement tête à ses ennemis qui recevront la gifle iranienne avant qu'il ne soit en mesure de nous en infliger une, a ajouté le Guide suprême de la Révolution islamique.
 
"Cette quasi-simultanéité est bien significative dans la mesure où les forces armées iraniennes agissent sous le commandement de l'Ayatallah Khamenei, affirme le journaliste d'Al-Manar, Ali Haydar, qui revient sur le communiqué du C.G.R.I. publié dans les minutes suivant la frappe balistique. Celle-ci a provoqué de très lourdes pertes et de vastes dégâts dans les rangs des terroristes takfiristes.
L'isolement du Qatar peut durer "des années", a averti lundi à Paris un haut responsable des Emirats Arabes Unis, qui imposent avec trois autres Etats arabes un blocus à ce petit pays accusé de soutenir "les terroristes".
"Nous ne voulons pas d'escalade, nous voulons isoler" le Qatar, qui doit renoncer à son "soutien aux extrémistes", a expliqué le ministre d’État émirati aux Affaires étrangères, Anwar Gargash, à un groupe de journalistes dont un de l'AFP.

Il a expliqué que les adversaires du Qatar, qui ont depuis deux semaines rompu leurs relations diplomatiques avec le Qatar "misent sur le temps".

Les trois pays du Golfe persique ont également fermé leurs frontières terrestres et maritimes avec le petit émirat et lui ont imposé de sévères restrictions aériennes.

M. Gargash a accusé le petit émirat gazier d'avoir "construit une plateforme sophistiquée de soutien financier, médiatique, et politique" des islamistes radicaux et d'abriter plusieurs de leurs dirigeants.

Il a indiqué que l'Arabie saoudite, les Emirats, Bahreïn et l'Egypte soumettraient "dans les prochains jours" au Qatar une liste de leurs demandes, qui comprendraient l'expulsion de personnalités radicales, sans plus élaborer.

M. Gargash a estimé que la crise ne pourrait être résolue que lorsque le Qatar "changera de politique" et qu'il s'engagera à "cesser son soutien aux insurgés et aux islamistes radicaux".

Mais il a réclamé la mise en place par les Occidentaux d'un "mécanisme de surveillance" pour s'assurer que l'émirat du Golfe  persique respectera bien ses engagements.
 

« L’Iran a créé des couloirs aériens pour les avions de ligne qataris, après l’éclatement de la crise entre ce pays et certains pays arabes », a affirmé le ministre qatari des Affaires étrangères Mohammed ben Abdulrahman Al-Thani.

Selon l’agence de presse Mehr News qui cite la chaîne Al-Sumaria, le ministre qatari des Affaires étrangères a affirmé que l’Iran avait créé des couloirs aériens pour son pays, ajoutant qu’en cas de la poursuite de la crise, le Qatar pourrait également compter sur la Turquie, le Koweït et Oman.

Mohammed ben Abdulrahman Al-Thani a aussi affirmé que son pays n’avait encore reçu aucune demande des pays du golfe Persique ayant rompu avec Doha :

« Nous ne négocierons pas avec les pays arabes, tant que le blocus économique [imposé à Doha] ne sera pas levé et en ce qui concerne les affaires intérieures de notre pays, dont la politique étrangère et la question de la chaîne Al-Jazeera, nous n’allons pas négocier. »

Pour rappel, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn, l’Égypte mais aussi, le gouvernement démissionnaire du Yémen, ont rompu, le 5 juin, leurs relations diplomatiques avec le Qatar qu’ils accusent de « soutenir le terrorisme ».

Pour sa part, le Qatar a démenti ces accusations et dénonce une campagne diplomatique injustifiable visant à isoler ce pays.

Selon les résultats définitifs du second tour des élections législatives en France, le parti En marche! d'Emmanuel Macron a obtenu une majorité absolue toute relative. 

Les résultats des élections législatives 2017 offrent une large majorité de 350 sièges à Emmanuel Macron. Dans le détail, en nombre de sièges, La République en marche obtient 308 sièges et son allié le MoDem 42 sièges, Les Républicains 113 sièges, l'UDI 18 sièges, les divers droite 6 sièges, le Parti socialiste 29 sièges, le PRG 3 sièges, les divers gauche 12 sièges, La France insoumise 17 sièges, les écologistes 1 sièges, le Parti communiste 10 sièges, le Front national 8 sièges, Debout la France 1 siège, les régionalistes 5 sièges de l'Assemblée nationale. L'abstention atteint 57,36% des inscrits, un record (chiffres du ministère de l'Intérieur). Le président de la République et son gouvernement pourront normalement disposer d'un nombre d'élus suffisant pour faire passer leurs réformes, selon les chiffres établis par différents titres de la presse française.

Le mouvement En marche! a donc obtenu une majorité absolue toute relative. Le « raz-de-marée » n'a pas eu lieu, du moins pas tel qu'on le décrivait cette semaine, constate RFI.

Avec les médias

Une nouvelle séance de pourparlers de paix pour la Syrie à Astana, sous l'égide de la Russie, de l'Iran et de la Turquie, est prévue le 10 juillet, a déclaré lundi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.
L'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, avait annoncé samedi l'organisation le 10 juillet d'un 7e cycle de négociations à Genève visant à trouver un règlement au conflit syrien.

Ni Moscou ni l'ONU n'indiquent comment et pourquoi organiser une réunion sur la Syrie le même jour dans deux villes différentes.

"Une nouvelle rencontre des participants (au processus de paix pour la Syrie, ndlr) aura lieu à Astana le 10 juillet", a indiqué M. Lavrov, cité dans un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères, lors d'une conférence de presse à Pékin.

"L'envoyé spécial de l'ONU sur la Syrie, Staffan de Mistura, va y participer", a-t-il ajouté.
 

Le Guide suprême de la Révolution islamique a reçu, ce dimanche 18 juin, un groupe de familles des gardes-frontières, tués lors des opérations antiterroristes.

Le Guide suprême de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Khamenei, a rencontré un groupe de familles des gardes-frontières iraniens, tués lors d’opérations antiterroristes.

Lesdits gardes-frontières ont été tués en pleine mission antiterroriste pour le Corps des gardiens de la Révolution islamique, l’armée ou les forces de l’ordre.

À cette rencontre étaient aussi présents des familles des défenseurs du mausolée et des agents de renseignement iraniens, tués lors des opérations antiterroristes. 

Le Guide suprême de la Révolution islamique a reçu les familles des gardes-frontières tués lors des opérations antiterroristes, le 18 juin 2017, à Téhéran. ©leader.ir

L’honorable Ayatollah Khamenei a déclaré que la Révolution islamique avait fait face, dès les premiers jours ayant suivi sa victoire, à une très vive hostilité.

« Ne prenez pas au sérieux les fanfaronnades de ce type qui vient d’arriver au pouvoir aux États-Unis. Ce n’est pas une nouveauté. Ces fanfaronnades existaient dès le début. C’est la rhétorique qui a changé. Près de 40 ans se sont écoulés depuis la victoire de la Révolution islamique, mais ils n’ont rien pu faire à notre encontre. Ils disent vouloir changer l’ordre de la République islamique. C’est ce qu’ils voulaient toujours, mais ils ont échoué à chaque fois et ils échoueront encore. Ils ne connaissent pas la nation iranienne. Toutes les personnes qui souhaitaient voir la chute de l’ordre de la République islamique sont mortes sans voir la réalisation de leur chimère », a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique.

Le Guide suprême de la Révolution islamique a reçu les familles des gardes-frontières tués lors des opérations antiterroristes, le 18 juin 2017, à Téhéran. ©leader.ir

Le Guide suprême de la Révolution islamique a souligné que l’Iran résistait de toutes ses forces et qu’il résisterait toujours.

« Ce n’est pas eux qui nous donneront une gifle. C’est nous qui leur administrerons une gifle cinglante », a-t-il affirmé.   

Le parti du président Macron, la République en marche, a obtenu, ce dimanche 18 juin, la majorité absolue à l’Assemblée nationale, selon les premières estimations.