تقي زاده

تقي زاده

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a démenti, dimanche 7 mai, les rumeurs selon lesquelles le ministère serait impliqué dans la campagne électorale.

 « Le ministère des Affaires étrangères n’interfère ni dans les affaires des partis ni dans leurs campagnes. Il se charge seulement de communiquer le bilan de ses activités », a indiqué Bahram Qassemi.

 « Le ministère des Affaires étrangères reste dans une position neutre. Selon sa charte, aucun des fonctionnaires et des directeurs n’a le droit d’adhérer à un parti ou un groupe politique. Et fort heureusement, c’est le cas aujourd’hui », a-t-il poursuivi.

 Selon M. Qassemi, la communication toujours ferme de la politique étrangère du pays aurait poussé certaines personnes à propager des rumeurs. Ce qui est communiqué par le ministère concerne les intérêts nationaux, la défense de la sécurité et les succès de la politique extérieure du pays. D'après ce diplomate, le ministère des Affaires étrangères applique bien évidemment la politique étrangère de la RII, suivant les recommandations du Guide suprême de la Révolution islamique.

 « Pendant la période électorale, certains sujets, en particulier relatifs à la diplomatie iranienne et à l’accord nucléaire, sont mal interprétés ou mal formulés. Or, pour éclairer l’opinion publique et pour défendre le travail effectué dans le sens de la sécurité et des intérêts nationaux, le ministère des Affaires étrangères est contraint de développer certaines de ses actions et de faire preuve de transparence », a-t-il déclaré.

 M. Qassemi a insisté sur le fait que le ministère des Affaires étrangères ne s’occupe pas des questions de partis politiques et n’interfère nullement dans les affaires intérieures.

 « Lors des interviews, les ministres et leurs adjoints se limitent à répondre de façon à dissiper les ambiguïtés », a-t-il ajouté.

Les médias turcs ont fait part d’une fusillade ce soir, dimanche 7 mai, à Fatih dans la partie européenne d’Istanbul.

Lors de cette fusillade, trois personnes ont été blessées.

La CNN türk a annoncé qu’un policier et deux autres individus ont été blessés lors de cette fusillade.  

Alors que la grève de la faim collective des détenus palestiniens dans les prisons israéliennes dure depuis maintenant 21 jours, le comité chargé des affaires des prisonniers palestiniens fait état du transfert de 30 détenus grévistes vers le centre de détention d’Asqalan.

Ahmad Saadat, Abbas al-Seyyed, Mohamad al-Qiq, Nael al-Barghouti et Ahed Oqlameh sont des leaders qui figurent sur la liste des détenus transférés à Asqalan, qui se trouve dans le sud de la Palestine occupée, rapporte la chaîne Palestine Al Yawm.

1 800 prisonniers ont entamé une grève de la faim collective depuis le 17 avril dernier. Ils revendiquent l’abrogation de la détention administrative, l’isolement et un suivi médical plus sérieux.

Le comité des prisonniers du mouvement du Jihad islamique dans les prisons israéliennes a annoncé samedi que des centaines de détenus avaient décidé de rallier au mouvement de la grève de la faim.

Selon Issa Qaraqeh, président du comité chargé des affaires des prisonniers palestiniens, 50 des leaders des détenus avaient rejoint le mouvement qui est massivement soutenu par les organisations locales et internationales.

Pour l’heure, environ 7 000 Palestiniens sont incarcérés dans les prisons du régime d’Israël. 330 d’entre eux sont originaires de la bande de Gaza, 680 des territoires occupés en 1948, 6 000 de la Cisjordanie et 34 sont d’autres nationalités. 

Le ministre russe des Affaires étrangères a déclaré que la rencontre entre le président russe, Vladimir Poutine, et son homologue américain, Donald Trump, devrait être planifiée minutieusement et que Moscou travaillait à ce sujet.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré, dimanche 7 mai, que l’influence de la Russie et des États-Unis sur la stabilité et la sécurité internationales était si grande qu’une rencontre entre les présidents aurait sans doute des résultats concrets.  

Jeudi 4 mai, Sergueï Lavrov avait rejeté l’idée d’une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump d’ici deux mois, ajoutant toutefois que les deux hommes pourraient se retrouver en marge du sommet du G20, prévu en juillet en Allemagne. 

Indiquant la place scientifique de la personnalité de l'ayatollah Kamaréy , le secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.Le séminaire scientifique '' Paix, clef de la sécurité mondiale dans le message du prophète (de l'islam) s'est tenue en jetant un œil sur les pensées et les idées de l'ayatollah Khalil Kamaréy au centre des sciences humaines et des études culturelles à Téhéran.

Dans son discours l'ayatollah Araki, secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques, a indiqué que l'islam et ses manières de pensée a la capacité d'unir la société.

Le plus grand espoir des grandes personnalités espèrent la création de l'unité. le coran insiste que l'objectif des prophètes consistait à créer une société unie basée sur la justice et l'égalité, a-t-il précisé.
 
La réunion de la ''Mise en place de la diplomatie de l'unité dans le monde musulman'' sera tenue dans la salle du collège de direction de l'Université de Téhéran.Dans le décret du Guide suprême, le leader du pays a indiqué une vision pour le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques. Cette vision est constituée par la création de l'umma islamique unie et la diplomatie de l'unité, a déclaré Mohammad Nazemi Ardakani, vice-secrétaire général du Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques.

Le séminaire essaie d'utiliser tous les potentiels de différentes couches sociales par la constitution et le soutient des ONG dans le monde musulman sous le nom des assemblées mondiales, a-t-il indiqué.

Il y a trente ans que le Conseil mondial du rapprochement des écoles islamiques est créé, il est normal que le Conseil cherchait à créer le dialogue entre les différentes écoles islamiques. Pour mieux réaliser cette objectif, le Conseil a besoin des ONG et des rassemblées, a-t-il ajouté.

En résumé, on peut dire que l'objectif de  la tenue de ce séminaire consiste à transformer le dialogue de l'unité en comportement sociaux à l'aide des membres des assemblées du rapprochement islamiques, a-t-il marqué.
 
C’est la mémorisation du Saint Coran qui laisse la lumière du livre divin pénétrer dans le cœur de Hassan Dahineyn, mémorisateur et lecteur aveugle libanais.
Il a participé aux compétitions pour aveugles organisées en marge des 34èmes compétitions coraniques internationales de Téhéran, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique, a déclaré qu’il étudiait au centre islamique du Liban et enseignait le Coran. 
 
Dahineyn explique : « J’ai participé deux fois aux compétitions en Iran dans la discipline de récitation, et deux fois, dans la discipline de mémorisation en 2014 et 2016. »
 
«  À l’âge de 13 ans, a-t-il ajouté, je suis devenu aveugle et j’ai commencé la mémorisation coranique avec 20 pages par semaine. J’ai ensuite suivi des cours de Coran au Centre coranique de Beyrouth, et j’enseigne actuellement au centre Imam Hadi (as). » 
 
Le mémorisateur libanais a souligné : « Je remercie l’Iran pour l’organisation des compétitions réservées aux aveugles, il faudrait aussi en organiser pour les handicapés et leur permettre de participer à ces programmes coraniques. »
 
« Au Liban, nous ne considérons pas le gouvernement comme responsable de soutenir les activités coraniques, car ce n’est pas un pays islamique et il y a de nombreux chrétiens. Ce sont les centres coraniques qui sont chargés d’organiser les compétitions et aussi les compétitions pour aveugles », a-t-il dit.     

Pour Moscou, il est hors de question de mettre à la disposition des États-Unis ses ports de l’Extrême-Orient, que les Américains aimeraient pouvoir utiliser pour s’assurer du respect des sanctions imposées à la Corée du Nord. 

Cette réaction de Moscou intervient alors que la Chambre des représentants du Congrès américain a adopté jeudi un projet de loi contenant une norme selon laquelle l’administration américaine pourrait surveiller de près les ports russes de Vladivostok, de Nakhodka et de Vanino, dans le cadre du respect des sanctions imposées à la Corée du Nord, une décision jugée absurde par les autorités russes, rapporte Sputnik.

« Pas un seul navire étasunien ne sera admis dans les eaux territoriales de la Russie », a déclaré Andreï Krassov, premier vice-président du Comité de la Défense à la Douma, toujours selon Sputnik.

L’insanité de ce tout nouveau projet américain n’a pas échappé au responsable russe :

« Il est impossible que les Américains exercent un tel contrôle et cela est incompatible avec les principes assurant la sécurité internationale. »

Et Krassov de poursuivre :

« À quel titre les États-Unis se croient-ils dotés d’une telle responsabilité et qui leur a confié le contrôle des ports russes ? Nous n’avons fait aucune demande à ce niveau-là et les Nations unies n’ont pas accordé à Washington une telle autorisation. »

Le responsable parlementaire russe a promis d’agir en conséquence face à toute tentative hostile, vantant les aptitudes des forces de l’armée russe :

« Les forces armées et la marine russes disposent des capacités nécessaires pour châtier toute force étrangère qui oserait menacer la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Russie. » 

Krassov ajoute :

« L’administration américaine est revenue à sa position antérieure de démonstration de force. Washington a déjà mené une telle politique en Europe et au Moyen-Orient et cette fois il cherche à la mettre à exécution en Extrême-Orient et dans l’océan Pacifique. »

Les tensions entre la Corée du Nord et les États-Unis se sont fortement accrues depuis le début du mandat de Donald Trump, en raison de la politique basée sur la provocation qu’a adoptée la nouvelle administration américaine.

Ahmed al-Hosny, président de l’Université al-Azhar, un des plus anciens centres d’enseignement de l’islam sunnite, a été démis de ses fonctions après avoir taxé d’apostasie un célèbre penseur islamique, Islam el-Behery.

Le poste n’est toutefois pas demeuré vacant très longtemps, puisque le recteur de l’Université al-Azhar, le cheikh Ahmed al-Tayeb, a prestement nommé Mohamed Hussein al-Mahrsaoui, qui occupait jusqu’alors le poste de doyen de la faculté de la langue arabe, comme président par intérim.

Lors d’une émission télévisée, Ahmed al-Hosny avait qualifié Islam el-Behery d’apostat et prétendu que celui-ci, à travers ses interprétations controversées de la jurisprudence islamique, influait sur les masses qui ignorent le vrai message de l’islam.

Dans un message publié sur internet, Ahmed al-Hosny a dit avoir regretté ses propos concernant el-Behery et s’en être excusé auprès de lui.

Neuf militaires tchadiens ont été tués dans une attaque menée vendredi par le groupe terroriste Boko Haram contre un poste de l’armée tchadienne dans la région du lac Tchad.

Une quarantaine d’éléments de Boko Haram ont été tués lors de la riposte de l’armée tchadienne à cette attaque contre le poste de Kaïga, disent des sources sécuritaires et locales qui ont tenu à garder l’anonymat.

Selon l’AFP, un responsable militaire a officiellement confirmé l’attaque sans donner de bilan. « L’attaque a fait neuf morts et une vingtaine de blessés du côté de l’armée tchadienne et 40 éléments de Boko Haram ont été tués », a déclaré la source sécuritaire.

Situé à proximité de la frontière du Niger, le poste de Kaïga est une position de l’armée tchadienne sur la rive nord du lac Tchad qui a été régulièrement la cible d’attaques de Boko Haram. Un précédent accrochage fin septembre à Kaïga s’était traduit par la mort de quatre militaires tchadiens et de plusieurs éléments de Boko Haram.

Frontalier du Nigeria, du Cameroun, du Tchad et du Niger, le lac Tchad subit depuis plusieurs années les attaques du groupe terroriste Boko Haram, fondé en 2009 dans le nord-est du Nigeria, mais qui mène également ces dernières années des attaques dans les pays voisins. Depuis deux ans, les insurgés ont été chassés de la plupart des territoires dont ils s’étaient emparés en 2014 pour fonder leur prétendu califat. Mais, malgré cet affaiblissement, leurs attaques et attentats-suicides continuent. Le conflit, qui dure depuis huit ans, a fait plus de 20 000 morts et 2,6 millions de déplacés, dévastant la région et rendant des millions de personnes dépendantes de l’aide humanitaire.