تقي زاده

تقي زاده

mardi, 24 octobre 2017 22:29

La prière

Grâce à la prière, on jouit aussi de la bénédiction de l'éducation que Dieu nous procure et de nos responsabilités qu'Il nous fait rappeler. Elle nous permet de saisir ce qu'est la place de Dieu dans l'existence. Il est en fait le plus grand, le plus haut et le plus majestueux. Il est le Clément, le Miséricordieux et le Maître de la destiné. Il est celui à qui l'on s'adresse et c'est Lui qui décide de tout. Lorsque l'homme sait ce qu'est la prière, il se connaît alors soi-même et ses responsabilités. Lorsque nous témoignons de l'unicité de Dieu et de la véracité du Message apporté par le Messager (P), nous devons ne pas oublier les responsabilités dont nous sommes chargés. Nous devons suivre la voie qui nous est indiquée par Dieu. C'est pour cela que chacun de nous dit : ((C'est Toi que nous adorons et c'est de Toi que nous implorons l'assistance)) (Coran I, 5). Cela veut dire que je me soumets à Toi et non pas à quiconque d'autre et que j'implore Ton aide et non pas l'aide de quiconque d'autre. Et pour trouver les voies de la guidance divine nous disons : ((Dirige-nous sur la voie droite, la voie de ceux qui Tu as comblés de Tes bénédictions et non pas de ceux qui ont encouru Ton courroux, ni des égarés)) (Coran I, 6-7). Par la prière, nous nous attachons à la paix qu'apporte le Message de Son Messager (P) lorsque nous disons : "Que la paix soit sur toi, ô Prophète, ainsi que la miséricorde de Dieu et Ses bénédictions". Nous affirmons aussi la paix avec soi et avec les bons serviteurs de Dieu en disant : "Que la paix soit sur nous et sur les bons serviteurs de Dieu". Tout cela veut dire que nous nous attachons à la paix avec l'univers, l'environnement et toute la vie.
Une protection contre le Diable 
A travers la prière, nous sommes éduqués avec le sentiment que Dieu nous entoure et entoure toute notre vie. Grâce à ce sentiment, aucun d'entre nous ne se sont déprimé. Au contraire, il se sent confiant en Dieu, heureux de Le rencontrer et de se lier à Lui. La prière est ainsi une protection contre toutes les attaques du Diable qui s'empare de l'homme qui oublie son Seigneur et qui s'éloigne de Lui et refuse l'enseignement qu'Il lui consacre. Dieu dit à ce propos : ((Celui dont la vue est trop basse pour distinguer le rappel du Tout miséricordieux, nous faisons éclore pour lui un démon, qui sera son inséparable)) (Coran XLIII, 36). Le Messager de Dieu (P) a dit : "Le Diable garde ses distances avec le croyant tant que celui-ci persévère à s'acquitter des cinq prières. Dès qu'il les laisse tomber, il agit envers lui avec audace et le précipite dans les grands péchés".
A travers cet enseignement ayant pour but d'apprendre à rappeler Dieu et à se sentir responsable devant Lui, la prière contribue à déconseiller la turpitude et les actions blâmables. Dieu, le Très-Haut, a signalé cette contribution en disant : ((Acquitte-toi droitement de la prière; elle éloigne de la turpitude et des actions blâmables)) (Coran XXIX, 45) On a dit au Prophète (P) qu'un homme priait avec lui mais qu'il commettait la turpitude, il a dit que "Sa prière l'en déconseillera un jour". Cet homme n'a en fait pas tardé de se repentir. C'est que la prière consciente et qui se fait avec dévotion doit nécessairement avoir son impact positif sur l'action de l'homme. Pour affirmer ce rôle de la prière, le Messager de Dieu (P) a dit : "Il n'a pas de prière celui qui n'obéit pas à la prière. Obéir à la prière c'est s'éloigner de la turpitude et des actions blâmables".
L'action la plus aimée de Dieu
Le Messager de Dieu (P) considérait la prière comme étant semblable à une rivière qui coule et que l'homme s'y lave tous les jours et ne laisse aucune souillure sur son corps. La prière est une rivière qui purifie la raison de l'homme, son cœur et son action en chassant toute déviation et tout éloignement vis-à-vis de Dieu. C'est la raison pour laquelle le Messager de Dieu (P) a dit à 'Alî (p) : "O 'Alî, la prière est,pour ma Nation, comparable à une rivière qui coule devant la porte de chacun de vous. Que pense celui qui, d'entre vous, a dans son corps des tumeurs et qui se lave cinq fois par jour dans cette rivière ? Les tumeurs restent-elles après ces lavages dans son corps ? Par Dieu, les cinq prières sont, pour ma Nation, comparables à ces lavages !".  
C'est pour l'importance du rôle de la prière que les Nobles Versets insistent sur la nécessité de persévérer à s'acquitter de la prière : ((Soyez assidus aux prières, surtout à la prière médiane. Dressez-vous en prière avec dévotion)) (Coran II, 238). ((…Pour les croyants, la prière s'inscrit à heures fixes)) (Coran IV, 103). Les Hadîth affirment que la prière est l'action la plus aimée de Dieu. Elle a toujours été la dernière des recommandations des prophètes. Elle est le pilier et le socle de la religion. Le Messager de Dieu a signalé la place éminente que la prière occupe à ses yeux en disant : "Dieu, qu'Il soit loué, a fait que la prière soit l'action qui me contente et me satisfait le plus. Il m'a fait aimer la prière comme Il fait aimer la nourriture à celui qui a faim, et comme Il fait aimer l'eau à celui qui a soif".
Le Premier ministre irakien Haider al-Abadi a insisté lundi devant le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson, en visite à Bagdad, ses propos sur les "milices iraniennes" sur le fait que les supplétifs gouvernementaux étaient irakiens.
 
M. Tillerson est arrivé lundi soir en visite surprise à Bagdad, après s'être rendu ces derniers jours en Arabie saoudite et au Qatar. Il avait déjà effectué plus tôt lundi une visite surprise en Afghanistan.

"Les combattants du Hachd al-Chaabi sont des Irakiens qui ont combattu le terrorisme, ont défendu leur pays et se sont sacrifiés pour vaincre le groupe Daech", a dit M. Abadi lors d'une réunion avec M. Tillerson, selon un communiqué de son bureau.

Le Hachd al-Chaabi est une coalition d'unités paramilitaires qui regroupent plus de 60.000 Irakiens.

Ce groupe a été formé en 2014 pour aider les forces régulières gouvernementales face à Daech et a participé aux différentes batailles contre ce groupe terroriste en Irak, auxquelles la coalition internationale menée par les Etats-Unis a contribué.

Dimanche à Ryad, le secrétaire d'Etat américain avait appelé "les combattants étrangers" et "les milices iraniennes qui sont en Irak" à "rentrer chez eux".

"Le Hachd est une institution dépendant de l'Etat irakien et la Constitution n'autorise pas la présence de groupes armés hors du cadre de la loi", a insisté M. Abadi. Son cabinet avait auparavant affirmé qu'"aucune force étrangère" ne combattait en Irak et que "personne n'avait le droit d'interférer dans les affaires irakiennes".

Le Hachd al-Chaabi dépend du Premier ministre irakien, commandant en chef des armées, et le Parlement a voté son intégration au sein des troupes régulières.

« Programme de missile de l’Iran fait partie du pouvoir de dissuasion du pays et a été conduit à répondre aux besoins de défense et de sécurité et les commentaires à cet égard ne peuvent être faits sans tenir compte de notre environnement de sécurité, » a déclaré lundi le Adjoint de l’Iran à l’Organisation des Nations Unies (ONU), Leila Ale-Habib.

Devant un Comité des Nations Unies, le fonctionnaire Perse a déclaré que la République islamique d’Iran a fait clairement à plusieurs reprises que son missile programme n’est pas négociable et qui va aller de l’avant « avec force » avec les essais de leur institution.

Se référant à la guerre imposée par l’Irak à l’Iran (1980-88), il a fait valoir que l’expérience acquise au cours de cette période a enseigné à l’Iran qu’il devrait avoir ses propres potentialités pour assurer son indépendance et la sécurité et devrait jamais doute développer leurs capacités à répondre à vos besoins dans les aspects défensifs et de la sécurité.

En réponse aux allégations que les essais de missiles balistiques de l’Iran violent la résolution du Conseil de sécurité (CSNU) 2231, Ale-Habib a souligné que cette résolution établit que Téhéran ne devrait pas entreprendre toute activité liées aux missiles balistiques qui se chargent des armes nucléaires et, ajoute-t-elle, l’Iran a toujours insisté que « ses missiles balistiques ne visent pas à porter des armes nucléaires ».

Pour sa part, les autorités iraniennes ont défendu à plusieurs reprises que son programme de missile unique cherche à contrer toute menace de guerre par procuration et d’empêcher ses ennemis de toute agression contre le pays de Perse.

Après la chute de Daech anticipée par ses défaites successives dans ses capitales autoproclamées en Irak et en Syrie, le groupe terroriste tente de s’établir en Afrique. Voilà un bon prétexte pour que les États-Unis y renforcent leur présence.

L’information a été annoncée par le chef d'état-major américain, le général Joe Dunford, le lundi 23 octobre.

« Après la libération de Raqqa en Syrie et Mossoul en Irak, anciens bastions clé des terroristes dans la région, l'Afrique est l'un des endroits potentiels où ils espèrent renforcer leur présence terroriste », a lancé le général Dunford, lors d’un point de presse consacrée à une enquête sur les quatre militaires américains tués le 4 octobre par des groupes armées au Niger.

Cité par l’AFP, le général américain a déclaré que « Washington sait à quel point la Libye et le Sinaï sont importants pour Daech ».

« Nous savons à quel point ils ont essayé de s'établir en Afrique de l'Est et bien sûr, nous parlons maintenant de l'Afrique de l'Ouest », a-t-il ajouté.

Le chef d’état-major américain a ensuite déclaré que « le Pentagone va faire des recommandations au ministre de la Défense Jim Mattis et au président Donald Trump sur le renforcement des unités nécessaires pour répondre au niveau de menace que nous évaluons ».

Ce général américain doit présider mardi à Washington une réunion avec les représentants militaires de 75 pays pour « discuter de la prochaine phase de la campagne militaire » contre Daech.

Le général américain Joe Dunford, chef d’état-major inter-armées. (DoD)

Vendredi, le sénateur républicain Lindsey Graham avait été encore plus clair sur le sujet: « La guerre est en train de se déplacer. Nous allons assister à davantage d'actions en Afrique », avait-il déclaré à la presse à la sortie d'un entretien avec M. Mattis.

L'Afrique est déjà la deuxième zone d'intervention dans le monde des Forces spéciales américaines, après le Moyen-Orient. Ces unités d'élite y sont chargées de former les militaires locaux à la lutte antiterroriste. Ils ne sont pas censés partir en mission avec les militaires locaux quand il y a un risque de combat, a souligné le général Dunford.

Avec AFP

Aujourd’hui, mardi 24 octobre, Moscou a opposé son veto au projet de résolution américain présenté au Conseil de sécurité de l’ONU et destiné à prolonger d’un an l’enquête sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie.

Cette résolution américano-israélienne cherche à mettre sur le dos du régime syrien l’incident chimique de Khan Cheikhoun d’avril dernier.

Un rapport des experts de l’ONU sur l’attaque au gaz sarin le 4 avril à Khan Cheikhoun doit être présenté jeudi au Conseil de sécurité et Moscou a indiqué à juste titre qu’il fallait attendre la publication de ce rapport avant de voter une quelconque résolution contre Damas.

Mis à part la Russie, la Bolivie s’est opposée aussi à ce projet de résolution et la Chine s’est quant à elle abstenue de voter.

L’ambassadeur de la République islamique d’Iran en France et le secrétaire général du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères ont discuté de l’essor des relations bilatérales ainsi que des questions régionales et internationales.  

Ce mardi 24 octobre, Maurice Gourdault-Montagne et Abolqassem Delfi se sont retrouvés à Paris pour discuter des moyens censés élargir les relations Téhéran-Paris ainsi que des récentes évolutions survenues au Moyen-Orient et dans le monde entier.

Lors de ce tête-à-tête, le secrétaire général du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, Maurice Gourdault-Montagne, a déclaré que son pays prêtait une importance toute particulière à ses relations avec l’Iran, disant que la France était totalement prête à exploiter les capacités politiques et économiques des coopérations Téhéran-Paris.

Maurice Gourdault-Montagne a souligné que la République islamique d’Iran avait honoré tous ses engagements pris dans le cadre de l’accord nucléaire et a ajouté que la France appelait tous les pays signataires à respecter ce document.

Il a ensuite souligné que les deux pays devraient élargir leur coopération économique dans le cadre d’une commission mixte afin d’augmenter le volume de leurs échanges commerciaux.

De son côté, l’ambassadeur de la République islamique d’Iran en France Abolqassem Delfi a évoqué les pas concrets que l’Iran et la France avaient franchis pour développer leurs relations, disant que la mise en application des accords et des contrats conclus lors de la visite du président Rohani à Paris pourrait donner un coup de pouce aux relations bilatérales entre les deux pays.

M. Delfi a rappelé l’engagement de l’Iran à l’accord nucléaire de 2015 et a qualifié d’important le rôle de l’Union européenne, notamment de la France dans la mise en application de cet accord.

Selon la chaîne CNN turque, l’administration américaine n’a pas délivré de visas à une délégation du ministère turc de la Justice qui devait justement se rendre dans les prochains jours en Amérique dans le cadre d’un projet d’apaisement des tensions entre Washington et Ankara.

Ce nouvel incident fera certainement monter encore d’un cran les tensions, vieilles de plusieurs semaines déjà, entre ces deux pays alliés au sein de l’OTAN.

À la suite de l’expulsion pour cause d’espionnage d’un agent du consulat américain, le département d’État américain a émis un communiqué le 8 octobre pour annoncer la suspension de l’octroi des visas pour les ressortissants turcs.

La Turquie a aussitôt annoncé à son tour l’adoption d’une mesure réciproque : l’interdiction d’entrée sur le sol turc des ressortissants américains.

Des sources d’information ont diffusé des images montrant les éléments de la compagnie euro-américaine Blackwater dans les rangs des paramilitaires kurdes dans la ville de Raqqa en Syrie.

Certaines sources confirment la présence d’au moins 2 000 mercenaires internationaux à Raqqa et dans la province homonyme dans le nord de la Syrie.

Des éléments de Blackwater à Raqqa. ©Mashregh News/YPG Press Office

Pas mal d’observateurs ou personnalités politiques avaient déjà dénoncé d’autres aspects étonnants voire effroyables des opérations de libération de Raqqa, menées par les Forces démocratiques syriennes, soutenues par les Américains. Le bilan lourd des pertes civiles en fait partie.

En visite à Téhéran, le chef du mouvement du Jihad islamique en Palestine (MJIP), Nasser Abou Charif, a mis en garde contre la judaïsation de Qods.

« Les sionistes sont arrivés en Palestine en 1917. À l’époque, la Palestine était une terre prospère. Même les historiens le confirment ; 700 000 personnes habitaient à cette époque-là sur la terre de la Palestine, qui disposait déjà de près de 120 villes il y a 5 000 ans de cela », a affirmé Nasser Abou Charif.

« Les deux tiers du peuple palestinien ont été expulsés de la terre de la Palestine, avant que 500 000 autres Palestiniens ne connaissent le même sort en 1967 », a affirmé le chef du Jihad islamique.

« La ville de Qods est en passe d’être judaïsée ; déjà, c’est le régime sioniste qui contrôle la circulation des Palestiniens dans cette ville », a-t-il averti.

Selon l’agence de presse Tasnim, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, vient de quitter Pretoria pour Kampala, la capitale ougandaise.

Accompagné d’une délégation de hauts responsables iraniens, Zarif assistera à l’inauguration d’un hôpital de 50 lits construit à l’aide de la République islamique d’Iran.

Le chef de la diplomatie iranienne aura également plusieurs rencontres avec des responsables ougandais, au cours desquelles il sera discuté des possibilités de développement de nos relations commerciales.